Texte sacré

angoisses amoureuses et spirituelles d’une âme tourmentée : sans autre détour l’âme tourmentée de Lamartine causée par la perte de sa bien-aimée. « Souvenir » est le neuvième poème du recueil Méditations poétiques. On retrouvera tout a long de ce texte les mémoires du poète au sujet d’Elvire et de sa disparition. Mais le poète veillera à ne pas nommer l’être cher pour une question de discrétion et de pudeur. Ce poème est construit selon la forme privilégiée de la poésie sentimentale du XVIIIe siècle

faisait parti du domaine divin. En ce qui concerne les Romains, Pline a, par exemple, parlé de la sacralité des plantes, des arbres et du rituel de la cueillette du gui dans son livre Histoire naturelle. D’après lui, le rouvre est l’arbre le plus sacré des bois gaulois et tout ce qui pousse dessus est divin. Et donc le gui est considéré comme « un signe de l’élection divine de l’arbre par le dieu lui-même » car il est rare. Par conséquent, sa cueillette constituait un rituel essentiel qui repose

enquête, crédule, il gobe n’importe quelle histoire v.35 « nous » de majesté est un « nous » englobant. Il manifeste sa douleur de manière ostentatoire. Il ne sait pas se tenir avec cris. Chiasme « sur tes membres profanes, nos sacrés ongles » « sacré » et « profane »=antonymes v.35. Voc. De la divinité : « chez les dieux », « champs élyséen » B) La satire de la cour. La masse anonyme : impersonnel « on »v.50, v.2 »chacun » indéfini singulier collectif, v.11 « chacun » pour souligner l’identité

le Paléolithique et nous, c’est la définition de l’invisible. L’objet de culte renvoi à l’invisible relié au passé (hétéronomie) l’objet d’art renvoi à l’invisible lié au futur (autonomie). Pendant des milliers d’année, le poème nomme le sacré et c’est le sacré qu’entendent les hommes, pas le poème. Le temple est le séjour ou demeure le Dieu, et c’est la présence du Dieu qui est ressentie par l’œuvre construite. C’est en ce sens que l’art, comme pure forme affirmée pour elle-même reste inconnue.

La théorie statutaire de Jean de Terre Vermeille « Le roi est mort vive le roi ». Pour éviter des intermèdes dans la continuité du pouvoir royal, car c'est le sacre qui fait le roi mais le sacre a toujours lieu des jours voir des semaines après, une nouvelle théorie va conférer dès la mort du roi, le pouvoir au dauphin. Ce qui marque la continuité du pouvoir royal grâce à l'instantanéité de la succession. Jean de Terre Vermeille, est un juriste français du début du XVième siècle, il est avocat

contextes. ⇒ Ils tendent à fonder, par ce qui s’est passé à l’origine des temps, la raison pour laquelle les choses sont comme elles sont. DIMENSION RELIGIEUSE ⇒ Mircea Eliade: “récit d’une genèse qui montre par quelles voies l’irruption du sacré fonde le monde” ⇒ Récit fondateur qui se déroule dans un temps primordial, un temps hors de l’histoire - récits sacrés imaginaires - perso extraordinaires-surhumains-divins - explication de certains aspects fondamentaux du monde-société Les différents

et acquérir une connaissance de soi ou bien en vue de connaître l'esprit humain en général. L'introspection était la principale méthode utilisée aux débuts de la psychologie expérimentale, à la fin du XIXe siècle. Le mythe « raconte une histoire sacrée; il relate un événement qui a eu lieu dans le temps primordial, le temps fabuleux des "commencements". Autrement dit, le mythe raconte comment, grâce aux exploits des Êtres Surnaturels, une réalité est venue à l'existence, que ce soit la réalité totale

son peuple. Cette civilisation perd de son ampleur jusqu’à finalement être abandonné à cause des changement climatiques de son territoire. Contrairement a plusieurs religions, elle a ni fondateur, ni doctrine, ni Église mais elle possède un livre sacré qui se nomme le Rig-Veda. Entre 1500 et 600 ans avant J.-C., on a rassemblé les quatre Védas (Rig-Véda, Sama-Véda, Yajur-Véda et Atharva-Véda) qui constituent ce livre. À cette époque, cette religion s’appelait sanâtana dharma (loi éternelle) ou védisme

société dont les membres sont unis parce qu’ils se représentent de la même manière le monde sacré et ses rapports avec le monde profane , et parce qu’ils traduisent cette représentation commune dans des pratiques identiques, c’est ce qu’on appelle une Eglise. […] Nous arrivons donc à la définition suivante : une religion est un système solidaire de croyances et de pratiques relatives à des choses sacrées, c’est-à-dire séparées, interdites, croyances et pratiques qui unissent en une même communauté

Elle serait, dans une société composée d’individus, le temps où se forge le sentiment identitaire. Faire la fête, c’est être ensemble. Une telle alliance entre l’individuel et le collectif ne peut réussir que sous les auspices d’une transcendance, sacrée, profane ou… politique. La fête est en effet le moment où s’expriment les tensions entre l’être, la collectivité et le pouvoir qui le gouverne. Ainsi s’explique que selon les points de vue, la fête soit subversive ou apparaisse comme instrument