Texte D Auteur Sur Le Racisme

| | | |2° « La crainte de la différence », J. Dausset, 1980, courrier de l’Unesco. (Texte non-litt, | | |argumentation scientifique, de convaincre à démontrer, construction de l’argumentation : thèse, argument, | | |exple, les connecteurs logiques)

 Guadalquivir Auteur : Stéphane Servant Editeur : Gallimard Jeunesse Collection : Scripto Janvier 2009 - 9 Euros Roman à partir de 14 ans ISBN : 978-2070618088 Thèmes : Moyen-Orient, Conte (Perrault), Egypte ancienne L'avis de Ricochet Frédéric, jeune révolté, rejoint la Meute, la bande skinheads du quartier. Incendies, croix gammée, bagarres… Emplis de haine contre les habitants de la cité, qui « ont fait une erreur en venant en France », les trois jeunes fachos envisagent de

RENCONTRE AVEC ARNO BERTINA AU LYCEE BALZAC Sujet 1: Relever deux ou trois choses dites par l'auteur et les commenter (partie critique avec arguments et exemples) Sujet 2: Lui écrire un court texte suscité par sa venue (sujet d'invention: 15-20 lignes) Sujet 3: Lire le livre choisi en librairie et expliquer les raisons de votre choix + ce que vous en avez retenu SUJET 1 "La littérature est indispensable pour les hommes, les livres sont des vivres nécessaires " Il est difficile de

page 20 3.1 Le choc des cultures page 20 3.1.1 Choc au niveau des religions page 20 3.1.2 Choc de l’immigration page 21 3.2 Le racisme page 21 3.3 Les solutions page 23 Conclusion page 26

Exposé : Des marcheurs de 1983 aux émeutiers de 2005 : Deux générations sociales d’enfants d’immigrés Introduction Texte écrit par Stéphane Beaud, sociologue français qui s’est intéressé aux transformations des milieux populaires dans la France contemporaine et Olivier Masclet qui s’est intéressé aux discriminations raciales et à la diversité. Il s’est constitué sur la durée 2 générations d’enfants issus de l’immigration. La première, « la génération des beurs » massivement composée d’enfants

proposons d’étudier le détour par la fiction. Notre analyse portera ensuite sur l’argumentation et la dénonciation d’un travers de la société du XVIIIe siècle. I. Le détour par la fiction « Histoire des voyage de Scarmentado » est un texte fictif. A. Une autobiographie fictive Tout d’abord, Voltaire choisi le style autobiographique pour conter l’histoire de Scarmentado. Effectivement, le titre lui-même l’indique « Histoire des voyages de Scarmentado écrite par lui-même »

humain et sur sa vision du monde. Nous pouvons donc nous demander comment un roman peut-il ouvrir notre vision du monde ? Nous répondrons à cette question en nous appuyant sur un plan thématique, nous verrons comment cela est mis en place par les auteurs en mettant en œuvre leur héros. Puis dans un second temps nous verrons comment un roman peut nous ouvrir les idées et nous faire comprendre mieux certains conflits drames du passé comme du présent. Tout d'abord, le roman peut ouvrir notre vision

Montaigne fait partie des grands auteurs du XVIème siècle, il surtout connu pour son œuvre majeure Les Essais écrit entre 1580 et 1592. Alors que Rabelais, ancien Moine, écrit des romans afin de faire passer ses idées, il est l’auteur de Pantagruel et Gargantua, ses deux œuvres majeures. C’est ainsi que nous pouvons nous demander comment ces auteurs transmettent les valeurs humanistes grâce à ces extraits. Nous verrons dans un premier temps la visée de chaque auteur pour chaque extrait, puis dans

de littérature coloniale est celui d’Egide Straven, Kapiri-pi (1946). Dans ce texte, l’auteur nous montre l’opposition du monde Blanc et du monde Noir. En rappelant la lettre de sa mère, le héros fait une exposition des vertus du monde Blanc, et il affirme la bonté de tout ce qui est blanc ; par contre, le noir est connoté négativement (et le ‘pays noir’ aussi). Le pays noir est une représentation de la mort. Dans ce texte, on trouve l’incorporation de ‘la question d’habitant’ : « Elle souffre ce mal

employer)? 1- Polémique de cette notion du mot en France Il y a des mot fétiches en bien ou en mal. Mais ce fétichisme permet de cacher le mots race. Le racisme n'a aucun fondement biologique, mais on continue à croire qu'il suffit de le dire pour extirper le racisme. Alors que la question du racisme est d'ordre culturel et que c'est sur ce plan qu'il faut intervenir, non sur une question de mots, mais sur une question d'éthique, c'est-à-dire de relations entre les hommes.