Thomas de Quincey

dirigée par l'Eglise. 1816 : E.T.A Hoffmann : L'Homme au sable. 1817 : Géricault : Le radeau de la Méduse 1820 : Lamartine : Méditations Poétiques; Walter Scott : Ivanhoé; naissance de Baudelaire 1821 : Carl Maria von Weber : Freischütz; Thomas de Quincey : les confessions d'un mangeur d'opium 1823 : Stendhal : Racine et Shakespeare ; Beethoven : la neuvième symphonie 1825 avènement de Charles X, monarchiste "ultra". Les exilés nobles reviennent et reçoivent réparation pour la confiscation

littérature. Le 31 août 1828 paraît à Dijon, dans Le Provincial, le journal d'Aloysius Bertrand, Un rêve, ballade signée « ADM ». La même année, il publie L'Anglais mangeur d'opium, version française de Confessions of an English Opium Eater, de Thomas de Quincey. Grâce à Paul Foucher, beau-frère de Victor Hugo, il fréquente dès l'âge de 17 ans le « Cénacle », ainsi que le salon de Charles Nodier à la Bibliothèque de l'Arsenal. Il sympathise alors avec Sainte-Beuve et Vigny, et se refuse à aduler le

l’homme dans la nature avec son « Ode au vent d’Ouest » en 1820 ; que John Keats approfondit la résonance intérieure d’une âme angoissée en quête d’une spiritualité et d’une beauté qu’il pense trouver dans l’éternité de l’art grec tandis que Thomas De Quincey, dans son autobiographie « Confessions d’un mangeur d’opium » en 1821 explore les thèmes de la douleur, de l’introspection, de l’abandon, du péché, des forces secrètes qui manipulent l’homme, et célèbre l’art de rêver.  Auteurs : William Wordsworth :

dès 1847, un usage thérapeutique du laudanum13, prescrit pour combattre des maux de tête et des douleurs intestinales consécutives à une syphilis, probablement contractée vers 1840 durant sa relation avec la prostituée Sarah la Louchette. Comme De Quincey avant lui, l’accoutumance lui fait augmenter progressivement les doses. Croyant y trouver un adjuvant créatif, il en décrira les enchantements et les tortures14. Dessin de Courbet pour Le Salut public, 1848. En 1848, il participe aux barricades

savoureuses discussions littéraires. Il commença à rimer des poésies qui, tour à tour, étaient du Chénier ou du Victor Hugo et il traduisit (1828) de la manière la plus inexacte et la plus romantique du monde, les Confessions d’un mangeur d’opium de Thomas de Quincey. Son père, que cette littérature inquiétait, l’obligea à prendre une place d’expéditionnaire dans les bureaux d’une entrepreneur de chauffage militaire. Rien ne pouvait être plus antipathique à Musset qui aimait le monde, le plaisir, l’indépendance

tissu de citations, issues des mille foyers de la culture". Il parle par exemple de Bouvard et Pécuchet, éternels copistes, dont "le profond ridicule désigne précisément la vérité de l'écriture". Barthes cite Baudelaire qui parle à propos de Thomas de Quincey de dictionnaire et il souligne que le scripteur n'a plus en lui passions, humeurs sentiments, impressions mais cet immense dictionnaire. "la vie ne fait jamais qu'imiter le livre, et ce livre lui-même n'est qu'un tissu de signes, imitation perdue

d'apaiser les douleurs dont il était souffrant. Ce qui engendra l'usage fréquente de cette substance par l'auteur, causé principalement par un à un vif désir de renouveler ces plaisirs nouveaux qui lui furent ainsi soudainement révélés. Thomas de Quincey entretient une relation d'autant plus forte avec l'opium elle lui permet d'affirmer sa sensibilité artistique elle est également une source d'inspiration puisqu'elle lui fournit le sujet de son autobiographie ; confessions d'un mangeur d'opium

réaliste d’un hôtel triste dans une ville angoissante. Où le patron et les clients s’isolent. -Cors de chasse: Transformation de la rupture avec Marie Laurence en une tragédie. Sa douleur est si intense qu’il se compare à thomas de quincey (poète qui se drogue à l’opium). -Vendémiaire: dernier poème, qui est l’antithèse du premier poème car il rejette le monde ancien et annonce uun monde nouveau. Puisque le poète rentre chez lui à Paris et entend un chant qui

1828 paraît à Dijon, dans Le Provincial, le journal d'Aloysius Bertrand, Un rêve, ballade signée « ADM ». La même année, il publie L'Anglais mangeur d'opium, une traduction française peu fidèle des Confessions d'un mangeur d'opium anglais de Thomas de Quincey. Jeunesse du poète Portrait en médaillon d'Alfred de Musset par David d'Angers (1831), département des monnaies, médailles et antiques de la Bibliothèque nationale de France, Paris. Grâce à Paul Foucher, beau-frère de Victor Hugo, il fréquente

attaqué et caricaturé pour sa passion des chiffres ou pour sa perversité présumée. Il fait la pratique de l'opium : il fait d'abord un usage thérapeutique du laudanum dès 1847, prescrit pour combattre ses maux de tête et comme analgésique. Comme De Quincey avant lui, l’accoutumance le fait augmenter progressivement les doses. Croyant y trouver un adjuvant créatif, il en décrira les enchantements et tortures. En 1848, il participe aux barricades. La révolution de février instituant la liberté de la