Tonalité La Jeune Veuve

CARNET JEAN DE LA FONTAINE Commentaire – « La Jeune Veuve » (Fables, VI, 21) Clément Mouille Présentation générale du texte à commenter « La Jeune Veuve » est le dernier poème du premier recueil des Fables, publié par Jean de La Fontaine en 1668. « La Discorde », qui le précède, était allégorique et sérieux ; « La Jeune Veuve » apporte, pour clore le premier recueil, une tonalité plus légère, presque gaillarde. Si les critiques ont parfois parlé d’une « misogynie » de La Fontaine, qui se ferait

persienne peinte vert perroquet » donc si il est tout d'abord sensible à la forme générale de ce qu'il voit, ce sont ensuite les couleurs qui retiennent son attention. Et finalement sa vision vient se fixer sur madame de Chasteller : « C'était une jeune femme blonde qui avait des cheveux magnifiques... ». Du regard panoramique fait de formes et de couleurs teinté d'un certain snobisme parisien, la vision de Lucien se focalise peu à peu dans une contemplation admirative sur un être humain. Cet être

L’extrait étudié est tiré de l'acte l, scène 14, des Fausses Confidences. Cette pièce de Marivaux a été représentée en 1737. Elle met en scène Le valet Dubois et la riche veuve Araminte. Dubois est l’ancien valet de Dorante un bourgeois déclassé, amoureux d’Araminte. Le valet Dubois est maintenant au service de cette veuve, engagé comme intendant et missionné par son ancien maître pour servir sa cause auprès d’Araminte. Le valet Dubois

sorte de rupture solennelle: Marguerite Duras cherche à faire taire sa propre voix pour laisser exister ,une fois encore la jeune fille qu'elle fut. Elle se laisse vivre au travers du regard de l'amant: il reprend les éléments objectifs qui avaient donné lieu à des plus amples explications dans les pages précédentes. Il semble comme justifier le bizarre accoutrement de la jeune fille bien qu'il soit difficile de démêler à qui renvoie le C'est visible. Néanmoins , les descriptions , symboliques,

n’a pas faits. Dans cet extrait, deux grandes tonalités sont présentes, la tonalité pathétique et la tonalité tragique. Le caractère pathétique est désigné à travers la pitié pour Andromaque et son fils, tandis que le caractère tragique et lui défini par la fatalité, la mort. Pour faire Hector mort, un metteur en scène a différentes possibilités comme poser une photo de lui ou un souvenir, faire intervenir quelqu'un, Andromaque peut changer la tonalité de sa voix, il peut aussi mettre une voix-off

moderne, par la mise en scène. Structure : “Les femmes savantes” répondent aux exigences classiques de la triple unité dramatique d’action, de temps et de lieu. Elles sont considérées comme l'une des plus achevées du répertoire de Molière. Tonalité : Le comique des “Femmes savantes” provient d'abord de la folie douce de Bélise, de la faiblesse caricaturale de Chrysale et de la préciosité exagérée d’Armande et de Philaminte. Mais la violence de la satire exercée à l'encontre de l'abbé Cotin

la raison l’action est fondée.Il critique un auteur qui voudrait etre original, bavarde prolixe et qui décrive à l’excès là où le classicisme est au cœur de son écriture, ils doivent copiés les modèles.Pour plaire il faut etre varié, changer les tonalités registre de langue élevé recherche épure par rapport au baroque, « soyez simple avec art, ayez pour la cadence une oreille sévère nécessiter du rythme » Réduire l’inspiration au profit de l’imitation des modèles Si le sens de c’est vers tarde de

féminine. Ce poème s'inscrit sous la forme d'un souvenir, d'une évocation mélancolique du passé. Lien avec les poèmes le précédent : Le précédent poème « la jeune mendiante aux cheveux roux » nous présente un paysages « humain » , un paysage beau dans la pauvreté. Beauté que l'on retrouve ici dans les mêmes termes ou idéaux. La blancheur de la jeune femme (« blanche fille ») se retrouve ici avec les plumes blanches du cygne (« blanc »). De même que le cygne représente la pureté, la beauté ce qui rappelle

déjà composé en 1869 « Les Étrennes des Orphelins » ; élève brillant et précoce vivant avec son frère et ses sœurs sous l’autorité d’une mère très sévère, il est devenu un jeune homme révolté et fugueur. Son professeur de français, George Izambard, lui a fait découvrir les poètes de son temps. Séduit par le romantisme, le jeune Rimbaud rejette les mesquineries et la vie bourgeoise étriquée qu’il mène à Charleville-Mézières. Il fugue à deux reprises en 1870 et c’est à cette époque qu’il écrit les

Roland : C’est une femme, mère de Pierre et Jean, elle est blonde avec des yeux bleus, elle a une apparence calme et d’une pure gentillesse malgré le fait que depuis des années elle vit dans le mensonge avec son mari. Mme Rosémilly : C’est un jeune femme, veuve de 23 ans, c'est aussi la voisine et l'amie de la famille Roland et par la suite va devenir le mari de Jean Roland. Le décor : La Normandie est mise en valeur dans toute la scène, c’est elle qui sert de décor, le Havre aussi. On annonce