Thomas de Quincey

c'est-à-dire avec la connaissance tragique. Le problème étant cependant que l'on peut vivre peut-être vivre en artiste, affronter le tragique sans créer des œuvres d'art. Nietzsche lui-même écrit des œuvres de philosophie pas des œuvres d'art et Thomas Man porte un jugement très sévère sur la valeur poétique du Zarathoustra « une abstraction oscillant à la limite du ridicule ». (dans les Maîtres, La philosophie de Nietzsche). Malgré de belles expressions, il est effectivement difficile d'apprécier

dès 1847, un usage thérapeutique du laudanum12, prescrit pour combattre des maux de tête et des douleurs intestinales consécutives à une syphilis, probablement contractée vers 1840 durant sa relation avec la prostituée Sarah la Louchette. Comme De Quincey avant lui, l’accoutumance lui fait augmenter progressivement les doses. Croyant y trouver un adjuvant créatif, il en décrira les enchantements et les tortures13. Dessin de Courbet pour Le Salut public, 1848. En 1848, il participe aux barricades

l’homme dans la nature avec son « Ode au vent d’Ouest » en 1820 ; que John Keats approfondit la résonance intérieure d’une âme angoissée en quête d’une spiritualité et d’une beauté qu’il pense trouver dans l’éternité de l’art grec tandis que Thomas De Quincey, dans son autobiographie « Confessions d’un mangeur d’opium » en 1821 explore les thèmes de la douleur, de l’introspection, de l’abandon, du péché, des forces secrètes qui manipulent l’homme, et célèbre l’art de rêver. 5. Hormis la littérature

des échanges. Au XVIIe siècle apparait la notion de «substance vicieuse», proposée par l'économiste Jean-Baptiste de Montyon[6], qui, au cours d'une réflexion sur la fiscalité, propose de taxer les comportements immoraux. À la fin du XIXe siècle, Thomas Larchevêque, dans une thèse consacrée au monopole du tabac, définit les substances vicieuses comme des biens dont «la consommation nuisible ou au moins inutile ne procure aucun avantage à l'organisme et qui ne sont que des excitants pernicieux du

normale) B/ Un objet de discours pratiques et engagés 1.La politique comme un art et savoir-faire => pas traité comme tel La politique des acteurs => un « art » politique ; peut également être un métier (ses ficelles, ses fins, ses règles). Thomas de Quincey : politique peut s'apprendre, comme art de jetter de la poudre aux yeux 2.La politique comme une science de la doxa (opinion) politique des médias, discours a demi savant ; politique comme spectacle => sensationnel, savoir des émotions, encodage

avec « Pensées nocturnes sur la vie, la mort et l’immortalité » (1745). « Conjectures en original composition » (1759) réflexion sur l’originalité et donne forme à une des idées clés du romantisme importance du génie individuel inévitable. Le poète Thomas Gray qui chante la nature sauvage, les littératures celtiques et nordiques. Poème le plus connu est « Elégie écrite dans un cimetière de campagne » qui est une réflexion sans amertume ni mièvrerie sur la condition humaine et le secret différent réservé

cimetière : Pensées nocturnes sur la vie, la mort et l’immortalité. Il donne forme à une des idées clef du romantisme : l’importance du génie individuel inimitable et dédaignant l’imitation, l’image du poète travaillant dans une solitude incomprise. * Thomas Gray : thèmes : nature sauvage, littératures celtiques et nordiques. Réflexion sur la condition humaine et le sort différent des individus selon leur condition sociale. Edmund Burke (1729-1797) : philosophe et homme d’état irlandais, penseur des

l’homme dans la nature avec son « Ode au vent d’Ouest » en 1820 ; que John Keats approfondit la résonance intérieure d’une âme angoissée en quête d’une spiritualité et d’une beauté qu’il pense trouver dans l’éternité de l’art grec tandis que Thomas De Quincey, dans son autobiographie « Confessions d’un mangeur d’opium » en 1821 explore les thèmes de la douleur, de l’introspection, de l’abandon, du péché, des forces secrètes qui manipulent l’homme, et célèbre l’art de rêver. 3) En France Avant la révolution

Au-delà de l’homme il considère que tous les composants de la nature ont les mêmes droits (animaux, forêt...) * Rachel Carson : usage énorme des pesticides et ce que ça transforme dans la génétique des territoires qui nous entoure.   * L Thomas * Ian L McHard – design with nature : les territoires ont tous des ressources, des identités particulières. Il s’agit de fonder l’urbanisme sur les territoires. Les territoires ne se prêtent pas à tout mais ils se prêtent à certains usages qu’on

rebelles (Mandfred1817). C’est ainsi que Percy Shelley cherche une consolation dans la nature avec son « Ode au vent d’Ouest » en 1820 ou que John Keats fait l’écho de son âme angoissée en quête d’une spiritualité et d’une beauté. De même Thomas De Quincey, dans son autobiographie « Confessions d’un mangeur d’opium » en 1821 explore les thèmes de la douleur, de l’introspection, de l’abandon, du péché, des forces secrètes qui manipulent l’homme, et célèbre l’art de rêver.  b) La grande génération