Thrombus

certaines pathologies (infarctus du myocarde). Elle n’augmente pas en cas d’angine de poitrine. 7) Préciser les indications de la prescription LINITRAL : anti angoreux, traitement qui va éviter la récidive. HEPARINE : Dissolution du thrombus MORPHINE : TTT de la douleur à forte intensité O² : Pour l’anoxie des céllules cardiaques Réhydratation : A jeun en cas d’anesthésie Repos strict au lit  Bilan entrée sortie (évacuation du produit de contraste, créatinine, mesurer qu’il

somnolence, Rarement : confusions, hallucinations, douleurs abdominales, dépression respiratoire, réactions allergiques, convulsions A ce jour, patient non algique Risque thrombo-embolique Du à son atcd de thrombose Eviter l’apparition d’un thrombus et sa migration => Surveillance des signes locaux (rougeur, chaleur, œdème, absence ou diminution du ballotement du mollet, douleur à la dorsiflexion) => Prise des constantes régulières (absence de dissociation pouls température) => Administration

compétence 6 que nous avons étudié en cours, à savoir communiquer et conduire une relation dans un contexte de soin (justesse dans la recherche de consentement du patient). Les HBPM visent à fluidifier le sang afin de prévenir tout risque de formation de thrombus (masse sanguine coagulée dans un vaisseau et produisant une thrombose). Les héparines accélèrent la vitesse d'action de l'antithrombine. De ce fait, le risque hémorragique est accru lors de la mise en place d'un traitement par HBPM puisque la coagulation

rende compte, ce processus forme des plaques d’athérome qui entravent la bonne circulation du sang dans les artères par un rétrécissement de celles-ci. Le principal danger, c’est de voir une plaque se disloquer. Dans ce cas, un caillot sanguin appelé thrombus se forme très rapidement et peut être capable d’obstruer complètement l’artère. Si cela se passe dans une artère cérébrale, ce sera l’aploxie. Si c’est dans une artère coronaire, toute une partie du muscle cardiaque se verra privée d’irrigation,

soit spontanées soit déclenchées par des circonstances favorisantes. * La thrombose est la formation d’un thrombus (caillot sanguin) au niveau d’une artère ou d’une veine. * Le bilan de thrombose est surtout indiqué dans la thrombose veineuse. La maladie thromboembolique constitue le risque majeur de cette thrombose veineuse, c’est la conséquence du détachement et migration du thrombus avec embolisation d’une artère pulmonaire. * La thrombophilie cause aussi les accidents vasculaires cérébraux

pas la reprise immédiate de l’appui. (A adapter en fonction de la mobilité diminuée) Le traitement anticoagulant est systématique. La phlébite : Définition : C’est une oblitération plus ou moins complète et étendue de la lumière d’une veine par un thrombus (caillot sanguin). 1° complication = L’embolie pulmonaire. ° C’est une migration d’un fragment de caillot sanguin dans l’artère pulmonaire ou dans une de ses branches. c) le post opératoire : Pour prévenir ces complications . Il faut améliorer

Résultats : Pas d’infections Problème : Risque de thromboembolique veineuse • Etiologie : Majoré par l’altération de la mobilité • Manifestations : - Rougeur - Chaleur - Œdème • Objectifs : Eviter l’apparition de thrombus • Actions : - Prévention des maladies thromboemboliques veineuses - Ttt anticoagulant par Lovenox, 1 inj/jour - Et surveillance des signes de thrombose • Résultats : Pas de thromboses veineuses Problème : Risque

cerveau. Dans ce cas, le caillot s'est détaché d'une artère située dans le cou, l'artère carotide ou d'un gros caillot situé dans une cavité du cœur. Il y a 3 mécanismes : Thrombose : Causée par une plaque d'athérome sur laquelle se forme un thrombus dans les zones de turbulences. Embolie : Matière qui se détache, qui migre et vient boucher une artère à distance. Dont l'origine est artérielle ou cardiaque. Mécanisme Hémodynamique : Chez un patient prédisposé : sténose des axes artériels.

diagnostics différentiels (rupture de kyste poplité, hématome) - il retrouve : • une dilatation de la veine à la phase aiguë • une absence de compressibilité veineuse • un signal absent ou faible au doppler • un thrombus endoluminal III.4. Phlébographie des MI C‘est un examen de référence, mais rarement pratiqué. III.5. Bilan étiologique Il est effectué en cas de phlébites récidivantes ou chez le sujet jeune ayant fait une phlébite idiopathique

évolution. Dans le cas des envenimations par vipéridés, pour lesquelles ce symptôme est plus problématique, on observe souvent des effets antagonistes. Généralement, il y a suractivation de la thrombose, ce qui se traduit par : • La création de thrombus (caillots) pouvant provoquer une embolie. • La consommation de tous les facteurs de coagulation entrainant une hémophilie. L'hémophilie qui résulte de la consommation des facteurs de coagulation est un des effets antagonistes pouvant mettre