Thiers Gambetta

l’Empereur, un gouvernement de « Défense National » est crée par les Républicains (Léon Gambetta). Les élections législatives de février 1871 portent une assemblée conservatrice au pouvoir qui désigne Thiers comme chef du gouvernement. Le peuple de Paris se rebelle et forme « La Commune » qui tente d’instaurer une démocratie directe et sociale. Après 3 mois d’existence, la Commune est renversée par les troupes de Thiers (Versailles). Ce n’est qu’en 1875 que les lois constitutionnelles qui fondent la IIIème

se met en place tout d’abord une organisation provisoire des pouvoirs publics puis l’Assemblée Nationale élit le 17 février 1871 M. Thiers chef du pouvoir exécutif de la République française. L’impossibilité de toute Restauration immédiate et l’orientation républicaines des élections partielles entrainent l’Assemblée à préciser, pour limiter, les pouvoirs de Thiers. Ainsi une première constitution est donnée par J. Rivet. La recherche d’une constitution profonde et solide pour la France se met en

la volonté de bâtir par l’action ouvrière un socialisme de l’avenir. A la tête de la première Internationale, Karl MARX va jouer un rôle éminent comme chef du mouvement ouvrier Le 4 septembre 1870, la nouvelle république est proclamée par Léon Gambetta. La révolution de 1848 avait révélé la force montante de la classe ouvrière se battant pour ses propres objectifs ; en 1871, la Commune va réussir à semer les germes d’une forme d'État Socialiste. Confrontée aux difficultés de la défense, de la guerre

des idéaux de 1789 mais réfute la terreur, la violence. FERRY, républicain modéré, est de cet avis. Un courant républicain plus à gauche ne veut pas quant à lui séparer 1789 et 1793. 1869 Programme de Belleville (TD) de Ferry, Gambetta (centre droit) et Clémenceau (centre gauche) 1870 défaite de Sedan dans la Guerre franco Prusse. Perte de l'Alsace / Lorraine → par la suite il y aura idée de revanche dans les années 1880 et début XXème. proclamation

mal préparés, très inférieurs en nombre ( Cf. forces en présences ) et très mal commandés (Napoléon lui même ne croyait pas à cette guerre. Il était pacifiste ) Commandants : France : Napoléon III, Louis Jules puis Trochu et pour finir Léon Gambetta Allemagne : Helmuth von Moltke Forces en présence : France : 900000 hommes Allemagne : 1200000 hommes Les allemands ont un effectif de soldats plus important, cela a contribué à les avantager. Pertes : France : 139000 morts 143000

régime est toujours populaire. Mais en l'espace de quelques semaines tout bascule. Le 19 Juillet 1870 l'Empereur déclare la guerre à la Prusse. Battu il doit capituler à Sedan le 2 septembre 1870. Le retour à la République largement encouragé par Gambetta qui fait proclamer la IIIe République à l'hotel de ville de Paris le 4 septembre 1870. Le 28 Janvier 1871 l'armistice franco-allemande est signé. En février les elections donnent la majorité aux monarchistes qui se déclarent pour la paix à tout

III Belligérants Empire français, puis République française Confédération de l'Allemagne du Nord Royaume de Prusse1 Royaume de Bavière Grand-duché de Bade Royaume de Wurtemberg Commandants Napoléon III puis Louis Jules Trochu Léon Gambetta Guillaume Ier Otto von Bismarck Helmuth von Moltke Forces en présence 900 000 hommes 1 200 000 hommes Pertes 139 000 morts 143 000 blessés 320 000 malades 475 000 prisonniers 120 000 morts 128 000 blessés 300 000 malades Batailles Wissembourg

majoritaires, c'est un échec moral pour Napoléon III qui apparaît affaiblit. La nouvelle assemblée voit donc au cours des années 1864 et 1865, émerger deux figures marquantes de l'opposition : Thiers, ancien ministre sous la monarchie de Juillet, et un Jeune Républicain, Émile Ollivier. C'est ainsi qu'en 1864, Adolphe Thiers réclame lors du débat sur le droit d'adresse les 5 libertés qu'il jugent nécessaires à la survie du régime : Individuelle, de presse, électorale, le droit d'interpellation, et la responsabilité

social et politique • Les oppositions muselées Une politique de répression et de censure a été mise en place au lendemain du coup d’Etat de décembre 1851, ce qui permet de réduire l’opposition du silence. L’opposition libérale, dirigée par Thiers, se cantonne à certains journaux, aux salons ou à l’Académie française où siègent Guizot et Montalembert. La plupart des chefs républicains ou socialistes restent en prison (Blanqui) ou en exil (Ledru-Rollin) jusqu’à l’amnistie générale de 1859, parfois

souhaitent la continuation dynastique et ceux qui considèrent que depuis la révolution de 1830 (fils de Louis Philippe au pouvoir, Orléans).., enfin des républicains modérés. On donne le titre de pouvoir exécutif de la République française à Adolph Thiers, il est un redoutable tribun. La situation dans la capitale se dégradant, le 10 mars 1871 l’Assemblée décide de son transfert à Versailles. Le 10 mars 1871 un accord est conclu, connu sous le nom de « Patte de Bordeaux », tant que les relations avec