Théorie néo-classique du producteur

pas étudiée car considérée comme superflue.Si l'économie tend à être une science dure, alors il n'y a aucune raison d'étudier l'Histoire de l'Analyse Économique. L'objectif de l'introduction est de démontrer que certaines particularités de la théorie économique complique le rapport entre l'histoire et la discipline et d'autre part l’état actuel des connaissances. Elle s'appuie sur 2 notions : La notion de paradigme La notion de réfutation Section – Paradigme et révolutions scientifiques

siècles (moyen âge..) les sociétés sont soumises à une énorme influence de la religion et de la morale (l’acte économique peut être réprouvé, condamné ex le prêt avec intérêt). XVIIIème : mise en place de la discipline (influence de certains auteurs classiques), en France au début du XIX ème on commence à enseigner l’économie avec généralisation fin XIXème dans le supérieur (facs de droit). 2)Quel objet pour la discipline ? A quoi s’intéresse l’économie ? Quel est son objet de connaissance ? Pour

TRAVAIL : THÉORIES ET RÉALITÉS Dr Serge F. SIMEN Enseignant-Chercheur Introduction… Les organisations sont un champ vaste : elles occupent une place centrale dans nos sociétés. Les théories des organisations (au sens strict) sont nées de la volonté de définir des principes pertinents de fonctionnement des organisations, de repérer des règles de gestion, de construire des outils susceptibles de concevoir de « bonnes » organisations. Partie 1 - L'organisation du travail : théories et réalités

artisans, indispensables au circuit économique. Ils vont vendre les outils qui permettent de produire. Mais, dans leur esprit, ils ne vont pas créer de richesse supplémentaire, ils la transforment seulement. Les physiocrates développement une théorie agraire. Quesnay distingue 3 classes : -la classe productive : aura un revenu, les paysans pourront se rémunérer eux-mêmes. Les physiocrates souhaitent que le blé soit bien rémunéré, et sont pour une libre circulation du grain. -la classe des

economique Introduction 3 approches à la pensée économique : * Matérialiste * Idéaliste * Epistimologique 1) Matérialiste : - Théories ne sont le fruit que des circonstances concrètes dans lesquelles elles sont apparues. - Une idéologie qui aboutit à une production scientifique. - Il sous entend un véritable déterminisme de la théorie, et donc de relativisme : la société se transforme et la société suit. 2) Idéaliste : - « L'éthique protestante et l'esprit du Capitalisme

Consommation – Comment choisir ce qu’on achète • Production – Comment choisir ce qu’on produit – Marché: l’interaction entre consommateurs et producteurs – Echanges : détermination d’un équilibre partiel, ou général, après échanges entre agents économiques – Le vote (voting theory…) 4.  Macroéconomie et Microéconomie Exemple d’un sujet microéconomique: Théorie des jeux Dilemme du prisonnier: Deux suspects sont arrêtés par la police. Mais les agents n'ont pas assez de preuves pour les inculper

conformité aux idéaux ou aux valeurs de l’acteur. La rationalité économique : les individus maximisent leur utilité sous la contrainte des ressources disponible -l’homoeconomicus : maximum de satisfaction par le minimum de coût -consommation -producteur La rationalité limitée (Hebert A.Simon prix nobel 1978) : l’individu ne connait pas tous les choix possibles donc : l’homme ne cherche pas à atteindre le choix optimal comme chez l’homo economicus mais seulement un certain niveau de satisfaction

problèmes de fonctionnement • s’il travaille dans un collectif • et si le système de rémunération reflète mal l’effort individuel parce qu’il est difficile de mesurer la contribution de chacun au résultat global. Le paradoxe = . la théorie économique néo-classique repose sur le principe de la supériorité de la propriété privée et sur les avantages de l’entreprise individuelle . la vie économique repose largement sur des firmes de grande taille. Ce paradoxe porte aussi le nom de "la tragédie

abordées sous différents angles par un grand nombre de courants d’analyse économiques et sociologiques. Du point de vue de l’économie politique de la communication, et plus particulièrement à partir de ce que l’on a pu désigner en Europe comme la théorie des industries culturelles, cet article, résolument synthétique, vise à réévaluer les approches à l’ère de la globalisation et de l’essor des techniques de l’information et de la communication. Dans cette perspective, il précise ce que sont les originalités

de dégager des lois économiques ; exemples de lois économiques (voir polycopiés ci-après « les grands courants de la pensée économique) : La théorie de la main invisible (A Smith) : l’individu, en poursuivant ses buts égoistes, personnels, réalise l’optimum collectif. La loi des débouchés (JB Say) : l’offre crée sa propre demande : les producteurs (par leur offre) distribuent des revenus qui permettent de constituer un demande suffisante pour absorber cette offre. La loi du multiplicateur