Théorie de la paix démocratique

poudrière du monde Après avoir présenté les principaux conflits, […] on analyse les enjeux stratégiques essentiels [...] pétrole et eau. Sujet d’étude [Étude de cas] Le Proche-Orient, la poudrière du monde, p. 16-23 1. Le conflit israélo-arabe : une paix qui s’éloigne ? 2. L’Irak en proie à la guerre 3. Le pétrole et l’eau, enjeux stratégiques Ce qu’il faut savoir du Sujet d’étude Il s’agit de montrer que beaucoup de facteurs font de cette région un lieu stratégique dont les enjeux sont mondiaux.

LIBERTÉ, RÉGIME POLITIQUE, POUVOIRActivité 2 : Existe-t-il une ou des démocraties ? Quelles différences entre démocratie et régimes autoritaires ? : Texte sur « la Russie de Poutine » et Carte de l’indice démocratique La Russie de Poutine, un régime démocratique ? “Le rapport [de la FIDH] dresse un constat alarmant de l’arsenal judiciaire mis en place par le régime de Poutine depuis qu’il a été réélu en 2012. De nombreuses lois ont été adoptées ou amendées au service de la répression

a une idée de justice, d'équité avec la remonté d'améliorer la réalité que le droit appréhende, autrement dit, il a pour objectif, de réguler les rapports sociaux, le bien être de tous. Il y a ce qui est, et ce qui doit être, pour qu'il y ait une paix sociale, internationale. Aujourd’hui les sociétés sont organisé selon le modèle de l'Etat, est l'organisation sociale la plus perfectionnée. A l'intérieur de l'Etat, les particuliers entretiennent des rapports multiples, soumis à des règles de lois

La société est une réalité problématique marquée par des contradictions. La vie en société développe les inégalités naturelles. Les inégalités sont sensibles car elles contrastent avec l’égalité de droit instituée dans nos sociétés démocratiques. Rousseau a montré dans le Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes que les inégalités naturelles étaient peu de choses par rapport aux inégalités sociales. Peut-on concevoir des institutions qui les atténueraient

sont pas équivalents. Pour les modernes, à commencer par Machiavel (Le Prince, 1532), l’Etat ne dérive ni de la nature, ni de la volonté de Dieu. L’Etat n’est pas la cité. L’Etat est un artifice L’idée volontariste de l’Etat apparaît avec la théorie moderne de la souveraineté, exprimée notamment par Hobbes dans le Léviathan (1651). Pour échapper à l’insécurité qui règne à l’état de nature, les hommes renoncent à leurs droits naturels et les confient à un tiers (homme ou assemblée). On considère

d’être nécessaires dans un « société démocratique ». B. L’ordre public, limite à l’exercice des libertés fondamentales en période exceptionnelle 1°) La théorie des circonstances exceptionnelles dans l’ordre interne CE, 28 février 1919, Dame Dol et Laurent, rec. 208 : « les limites de pouvoirs de police dont l’autorité publique dispose pour le maintien de l’ordre et de la sécurité ne sauraient être les mêmes dans le temps de paix et pendant la période de guerre où

l’intérêt commun (Aristote) 6 3. Le meilleur régime dépend de circonstances (Montesquieu) 7 II. Le contrat ou la guerre : deux modèles pour penser l’Etat 7 A. Le contrat et la justice 7 1. Les lois constituent un contrat implicite (Platon) 7 2. La théorie du contrat social (Rousseau) 8 3. Le contrat social : une fiction régulatrice (Kant) 8 4. L’Etat réalise la justice (Kant, Hegel) 9 B. La force et la domination 11 1. La guerre comme fiction (Hobbes) 11 2. La guerre comme réalité de l’Etat (Weber

modalités. 2 – Les théories des constitutionnalistes : tentation platonicienne des cycles . Le doyen Delandres tenta d’expliquer le mouvement sinusoïdal par le degré d’intensité du contraste entre les régimes. Il distingua une période d’oscillation de grande amplitude de 1789 à 1814, où l’on a eu des régimes très contradictoires. De 1814 à 1870, période d’oscillation de moyenne amplitude, grâce au régime parlementaire. . Le doyen Barthélemy distingue une période démocratique révolutionnaire de

l’autoritarisme dans les pays arabes tandis qu’une vague de démocratisation déferlait sur le reste du monde, que ce domaine d’étude commence à se libérer de ce lourd héritage et de son dernier avatar, la « transitologie ». d L’évolution de la question démocratique La conception de la démocratie a beaucoup changé au cours du XXe siècle : après y avoir longtemps vu un mode de gouvernement relativement rare et inégalement viable selon les États, on la considère désormais comme une forme politique universellement

perpétuel « débat » même s’Il ne s’agit pas d’un nouveau phénomène. Tous les régimes ont légiféré sur le passé, en particulier après des conflits ou des phases de transition entre régimes. Lors de ces périodes de transition démocratique, il y a la nécessité de rétablir la paix sociale dans une société. Cela passe souvent par des actes de réconciliation dont l’amnistie est le geste suprême. Ainsi, Michel Tubiana s’interroge sur le fait que décider d’une amnistie est-ce simplement de rendre justice