Thomas de Quincey

avec la répétition régulière de « Les jours s'en vont je demeure » Cors de chasse Notre histoire est noble et tragique Comme le masque d’un tyran Nul drame hasardeux ou magique Aucun détail indifférent Ne rend notre amour pathétique   Et Thomas de Quincey buvant L’opium poison doux et chaste À sa pauvre Anne allait rêvant Passons passons puisque tout passe Je me retournerai souvent   Les souvenirs sont cors de chasse Dont meurt le bruit parmi le vent Marie Vous y dansiez petite fille Y danserez-vous

publiant un pamphlet, Pauvre Belgique. La pauvreté et les excès prédisposaient Baudelaire à une maladie, qui se déclare vers 1850. A partir de 1857, pour soulager ses violents maux de tête, Baudelaire utilise l’opium, comme son contemporain Thomas de Quincey, dont il analyse les Confessions d’un mangeur d’opium dans Les Paradis artificiels. Son "rhumatisme à la tête" ne le quitte plus à partir de 1860, et en 1866, alors qu’il est en Belgique, une crise plus grave le laisse paralysé et aphatique.

d’amour de l’année Guillaume Apollinaire, Alcools (1913) f) Cors de chasse: Notre histoire est noble et tragique Comme le masque d’un tyran Nul drame hasardeux ou magique Aucun détail indifférent Ne rend notre amour pathétique Et Thomas de Quincey buvant L’opium poison doux et chaste A sa pauvre Anne allait rêvant Passons passons puisque tout passe Je me retournerai souvent Les souvenirs sont cors de chasse Dont meurt le bruit parmi le vent Guillaume Apollinaire, Alcools (1913)

ce qui fuit, au temps fait résistance. Joachim DU BELLAY (1522-1560) Cors de chasse Notre histoire est noble et tragiqueComme le masque d'un tyranNul drame hasardeux ou magiqueAucun détail indifférentNe rend notre amour pathétiqueEt Thomas de Quincey buvantL'opium poison doux et chasteÀ sa pauvre Anne allait rêvantPassons passons puisque tout passeJe me retournerai souventLes souvenirs sont cors de chasseDont meurt le bruit parmi le vent Guillaume Apollinaire (1880 - 1918) Toujours

distraire,Quand je dormais, l’a remonté ! Théophile Gautier Cors de chasse Notre histoire est noble et tragiqueComme le masque d'un tyranNul drame hasardeux ou magiqueAucun détail indifférentNe rend notre amour pathétique Et Thomas de Quincey buvantL'opium poison doux et chasteÀ sa pauvre Anne allait rêvantPassons passons puisque tout passeJe me retournerai souvent Les souvenirs sont cors de chasseDont meurt le bruit parmi le vent Guillaume Apollinaire Toujours ce souvenir…

trous du buis sonore. * Guillaume APOLLINAIRE (1880-1918) Cors de chasse Notre histoire est noble et tragique Comme le masque d'un tyran Nul drame hasardeux ou magique Aucun détail indifférent Ne rend notre amour pathétique   Et Thomas de Quincey buvant L'opium poison doux et chaste À sa pauvre Anne allait rêvant Passons passons puisque tout passe Je me retournerai souvent   Les souvenirs sont cors de chasse Dont meurt le bruit parmi le vent * Charles BAUDELAIRE (1821-1867)

littérature. Le 31 août 1828 paraît à Dijon, dans Le Provincial, le journal d'Aloysius Bertrand, Un rêve, ballade signée « ADM ». La même année, il publie L'Anglais mangeur d'opium, version française de Confessions of an English Opium Eater, de Thomas de Quincey (traduction peu fidèle cependant). Grâce à Paul Fouché, beau-frère de Victor Hugo, il fréquente dès l'âge de 17 ans le « Cénacle », salon de Charles Nodier à la Bibliothèque de l'Arsenal. Il sympathise alors avec Sainte-Beuve et Vigny, et se

publiant un pamphlet, Pauvre Belgique. La pauvreté et les excès prédisposaient Baudelaire à une maladie, qui se déclare vers 1850. A partir de 1857, pour soulager ses violents maux de tête, Baudelaire utilise l’opium, comme son contemporain Thomas de Quincey, dont il analyse les Confessions d’un mangeur d’opium dans Les Paradis artificiels. Son "rhumatisme à la tête" ne le quitte plus à partir de 1860, et en 1866, alors qu’il est en Belgique, une crise plus grave le laisse paralysé et aphatique.

serments Guillaume Apollinaire Alcools Cycle 3 Littérature Cors de chasse POÉSIE Notre histoire est noble et tragique Comme le masque d’un tyran Nul drame hasardeux ou magique Aucun détail indifférent Ne rend notre amour pathétique Et Thomas de Quincey buvant L’opium poison doux et chaste À sa pauvre Anne allait rêvant Passons passons puisque tout passe Je me retournerai souvent Les souvenirs sont cors de chasse Dont meurt le bruit parmi le vent Guillaume Apollinaire Alcools Cycle 3 Littérature

littérature. Le 31 août 1828 paraît à Dijon, dans Le Provincial, le journal d'Aloysius Bertrand, Un rêve, ballade signée « ADM ». La même année, il publie L'Anglais mangeur d'opium, version française de Confessions of an English Opium Eater, de Thomas de Quincey (traduction peu fidèle cependant). Grâce à Paul Foucher, beau-frère de Victor Hugo, il fréquente dès l'âge de 17 ans le « Cénacle », ainsi que le salon de Charles Nodier à la Bibliothèque de l'Arsenal. Il sympathise alors avec Sainte-Beuve et