Topos De La Femme Fleur

toujours« seul à seul » : « e muet », lier les deux donc former un vrai couple : un homme, une femme ( accords) : intimité, seuls au modeconj de coordination « te »imparfait : « marchions » : une ballade« en rêvant » : participe présent =en= gérondif : action qui dure, en train de se faire donc importance du rêve : échapper à la réalité ?Elle et moi, les cheveux et la pensé/e / au vent. Reprise du couple : homme et femme « elle et moi » : « e muet » pour les relier et autobiographie « moi »image inhabituelle :

I) La beauté idéale. Pétrarque multiplie les images merveilleuses voir féeriques, sonnet du genre de l’éloge, genre encomiastique. Dans le texte 1 Pétrarque exprime son émerveillement, sa joie, sa plénitude, dû à la présence lumineuse de la femme aimée. Multiplication des superlatifs : « comme qui aurait vu chose incroyable » (v2 texte1). La dame décrite ici rélève de l’archétype de la beauté occidentale, c’est « celle qui, sans pareille, à nulle ne ressemble » (V4 texte1). Il utilise certains

l’AUTOMNE Thème traditionnel : Femme/Fleur Cependant, ce poème est étrange, original I. Originalité du poème 1) Renversement de la valeur d’un thème - La Colchique est une fleur peu connue - « couleur de cerne et de lilas » = mauve, violet ð couleur du semi-deuil (après le noir) « violâtres » : suffixe à connotation péjorative - Originalité du Blason féminin : représentation réelle de la femme, avec sa fatigue : « cernes » La femme est un poison lent ð ce n’est

« Comme on le voit sur la branche » il déplore la mort prématurée de la jeune femme et il célèbre sa beauté en recourant à une comparaison, il a recours à un cliché (topos en grec) de la poésie amoureuse : la comparaison entre la femme aimée et une fleure, ici une rose, la fleure préféré du poète. Comment Ronsard s’approprie-t-il ce lieu commun ? Nous verrons sur un rapprochement progressif et complet de la femme et de la fleure. Tout en livrant une vision originale de la nature et de la mort. I) Marie

de la femme. Il y a une accumulation et un rythme ternaire. Avec les mots « tête, geste et air », on voit un souci de tonalité de la description de plus en plus globalisante. Et avec les assonances en è, les allitérations en t, les voyelles ouvertes et les consonnes occlusive, le rythme devient très musical et très entrainant. Il y a un rappel aux poèmes vus dans la section Spleen et Idéal. La femme est paysage, il y a une insistance sur sa beauté. Il personnifie le rire de la femme, cela rend

pré : première strophe · 2ème Partie : Comment le lyrisme investie une scène champêtre Analyse I. Fssdda. Un cadre toxique, une nature malsaine i. Champs lexical de la nature : « le pré », « les vaches », « le colchique », « lilas », « fleur » ii. Une antithèse initiale entre vénéneux et joli qui traite du pré iii. « Les vaches paissant » qui parlent des animaux herbivore et « doucement s’empoisonne » qui est une métaphore au fait de manger l’herbe du pré vénéneux iv. Champs lexical du

elogieuse de ce poeme. La femme est une des plus importantes sources d’inspiration de la poésie baudelairienne (et on pourrait dire, de la poésie en général), cristallisant ses émotions et ses angoisses, ses joies et ses souffrances C’est certainement sa maîtresse Jeanne Duval que Baudelaire décrit dans Le serpent qui danse. Le champ lexical du voyage, de l’exotisme renvoie à sa rencontre de 1842 avec la belle mulâtre, actrice dans un théâtre parisien. Portrait d’une femme réelle certes, mais aussi

les vaches=meurent. Ici poème d'amour, colchique lié à la femme aimée par la couleur de la fleur et des yeux de la femme et l'empoisonnement car le poète est empoisonné par cet amour. Poème d'amour triste, élégie ou romance, fortement imprégné par le thème de la mort. Composition : difficile à dire car va et vient virtigneux entre comparant et comparé. V1-5 = description Colchiques v5-7 = comparaison entre yeux de la femme et fleur v8-12 = même schéma, la description des enfants est liée aux

embrassées suivies de 2 rimes plates dans chaque sizain. Dans cet extrait, le poète adresse son monologue à une jeune fille, Cassandre Salviati, âgée de 13 ans, rencontrée lors d'une fête et dont il tomba amoureux à 20 ans. En quoi le topos de la femme fleur permet à Ronsard de séduire Cassandre et d’inciter ses lecteurs à profiter de la vie ? En premier lieu, nous étudierons l'amour de Ronsard pour Cassandre à travers son invitation amoureuse, pour ensuite analyser la mort de la rose, symbole

jeune fille en utilisant le langage galant « Mignonne ». Verbes à l’impératif du verbe aller = invitation Mais surtout p4 = nous : propose un rendez-vous galant. Il invite la jeune fille à aller contempler la beauté épanouie d’une rose. Rose = fleur symbole de la passion. Comment est connotée la rose : symbolique de la beauté, de l’épanouissement, de l’éclat : robe ( X 2 ), teint rosé // jeune fille + mots placés à la rime : rose / déclose ; beauté épanouie, bonheur, vigueur. Soleil / pareil