Tonalite

appelée la quinte . (= 1 ton et demi au-dessus de la tierce) Dans notre exemple -> Sol.  Tonalité : Si le morceau ne contient pas de bémol ou de dièses à l'armure la tonalité correspondra à la première ou la dernière note du morceau Si des dièses sont présents à l'armure, il faut élever d' ½ ton le dernier dièse ! Ex : Fa dièse = SOL Pour trouver la tonalité mineure il faut abaisser la tonalité majeur d'une tierce mineur ( 1temps et demi ) c'est à dire SOL = Mim Si des bémols sont présents

Mémo de solfège n° 2 La tonalité La tonalité donne la hauteur d'une musique. Le choix est fait en fonction de la sonorité désirée, des instruments et des notes extrêmes. La tonalité définit la gamme et les accords pouvant être utilisés. Les armures Une armure est l'ensemble des dièses ou bémols liés à la tonalité. Représentés en début de ligne, ils s'appliquent à toutes les notes correspondantes de la portée. Les armures en dièses 0# 1# a Do (La m) a dddd Sol eeee 1b d e dd a Ré

pendant la période classique: la forme sonate. Les formes sonates s'appuient sur la tonalité et on a une articulation de différentes parties, la fondation des formes-sonates est l'harmonie, l'évolution tonale: la tonique est le point fort de l'oeuvre. La forme-sonate est une forme en trois parties: l'exposition - le développement - (intensification chez les Anglais) - la ré-exposition. Le premier thème est dans la tonalité donnée, le second à la dominante ou à la relative majeure. Les deux thèmes sont

| |[pic] | Les gammes sont définies par leur tonalité. Les différents degrés de la gamme comportent souvent des dièses et des bémols. Pour éviter d'écrire ces symboles d'altération, on les regroupe par ordre de succession, immédiatement derrière la clé. [pic] do#majeur ou la#mineur Ces symboles

rythmique prononcé  Mélodie le plus souvent disjointe et fondée sur l’accord parfait de la tonalité initiale.  Sonnerie, appel, signal. 4. Analyse de la partition Généralités :  Une fanfare : orchestre de cuivres et percussions : 4 cors, 3 trompettes, 3 trombones, 3 tubas, timbale, grosse caisse, tam-tam. Thème en forme d’appel ou de sonnerie.  Tempo très lent (noire = 52), sorte de plainte  Tonalité générale : si bémol  Aspect « massif » de l’écriture harmonique. Le Thème principal

harmonique découle directement des modes. Messiaen va utilisé des accords dans le mode: deuxième mode: utilisera les accords du deuxième mode. Mais dire que Messiaen est un compositeur atonal est Atif: parfois c’est modal. Cet auteur n’affirme pas la tonalité. Messiaen était atteint de minéstésie : a chaque entente de son, on voit une couleur. Ex: pour Messiaen «  couleurs générales: spirales d’or et d’argent, sur fond de bandes verticales brune et rouge rubis. Dominante; or et brun. VI. Danse

d’allures et d’expressions différentes. Ce pont aboutit à une pédale de dominante dans la tonalité de B ou à une cadence parfaite dans le ton de la dominante de B, ou bien encore à une demi-cadence dans le ton principal de A. Ces deux sections sont généralement suivies d’une Codetta où un nouveau thème peut apparaître. Sa fonction principale relève de l’articulation du discours. La Codetta affirme énergiquement la tonalité dans laquelle on se trouve (le ton de la dominante) aux moyens de groupes cadentiels

à l’apparition de l’Amour. Il est clair que la tonalité, tout comme les instruments, incarne un rôle symbolique. « Le grand et le magnifique ont encore lieu dans l’octave des notes ré, la ou mi. Le mode mineur, pris dans l’octave de ré, sol ou mi, convient à la douceur et à la tendresse. » Dit Rameau dans le chapitre vingt-quatre, livre II du Traité de l’Harmonie réduite à ses principes naturels (1722). Cependant la signification de chaque tonalité n’est pas universelle. Chaque compositeur a ses

en ses quatuors (le grandiose 14e et sa stridente tonalité d'Ut # mineur, la Grande Fugue, heurtée et dissonante). Il reste habité par une musique plus horizontale, plus intimiste, celle du lied allemand de Schubert et de Schumann que, pourtant, une petite génération sépare (Schubert, 1797-1828, Schumann, 1810-1856). De Schubert, il retient en emblème la figure de La jeune fille et la mort, celle du lied repris par le quatuor en ré mineur, tonalité vigoureuse, que le poète de la musique rend déchirante

alterne ensuite, tout au long de l’œuvre, des passages chromatiques rendus possible par le nouvel instrument, et des séquences de trilles et de notes aiguës typiques de la trompette naturelle. Le mouvement lent présente l’originalité de moduler les tonalités, démontrant que la trompette est devenue aussi souple que la flûte ou la voix. Les mêmes principes gouvernent le Concerto en Mi majeur de Johann Nepomuk Hummel (1778-1837), composé en décembre 1803 et créé le 1er janvier 1804 à Vienne par Anton