Thiers Le Roi Règne Mais Ne Gouverne Pas

repères historiques le régime politique britannique est directement issu d‟un long combat politique mené contre le roi d‟Angleterre et les grandes dates de ce régime correspondent à des victoire et des conquêtes obtenu contre le roi en 1215 les barons ont obtenu par la force, l‟octroi de la grande Charte, la Magna Carta du roi Jean sans Terre, qui comporte un principe selon lequel le roi ne peut lever des impôts sans obtenir le consentement d‟une Assemblée (à l‟époque le Grand Conseil) → événement capital

existe trois grands secteurs : - Le Droit administratif - Le Droit financier - Le Droit constitutionnel Le Droit administratif traite des règles de l’administration de l’état et les démembrements de l’état. Le Droit administratif règne sur les rapports entre ces personnes et les administrés, les usagers du service public. Le Droit administratif relève d’un certain nombre de juridiction en France, on dit « l’Ordre des juridictions ». A la base on trouve le tribunal administratif

d’origine plus ou moins lointaine et qui ne sont donc pas rassemblées dans une C° unique. Ex : La magna carta libertatum de 1215. Elle reconnait certains droits à la noblesse et au clergé en matière de privation des libertés. C’est un accord entre le roi et la noblesse et le Clergé. 2e ex : la déclaration des Droits de 1689 (Bill of rights) : considéré comme étant le fondement de la monarchie C°L britannique car elle affirme la limitation du pouvoir royal par les pouvoir du parlement. 3e ex : la loi

devenir commandant du 169e bataillon [12], alors que le siège de Paris commence le 19 septembre 1870. Fin octobre, les Parisiens se révoltent en apprenant la reddition du maréchal Bazaine à Metz et l'envoi par le gouvernement provisoire d'Adolphe Thiers à Versailles, pour négocier l'armistice avec Bismarck. Clemenceau fait placarder des affiches annonçant son refus d'une telle « trahison ». Le jour même, la Garde nationale des quartiers populaires organise un soulèvement afin de tenter de prendre

d’origine plus ou moins lointaine et qui ne sont donc pas rassemblées dans une C° unique. Ex : La magna carta libertatum de 1215. Elle reconnait certains droits à la noblesse et au clergé en matière de privation des libertés. C’est un accord entre le roi et la noblesse et le Clergé. 2e ex : la déclaration des Droits de 1689 (Bill of rights) : considéré comme étant le fondement de la monarchie C°L britannique car elle affirme la limitation du pouvoir royal par les pouvoir du parlement. 3e ex : la loi

gouvernants, l’exercice du pouvoir politique a pu être organisé de façon plus efficace. Les décisions prisent par les autorités ont de meilleures chances d’êtres appliqués en raison de l’amélioration des relations entre gouvernants et gouvernés. De plus, les gouvernés savent ce que les gouvernants sont en droit de leur demander. Et donc, à contrario, ce qu’ils ne peuvent pas exiger de leur part. Dès lors, l’exercice du pouvoir politique se trouve plus ou moins encadré et par voie de conséquence

l’émergence d’une thèse que la documentation peine à étayer. Du reste, au sein de la maçonnerie elle-même, une telle conception n’a pas été défendue avant la fin du xixe siècle. B) S’agissant de l’Ordre du Temple, aboli en 1312 sous les coups conjugués du roi de France Philippe le Bel et du pape Clément V, l’idée qu’il aurait persisté secrètement en donnant naissance à la maçonnerie semble s’être formée dans le premier tiers du xviiie siècle. Elle dut se constituer en deux temps : le premier fut d’affirmer

le prolongement de ROUSSEAU qui dans « le contrat social » s’interroge sur la contradiction de l’intérêt général et particulier. La science politique va se développer en s’intéressant d’abord aux institutions politiques, relations gouvernement / gouverner. Le problème des jugements de valeurs perdure, car dès 1795 a été fondée une académie des sciences morales et politiques qui s’efforce de disserter sur l’histoire, la philosophie, le droit, en mêlant jugements de valeurs et réalités. Ce qui va permettre

l’émergence d’une thèse que la documentation peine à étayer. Du reste, au sein de la maçonnerie ellemême, une telle conception n’a pas été défendue avant la fin du xixe siècle. B) S’agissant de l’Ordre du Temple, aboli en 1312 sous les coups conjugués du roi de France Philippe le Bel et du pape Clément V, l’idée qu’il aurait persisté secrètement en donnant naissance à la maçonnerie semble s’être formée dans le premier tiers du xviiie siècle. Elle dut se constituer en deux temps : le premier fut d’affirmer

d’Elbe, Cent-Jours, Acte additionnel aux constitutions de l’Empire (inappliqué), défaite de Waterloo (18 juin). 27, 28, 29.7.1830 : « Trois Glorieuses », révolution, chute du Roi Charles X Charte du 14 août 1830 Monarchie de Juillet (monarchie censitaire, accentuation du parlementarisme) 24 février 1848 : révolution, chute du Roi Louis-Philippe, Proclamation de la République. 24 février 1848 Gouvernement provisoire Proclamation de la Deuxième République. 23.4.1848 : élection au suffrage universel masculin