Théisme

⇒ atermoiement. Banqueroute simple liquidée par un concordat. déisme [deism] n. m. • 1662; du lat. deus → dieu  ♦ Position philosophique de ceux qui admettent l'existence d'une divinité, sans accepter de religion révélée ni de dogme. ⇒ 1. théisme. Un déisme panthéiste. ⊗ CONTR. Athéisme. foi [fwa] n. f. • feit, fei XIIe; feid XIe; fied Xe; lat. fides « confiance, croyance » → féal, fidèle  I♦ Vx ou en loc. (sens objectif) 1♦ Assurance donnée d'être fidèle à sa parole

important de milord Bolingbroke ou le tombeau du fanatisme]. Jésus y est caricaturé « comme un chef de parti », un « gueux », un homme « de la lie du peuple » qui voulait former une secte[]. La religion qu’apporte Mahomet était en revanche « le simple théisme, la religion naturelle et par conséquent la seule véritable[]. » Comme beaucoup d’autres déistes, Voltaire était attiré par la rationalité apparente de l’islam, « religion sans clergé, sans miracle et sans mystères[]. » -------------------------------------------------

sʼoppose-t-elle à la raison ? Supports de réflexion *** Les tenants de l’utilité sociale de la religion Le drame du XXe siècle n'est pas né d'un excès de l'idée de Dieu, mais de sa redoutable absence. Nicolas Sarkozy, 2008 Une fausse dichotomie entre théisme et authentique humanisme, poussée à l'extrême jusqu'à créer un conflit inconciliable entre la loi divine et la liberté humaine, a conduit à une situation où l'humanité, en raison de tous ses progrès économiques et technologiques, se sent profondément

grâce à une religion civile, à l’image des premières religions qui ne formait qu’une seul entité avec l’état. Plusieurs problèmes se posent pourtant. Rousseau croit en « l’évangile pure », comme « la pure et simple religion de l’Evangile, le vrai Théisme, et ce qu’on peut appeler le droit divin naturel »,13 autrement dit la religion naturelle. Il faut bien comprendre que la foi de Rousseau est intimement liée à son système de pensée politique. La profession de foi du Vicaire Savoyard, nous le verrons

sensibilité, indépendamment d’une éducation religieuse, c’est la religion naturelle. Celle-ci permet un rapport immédiat à son Dieu, sans l’intermédiaire de l’institution ecclésiastique. Cette religion e caractérise principalement par deux attitues : le théisme affirme l’existence d’un dieu personnel, extérieur au monde, à partir d’une conviction rationelle (la « Raison ») ou affective (le « Cœur ») ; le déisme se borne à croire à l’éxistence d’un Dieu, sans rien affirmer d’autre à son sujet. De plus, la

utilise la religion de l’homme ou tente d’établir une religion universelle, alors même qu’il n’y a pas d’Etat universel. Ainsi le catholicisme est-il destructeur de l’Etat et de la religion ; entendons : de « la religion de l’homme », « le vrai théisme », religion « bornée au culte purement intérieur du Dieu suprême et aux devoirs éternels de la morale »(cf. L IV chap VIII. Contrat Social). Le dilemme est donc qu’il est impossible de choisir entre une « religion de l’humanité », vraie mais sans

tombait point dans le blasphème extravagant de dire que trois dieux font un dieu ; enfin, on n'y mangeait pas ce dieu qu'on adorait et on n'allait pas rendre à la selle son créateur[26]. » La religion qu'apporte Mahomet était en revanche « le simple théisme, la religion naturelle et par conséquent la seule véritable[26]. » Comme beaucoup d'autres déistes, Voltaire était attiré par la rationalité apparente de l'islam, « religion sans clergé, sans miracle et sans mystères[24]. » Ainsi, entre 1742, date

L’interlocuteur du prêtre, n’est pas totalement d’accord avec tous les arguments de celui-ci, mais quand le prêtre parlait, la conscience du jeune homme semblait confirmer ce qu’il lui avait dit. Il remarque que, à peu de choses près, le prêtre lui parle de théisme ou de la religion naturelle(. Pour être convaincu des discours que tient le prêtre, il faut qu’il les médite. Ensuite, il demande au prêtre de lui parler de la révélation, des écritures etc. Le vicaire est d’accord pour continuer son récit, mais il

grand adversaire de l'Objectivisme dans le domaine de la philosophie politique est l'utilitarisme (mais il y a aussi beaucoup d'autres, comme par exemple le Marxisme). Epistémologiquement, l'Objectivisme s'oppose au positivisme, au relativisme et au théisme. Moralement, à l'altruisme. Politiquement, il s'oppose au totalitarisme, au nationalisme, à l'étatisme, à l'anarchisme, au socialisme, au communisme, et même au capitalisme modéré. Les représentants les plus connus de la philosophie Objectiviste

ou de convictions diverses en une même société politique, distincte par conséquent d'une communauté. Dans une perspective laïque, les croyances et convictions qui ont rapport à la religion (religions proprement dites, croyances sectaires, Déisme, Théisme, Athéisme, Agnosticisme, spiritualités personnelles) ne sont que des opinions privées, sans rapport direct avec la marche de l'État. C'est là considérer la politique comme une affaire humaine, seulement humaine. Réciproquement, la liberté de croyance