Théorie néo-classique du producteur

relief les vertus attendues du libre-échange ou du commerce international. Les théories du commerce international visent-à répondre à deux interrogations. La première est relative à la division internationale du travail, sur ce point il s’agit d’être en mesure d’expliquer pourquoi un pays choisit d’exporter tel bien pendant qu’il importe tel autre. Comment se réalise ce choix ? La seconde question à la qu’elle la théorie du commerce internationale tente de répondre renvoie aux politiques à mettre

économiste qui est supposé fonder prioritairement le lien social, à la condition de laisser les individus poursuivre le plus librement possible leurs intérêts particuliers. Toutefois, fonder le lien social sur les relations de marché comme le propose la théorie économique naissante autour de l’idée d’une main invisible n’a jamais été une position consensuelle chez les économistes ; ainsi, de nombreux courants de pensée ont critiqué ce fondement libéral de l’analyse économique, parmi lesquels les plus connus

Microéconomie (Histoire de la pensée économique) I Les esquisses d’une théorie de la valeur Aristote (V -> IVème siècle avant J.C.) Disciple de Platon Pourtant, bien qu’étant son disciple, il s’oppose fermement à son maître sur les doctrines économiques. Il est très hostile à la propriété publique et à l’égalitarisme平均主义. Si Platon est l’ancêtre du communisme, Aristote est le précurseur d’un libéralisme modéré. Pour Aristote, la propriété commune des terres amène à l’inefficacité

une situation dégénérée : après un équilibrage des dotations relatives, les pays se retrouvent en autarcie. Théorie des avantages absolus[modifier]Cherchant à défendre l'idée du libre-échange, Adam Smith montre, à la fin du XVIIIeme siècle, en 1776, qu'un pays ne doit pas hésiter à acheter à l'extérieur ce que les producteurs étrangers peuvent produire à meilleur compte que les producteurs nationaux. Le pays qui vend un certain produit moins cher que tous les autres pays possède ainsi un avantage

l'effondrement des économies planifiées mises en place après 1917, est à nouveau considérée avec la crise financière ouverte en 2008 et le recours à l'interventionnisme étatique. Les grandes écoles de la pensée économique (mercantilisme, libéralisme classique, marxisme, néo-classicisme, keynésianisme et les filiations de la pensée contemporaine) sont présentées contextuellement4, et c’est ici la thèse centrale de cet essai de vulgarisation des idées économiques : il existe une contextualité des grands courants

l’entreprise. Dans la théorie néoclassique du marché, il n’y a pas d’entreprises, ce sont des producteurs. Ces producteurs sont des ingénieurs qui connaissent l’état de la technique existante, de fait ils connaissent la ou les fonctions de production. Aussi, à partir de cela ils choisissent les quantités de facteurs de production qui maximiseront le profit quantités les prix du travail, du capital et du produit tout en ayant un coût donné ou un niveau de production donné. Un producteur n’est pas une entreprise

firme et ses objectifs Comme nous avons pu l’aborder précédemment dans le sujet 1, plusieurs théories s'opposent sur la question suivante « qu’est-ce qu’une firme ? ». On constate dès lors que ces différentes théories insistent pour chacune d'entre elles sur un aspect particulier de la vie et de l'activité de l'entreprise. Nous allons donc développer les différents objectifs de la firme selon la théorie dans laquelle elle se trouve. I. L’approche néoclassique Quatre hypothèses la caractérisent

les sociétés doivent s’organiser et faire des choix (cela explique, en partie, pourquoi l’économie est autant mobilisée par la problématique du développement soutenable). On peut par ailleurs retrouver dans l’histoire de la pensée économique « classique », bien avant que la question du développement soutenable (et en particulier les questions environnementales) ne deviennent un enjeu politique majeur, un certains nombre de réflexions partielles, d’éléments d’analyse économique autour de cette thématique

intermédiaires, outil de production (le capital). Elle est donc très peu utilisée, par le courant marxiste en particulier. Certains économistes classiques, suivis en cela par les marxistes, ont eu de la production une analyse centrée sur l’effort fourni par les travailleurs sur la valeur qui selon eux devait déterminer le « juste prix ». Depuis les néo-classiques cette notion n'est plus guère utilisée dans l'analyse économique standard. D'autres approches, basées sur la micro-économie et sur l'observation

IV. L’approche économique néo-institutionnelle V. L’approche sociologique néo-institutionnelle VI. Limites du courant VII. L'évolution récente du courant Conclusion Introduction : La théorie du néo-institutionnalisme s’efforce d’expliquer le phénomène de l’homogénéité dans les organisations et aussi l’influence de l’environnement institutionnel sur les organisations. Le préfixe « néo » indique qu’il s’agit du renouvellement de la théorie institutionnelle dans les années