Texte De Schopenhauer

Ce texte a pour thème le déterminisme. Le déterminisme est le fait que tout ce qui arrive est l’effet nécessaire d’une cause. La science pense à la nature soumise au déterminisme et cherche à dégager les lois invariables qui lient les phénomènes. Sans déterminisme, pas de science possible. Si ce déterminisme naturel permet de prévoir les phénomènes naturels et d’avoir une action sur la nature, ce qui nous rassure, si on l’étend au « monde entier » et donc à l’homme, à ses actes et pensées, il devient

flottent dans la nuit (ligne 2) et dans le froid étemel et abiotique. Pourtant, cette Mort n’effraie pas le poète, comme si précisément cette absence de vie était un absolu désirable. C’est en effet le Néant que le bouddhisme, tel que le concevaient Schopenhauer et la plupart des philosophes européens du XIXe siècle, propose comme absolu. Lui seul est « pur » (ligne 6) et « libre de vermine » (ligne 11). La vermine suggère un dégoût de la vie, mesquine et ram­pante, autant qu’une image baroque de la décomposition

du commerce avec l'Asie. Ensuite il s’installe à Saint-Pétersbourg et y travaille jusqu'en 1907, chez un joailler suisse. A cette époque il commence à noter ses lectures et ses pensées, une habitude qu'il gardera sa vie durant.  La lecture de Schopenhauer exerce une influence déterminante sur son rapport à la réalité : « le monde est ma représentation », retient Cendrars. Il fait alors de sa vie un poème, et dans les poèmes, il met sa vie. Son séjour aux États-Unis lui montre la voie, nouvelle et

(qui désigne une représentation psychique non consciente ou, si l'on veut, une représentation non représentée). C'est, semble-t-il, en anglais, au milieu du XVIIIe s., que se trouve la première occurrence du terme "inconscient" (unconscious) dans un texte écrit. Il n'apparaît guère en français avant le XIXe s., ce qui ne veut pas dire que la notion n'ait pas précédé l'apparition du mot, même si l'idée d'une représentation échappant à la conscience a pu paraître aussi peu intelligible que celle de cercle

celui du médecin – est alors impuissant à faire comprendre face à des êtres « de passions et de sensations ». Mais ce n’est pas seulement le raisonnement médical qui est visé par la plume de Maupassant. Le regard médical lui aussi est suspect. D’un texte à l’autre, la perspective soi-disant neutre du médecin est mise en question. Face à sa malade – car, c’est surtout pour raconter les maladies de la femme que Maupassant fait appel à des médecins narrateur -, le médecin loin d’être un lecteur de symptômes

dans le temps). - plaisir en repos, stable, qui dure. Donc il se refuse des plaisirs pour éviter la souffrance. Il pense que l'homme est naturel, or il est culturel. Le bonheur = la satisfaction, or avec la satisfaction cesse le désir. Schopenhauer: la vie tel un pendule oscille de gauche a droite, de la souffrance a l'ennuie. 2) La nature du désir Du manque a l'excès Le désir crée le désirable Le désir est premier par rapport a son objet. C'est le désir qui crée le

Pierrot lunaire 6 Les relations entre texte et musique 1. Notes sur le texte de Schoenberg paru dans Der Blaue Reiter en 1912 : « Des rapports entre la musique et le texte » (idées principales développées par Schoenberg dans cet article). a. La musique et l’expression : Il existe une difficulté de comprendre la musique pour elle-même car le public attend souvent d’elle qu’elle « exprime » quelque chose, en quelque sorte un contenu qu’elle ne serait pas vraiment mais qu’elle transmettrait

ou ne pas croire? Je présenterai en premier lieu les arguments de Démophèle, puis ceux de Philalèthe. Cela me permettra de prendre position sur la problématique qui se pose. Je m’appuierai sur le texte : «sur la religion» de Schopenhauer. 3- Démophèle, un chercheur et philosophe soutient dans le texte à l’étude que : « la religion est la métaphysique du peuple.» En effet, on peut dire que la religion représente certainement la meilleure solution la plus immédiate et la plus accessible des problèmes

qualifie et qu’il impossible d’éradiquer sans mourir. Les deux autres termes, « illusoire »  et « mensonger », se rejoignent dans l’idée de fausseté, cette révolte n’est pas une « vraie » révolte. Mais le terme de « mensonger », en italique dans le texte, doit davantage attirer notre attention, puisque se dégage de lui l’idée d’une volonté de mensonge, cette révolte nous plonge volontairement dans le faux et de contre nature. Dès lors, si une telle morale est absurde comme nous l’avons vu, d’où

affections que ceux-là.3   Je retiendrai de ce texte deux éléments susceptibles d'éclairer nos pièces : d'une part, le lien entre héroïsme et mélancolie va de soi pour l'auteur ; d'autre part, la catégorie du héros est pour lui subsumée par celle de l'être d'exception, et il ne voit aucune difficulté à évoquer à la suite des héros, Empédocle, Platon et Socrate qui s'en distinguent seulement par leur caractère plus récent. En donnant pour titre à ce texte L'Homme de génie et la mélancolie Jackie Pigeaud