Tirade

voir le champ lexical de la haine se déployer dans les expressions « tu (…) me détestes » (v9), « ta haine » (v17 et 19), « t’irrite » (v32). Nous pouvons donc conclure que cet amour est à sens unique, Hypolite n’aime pas Phèdre. . Au cours de sa tirade, Phèdre évoque le passé ou elle le haïssait pour tenter de s'opposer à sa malédiction, ce qui est certainement l'une des raisons pour lesquelles Hypolite la méprise ; nous pouvons le constater avec l'utilisation des verbes au passé «  ai chassé »

classique. D'une histoire d'amour naît un conflit, ceci engendre une situation qui devient très souvent le centre de l'intrigue. C'est par exemple le cas dans les pièces comme Phèdre, Andromaque, ou encore Britannicus. L'extrait étudié ici est la tirade du vers 386 à 410 de Néron dans la scène 2 de l'acte 2, de Britannicus de Racine écrit en 1669. Dans cet extrait ,il s'agit d'un dialogue entre Néron et le gouverneur de Britannicus,Narcisse dont on découvre à cette scène la duplicité et la traîtrise

FrançaisCommentaire de texte sur la tirade d'Auguste, acte IV, scène 2MariusJoly2D10Dans Cinna, de Pierre Corneille publiée en 1643, la scène se déroule à Rome dans l'antiquité, Cinna monte un complot par amour pour Émilie contre l'empereur Auguste, qui a tué le père de celle-ci. Dans la scène 2 de l'acte IV, Auguste apprend que Cinna et Maxine orchestrent un complot dans son dos, il fait donc un monologue pour prendre une décision en apprenant que ce sont ceux qu'il considérait comme ses amis qui

Plan : I ) Portrait péjoratif de Dom Juan. II) Sganarelle se présente indirectement. III)Tirade articulée sur l'action. I ) → portrait qui prépare l'arrivée du personnage, créé une attente chez le spectateur. 1. Sganarelle énonce un jugement moral sur son maître : énumération de ce qui lui vient à l'esprit : DJ se comporte comme un animal : champs lexical de l'animal « chien, pourceau, bête brute » il suit ses instincts primitif, il n'a aucune morale. DJ ne respecte pas la religion

Racine : Acte 5 scène 7, Dernière tirade de Bérénice p.95-97. Introduction : C’est un extrait de l’acte de dénouement de la tragédie, cet acte est assez paradoxal. On note de nombreuses péripéties, la mort des personnages devenant une hypothèse puisque Bérénice, Titus et Antiochus expriment leur désir de suicide. C’est dans cet acte qu’Antiochus révèle à Titus son amour pour Bérénice. C’est juste après qu’Antiochus exprime son envie de suicide que Bérénice fait sa tirade, paisible et évitant le basculement

Electre II,8 : tirade de Clytemnestre « Oui je le haïssais (…) voilà le plus beau. » Egisthe a annoncé son mariage avec Clytemnestre. Il veut être roi pour sauver Argos. Provoquée à de multiples reprises par sa fille, Clytemnestre va révéler sa haine pour Agamemnon et donner une image peu valorisante du roi défunt. I - La déclaration de haine de Clytemnestre 1/ Les raisons de la haine ; Son mariage considéré comme un enlèvement, mariage forcé exprimé par l'hyperbole « arrachée »=

Dans la dernière scène de l’Acte I, sa confidente Phénice lui laisse entendre que la raison d’Etat peut s’opposer à leur mariage. Bérénice, ignorant les doutes de Phénice, évoque avec enthousiasme le couronnement de Titus. Scène 5, Acte I : La tirade de Bérénice II – Les axes Plaidoyer exposant l’admiration d’une amoureuse et les caractéristiques du genre tragique en passant par les registres lyrique et laudatif . Axe 1 : L’admiration d’une amoureuse • Utilisation des registres lyrique

Le malade imaginaire , Acte II, scène 5, La tirade de M. Diafoirus La grande scène 5 de l'acte II du Malade imaginaire nous fait faire la connaissance des Diafoirus, père et fils, venus chez Argan pour présenter Thomas à son futur beau-père et, accessoirement, à sa future femme. Ils se sont soigneusement préparés à cette visite qui est, pour eux, très importante. Ce mariage, en effet, est

d'un séducteur libertin, Dom Juan, qui ne croit rien sinon que" deux et deux font quatre". Ici le passage étudié est la tirade de Dom-Juan à l’Acte I scène 2. Dom-Juan explique les raisons qui le poussent à être libertin avec les femmes et à vouloir être infidèle. Nous étudierons d’abord l’éloge paradoxal du libertinage que Dom-Juan fait puis nous analyserons de plus près la tirade du point de vue argumentatif. I] L’éloge paradoxal du libertinage => plaidoyer en

DOM JUAN, acte 1 scène 1, la tirade de Sganarelle Situation : -Époque : 17ème siècle sous le règne de Louis XIV (1661-1715) -Mvt littéraire: le Classicisme français (assure le rayonnement du pouvoir royal, inspiration de l’antiquité et ses dieux) établit les règles du théâtre classique. -Molière (1622-1673), dramaturge français qui via l'écriture de ses comédies critiquait certains aspects de la société du 17ème siècle. -Dom Juan, pièce de théâtre sorti en 1665. Inspiré de l’abuseur de Séville