Théophraste

Anciens cad qu'il puise les sources de son écrit dans l'Antiquité qui est pour lui un modèle esthétique littéraire.Il est principalement connu pour son œuvre « Les Caractères » publiés en 1688 qu'il présente comme la continuité des caractères de Théophraste (auteur grec).La Bruyère dresse une série de portraits satiriques (caricatures) de contemporains vivant sous Louis XIV cad décrits dans leurs travers quotidiens. Ainsi il met en avant un monde délaissé par l'esprit, une société qui s'étourdit dans

- 367 à 347 : il suit l’enseignement de Platon à l’Académie d’Athènes. À la mort de son maître, Aristote s’éloigne d’Athènes et fonde une école à Assos. Il rencontre Théophraste et se lie d’amitié avec le naturaliste qui travaillera plus de vingt ans à ses côtés. - 342 : Philippe, roi de Macédoine, le fait

des organismes qui anime aujourd'hui la profession en France est le « Comité Colbert ». D'autres pratiques apparaissent au XVIIe siècle et XVIIIe en France et au Royaume-Uni où l'activité publicitaire connait un fort développement. Dès 1628 Théophraste Renaudot crée « Le bureau de rencontre et d'adresse », un service chargé de diffuser diverses annonces. Avec le Fordisme, dès le début du XXe siècle, la mentalité consumériste se développe suite à la baisse du prix des biens et à l'accroissement

C’est pourquoi d’ailleurs ce grand philosophe se creva les yeux pour décharger son âme de la distraction qu’elle lui procurait, et pouvoir philosopher plus librement. Mais à ce compte-là, il aurait pu se faire aussi couper les oreilles, que Théophraste considère comme le plus dangereux instrument que nous ayons pour recevoir des impressions violentes et propres à nous troubler et nous changer; et pour finir, il aurait dû se priver de tous les autres sens, c’est-à-dire de son être et de sa vie

Introduction: Dans sa forme finale, Les Caractères de La Bruyère, publié en 1687, sont un recueil de remarques, sous forme de pensées, de réflexion et de portraits, présenté comme une simple continuation des Caractères du philosophe grec Théophraste. Elle porte un regard critique sur une société où l’argent et les apparences règnent en maître, au détriment des mérites et de la vertu. Dans la section VI de l’œuvre intitulée « Des biens de fortune », La Bruyère brosse un diptyque

I - LE GRAND SIÈCLE ET LA CORRESPONDANCE Le XVII° siècle manque de moyens d'information rapides. Si La Gazette de Théophraste RENAUDOT apparaît comme l'ancêtre de la presse d'information et de distribution, comme tous les autres journaux qui vont emboîter son pas, c'est surtout une presse polémique, presse d'échos, comportant des informations littéraires et scientifiques, dont la périodicité est loin d'être assurée.Les moyens de communication se développent, il faut cinq jours pour aller de Paris

l’Isatis et parfois les plantes à indigo avant Dioscoride. On sait que Dioscoride avait pillé les auteurs qui lui étaient antérieurs. Aujourd’hui on peut encore trouver des informations dans les textes de Théophraste, Hippocrate ou même Hérodote. Le plus grand des botanistes de l’époque est Théophraste qui a écrit un livre magistral sur la botanique, mais ce n’est malheureusement pas un herbier. Elève d’Aristote, il vécut entre 371 et 287 av JC. Dans ses œuvres connues l’Isatis n’est citée que pour

à travers une mise en lumière d'« une vie inconsciente des désirs » (P. Bénichou), les Maximes se livrent à une véritable dissolution du « moi » ; au lieu que l'œuvre de La Bruyère (neuf éditions de 1688 à 1696) privilégie, dans la tradition de Théophraste renouvelée par les Anglais (les Characters of Vertues and Vices de Joseph Hall, 1608), des types, des portraits, et par conséquent une certaine fixité que dit bien son titre. Les Caractères, ou les Mœurs de ce siècle affichent nettement leur dimension

l’exercice de la raison alors qu’exemples et citations démontrent le contraire Antiphrase « beau philosophe » pr Démocrite Image burlesque « se faire étoupper les oreilles » en opposition avec la définition morale et philosophique de l’ouïe selon Théophraste « plus dangereux instrument que ns ayons pr recevoir des impressions violentes à nous troubler et changer » Acharnement des 2 philosophes contre la vue et l’ouïe = surenchère comique Montaigne allie humour et ironie pr gagner la sympathie du lecteur :

PRESSE ET PUBLICITÉ EN FRANCE (XVIIIe et XIXe siècles)Cairn.info matière à réflexion : la presse et la publicité en France aux XVIIIe et XIXe siècles, Revue historique pour Presses Universitaires de France.Gilles Feyel : Historien français du XXe siècle, et professeur d’histoire à l’Université de Paris II, Institut français de presse. Il a consacré tous ses travaux à l’histoire des médias français et à la presse écrite plus précisément aux XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles. Il fait aussi partie du