Thiers Gambetta

guerre de 1870 aboutissant à la défaite et à la capture de l'empereur Napoléon III à Sedan, le 2 septembre, les socialistes d'Auguste Blanqui tentèrent d'organiser une insurrection. Mais l'opposition parlementaire, surtout républicaine, menée par Léon Gambetta parvint à mettre en place un gouvernement provisoire, dit de la Défense nationale. Les élections qui eurent lieu le 17 février amenèrent une majorité monarchiste à l'assemblée. Le principal débat porta sur la reprise des hostilités ou la capitulation

Juillet, ce qui lui vaudra d'être nommé ministre de l'Intérieur par Louis-Philippe 1er, et bien d’autres ministères, ce fut un homme politique fort. Puis Adolphe Thiers l'appelle à l'Instruction publique (1832-1837). C'est alors qu'il généralise l'enseignement primaire (loi de juin 1833). Ambassadeur à Londres après la chute du cabinet Thiers, Guizot est rappelé aux Affaires étrangères (1840-1847) puis à la présidence du Conseil où il mène une politique très impopulaire, repoussant toute modification

distance, c’est-à-dire s’opposer au suffrage universel. Les libéraux du mouvement (Lafitte, Lafayette…) : 1830 est le début d’une évolution de plus en plus libérale. Ils veulent un Roy qui règne mais ne gouverne pas. Les libéraux de la résistance (Thiers, Guisot, Casimir Perrier) : 1830 est le point d’arrivée, toute modification entrainerait un déséquilibre et il faut donc laisser les choses telles qu’elles sont. Ils défendent leurs idées dans le « journal des débats ». Le marais : entre les deux

condamné par le régime bonapartiste. Les élections de 1863 marquèrent un tournant dans sa carrière, en effet, elles lui permirent d’acquérir une notoriété nouvelle. Jules Ferry se sert de cette expérience pour perfectionner sa rédaction car comme Thiers lui écrira en : « C’est une puissance qu’une plume, et qui est bonne à employer avant qu’on puisse se servir de la langue. ». Cette fois il était hautement désigné, par sa vaillante campagne de presse et surtout par les Comptes fantastiques d’Haussmann

Victor Hugo, L’année terrible, 1872 : lecture d'une œuvre intégrale en seconde Séquence proposée par M. Alain Guerpillon, professeur agrégé au lycée Thiers de Marseille. Fin du recueil : Avril 1871 à juillet1871 Édition Poésie Gallimard La présente séquence a pour objectif de proposer une lecture intégrale d’une partie de L’année terrible Les mois d’avril à juillet 2014 ont été retenus pour plusieurs raisons. Ils offrent une unité thématique autour de la représentation de la Commune et permettent

de partisans dans le pays. Face à l’avancée des Prussiens , un gouvernement de défense nationale est constitué. Gambetta veut poursuivre la guerre et se heurte à l’hostilité des campagnes et des modérés du gouvernement. De plus , à l’Assemblée Nationale, élue en février 1871, les monarchistes partisans de la paix avec l’Allemagne sont en majorité . La nouvelle assemblée nomme Thiers « chef du pouvoir exécutif », mais en lui faisant promettre de ne pas prendre position sur le régime du futur

peu tout en provoquant de nombreux conflits. La IIIème république est proclamée le 4 septembre 1870 mais son existence n’est pas fiable jusqu’à sa conquête par les républicains. Les monarchistes confient la présidence de la République à Adolphe Thiers qui, doté d’une grande popularité, poursuit une politique conservatrice. Il a également accéléré la libération du territoire mais l’assemblée l’oblige à démissionner pour s’être prononcé en faveur de la république. Une coalition des droites porte

contrôle de l’exécutif est plus efficace et, même si le Roi refuse de se laisser déposséder de ses pouvoirs, il ne peut s’opposer à la progression du parlementarisme. Il conserve cependant le droit de révoquer les ministères qui n’ont plus sa confiance : Thiers en août 1836. Cette double responsabilité ne peut pas durer et le Roi abdique le 24 février après la Révolution surprise de 1848. Celle-ci est la première révolution sociale[13], elle cause la fin définitive de la Monarchie en France. § 2 – La

L'Assemblée le 10 mars 1871 décide de suspendre le moratoire sur les dettes, toutes les dettes doivent donc être payé, c'est aussi une mesure qui suscite un regain d'effervescence et d'agitation. L'ultime maladresse est une décision prise le 18 mars 1871, Thiers comprend que la situation est un peu compliquée quand on a à Paris des gardes nationaux désœuvrés qui ont garder leurs armes. Il décide alors de récupérer les canons et les fusils qui sont à Paris. Le problème c'est que les canons ont été payés par

société. La politique française connaît elle aussi des changements : Un nouveau régime se met en place, la république. La république est proclamée en 1870 par Léon Gambetta mais l’idée monarchique demeure encore. Cependant, le peuple, humilié par la défaite de Sedan, se révolte contre le gouvernement républicain dirigé par Adolf Thiers. Cela entraine l’affrontement de deux républiques : la république rouge, qui veut une révolution violente et la république tricolore qui prône une monarchie constitutionnelle