Torture 18ème

liberté résultant de l’exercice des droits et libertés et le non respect des normes internationales relatives au droit à un procès équitable II) La pratique de la torture dans les lieux de privation de liberté A) Conditions «  favorisant « la pratique de la torture : failles légales et violations B) La torture au cours de la garde à vue CONCLUSION Pape Malick

ne sera soumis à la torture ni à des peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants » c'est ce que dispose la Déclaration universelle des Droits de l'Homme dans son article 5, la Convention européenne de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales du 4 novembre 1950 dans son article 3 et l'article 7 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques du 16 décembre 1966. En l'espèce, un officier mauritanien participe à des actes de torture dans son pays. Cependant

Peut être que la marquise n'était après tout que l'instrument de l'homme qu'elle aimait. Compte tenu des intrigues politiques de l'époque les juges auraient surtout voulu qu'elle livre des complices, en particulier Pennautier mais même sous la torture elle ne le fit jamais. Pennautier fut acquitté. Le 5 décembre 1677 démarrait "L'affaire des Poisons". ----------------------- CYCLE HISTOIRE LES POISONS DE LA BRINVILLIERS ----------------------- 5

Alger, capitale, au commencement des « sixties »Les pieds-noirs quittent le navire, les colons dératisent1961, période estivale, c’est la guerre d’Algérie et son festivalEt son lot de discrimination, de tortures, d’exactions tout un ramassis d’orduresQuelques degrés au Nord de l’équateurIl quitte l’Algérie française, un pincement dans le coeurVoici son parcours Ahmed, fils de MohamedGangrené du corps par la misère du MaghrebPar les meurtres les soirs de couvre-feu, par la peur du soldat français

L’article « torture » de Voltaire Extrait de l’article « Torture » du dictionnaire philosophique écrit en 1764-1769. Cet article est très lié aux deux affaires de jugements injustes : Calos, qui a été condamné à mort en 1762, et le chevalier de La Barre, en 1766. Le dictionnaire philosophique n’est pas un dictionnaire neutre : Voltaire fait passer les idées des Lumières dans ses articles, il critique l’esclavage, la guerre, la torture judiciaire ainsi que l’intolérance religieuse. Ici, Voltaire

cette dernière qui finit par l'emporter chez Jacques :La transition est faite lorsqu'il croit entendre le souffle d'un animal, avant de se rendre compte que c'est son propre souffle. Ainsi, il s'identifie lui même à cette bête dont les pulsions le torture depuis la puberté, et semble aussitôt jouir du meurtre de séverine, de l'obéïssance a ses désirs et ses pulsions. Ce texte, marqué par l'omniprésence du contraste de bête humaine, y met également fin :Dès lors, la bête prendra toujours le dessus,

L'envieux. Zadig voulut se consoler, par la philosophie et par l'amitié, des maux que lui avait faits la fortune. Il avait, dans un faubourg de Babylone, une maison ornée avec goût, où il rassemblait tous les arts et tous les plaisirs dignes d'un honnête homme. Le matin sa bibliothèque était ouverte à tous les savants ; le soir, sa table l'était à la bonne compagnie ; mais il connut bientôt combien les savants sont dangereux ; il s'éleva une grande dispute sur une loi de Zoroastre, qui défendait

jeunesse est la seule façon de mener son existence. Il se renferme sur lui-même au point de tuer la fille qu’il aime car elle ne peut plus correspondre à la pureté enfantine. Avec ce roman, le lecteur se prend au jeu de la torture mental et se retrouve lui-même troublé si ce n’est torturé et cela uniquement grâce à la présence du personnage de Prétextat Tach. La présence des personnages est primordiale pour la fiction, ils mettent en relief la noirceur de l’âme humaine. «  Le but suprême du romancier

promis de la dire, si la justice, régulièrement saisie, ne la faisait pas, pleine et entière. Mon devoir est de parler, je ne veux pas être complice. Mes nuits seraient hantées par le spectre de l'innocent qui expie là-bas, dans la plus affreuse des tortures, un crime qu'il n'a pas commis. Et c'est à vous, monsieur le Président, que je la crierai, cette vérité, de toute la force de ma révolte d'honnête homme. Pour votre honneur, je suis convaincu que vous l'ignorez. Et à qui donc dénoncerai-je la

après tout, il fut le seul à ne pas comprendre ma résolution. Tous les autres m'ont presque encouragé, et affirmé qu'ils auraient agi comme moi. Néanmoins je me retrouve ici, rongé par le remord. Mais est-ce vraiment l'échec de la mission qui me torture ou mes intentions elles-mêmes ? Peut-être ne suis-je pas un héros, mais seulement un vulgaire meurtrier qui veut remplacer une tyrannie par une autre. Car si je suis prêt à abattre un homme pour des raisons politiques, est ce que je vaux mieux que