Têtes-Plates

La chose qui me choqua le plus c'est que j'avais trouvé de la viande qui venait d'être cuite sur un plat , je ne pouvais pas m'en empecher j'avais une très grande faim. Je m'étais enfin rassuré qu'il y avait un ou plusieurs êtres humains. J'entendai des bruits provenant du dernier étage , je pris le couteau que j'avais trouvé par terre. En montant les éscaliers j'apercevai des grosses goutes de sang d'au moins dix centimètres , le sang était encore frais et chaud. La peur me redominait. J'avais

proches. Exemple : pour qui sont ces serpents qui sifflent sur vos têtes ? (Racine, Andromaque) 4. Le poème. Un poème est un ensemble de vers formant une unité de forme. Cette unité provient notamment du regroupement des vers en strophes et de la disposition de ces strophes selon un ordre qui définit parfois une forme fixe. La versification 1 – Les rimes. a) La disposition : rimes embrassées, croisées, plates ou suivies. b) La richesse : rimes pauvres (1 son), suffisantes (2

son père. Lui-même fils de Zeus, Tantale invita un jour les dieux à sa table et, pour éprouver leur omniscience, il leur servit dans un ragoût, la chair de son jeune fils Pélops. Tous les dieux, à l'exception de Déméter, reconnurent immédiatement le plat qui leur était offert et le repoussèrent, horrifiés. Tantale fût châtié. Et les dieux rendirent la vie à Pélops. Une promesse non tenue  Parvenu à l'âge d'homme, Pélops se mit en quête d'un royaume. OEnomaos, roi de Pise en Elide, avait la passion

ou de plusieurs vers : ● les rimes plates ou suivies se suivent deux à deux (aabb) ● les rimes croisées sont entrecroisées (abab) ● quand les rimes sont embrassées, une paire de rimes en englobe une autre (abba) Pour donner du rythme au poème, les poètes utilisent souvent des répétitions : ● de mots : une reprise en début de vers ou de strophe se nomme une anaphore ● de sons de consonnes = les allitérations Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur vos têtes ? (Racine) ● de sons de voyelles =

de vieilles tortures (ligne 41). Insensible aux yeux des joueurs. (Ligne 46) b. 3 vieillards à têtes chauves assis autour du tapis vert (ligne 111).Description : Visages de plâtre avec des âmes blasées (lignes 112 à 114). c. Un jeune italien. Description : cheveux noirs, teint olivâtre d. Deux vieux garçons de salle (Le tailleur le banquier) Description : nonchalant, plates figure (lignes 137-138). e. Un jeune ramoneur (ligne 343). Description : figure bouffie était noire

Cachets de bibliothèque annulés. Coiffes, coins et charnières usés. [BEAULIEU]. Les Souvenirs de l'histoire, ou Le Diurnal de la Révolution de France,… Paris, Bridel, s.d. (1797?). 2 volumes in-12, demi-maroquin camel à coins, dos à 5 nerfs, têtes dorées (Reliure de la fin du XIXème siècle). 170 € Ouvrage royaliste attribué à Beaulieu par Dauban, attribution contestée par Barbier qui précise que seuls certains passages sont de sa main. Il donne au jour le jour les évènements de la Révolution

rimes : La rime est la répétition d’un même son à la fin de 2 vers. Elle est déterminée par leur alternance. On distingue : - les rimes plates : AABB « Le soleil prolongeait sur la cime des tentes Ces obliques rayons, ces flammes éclatantes, Ces larges traces d’or qu’il laisse dans les airs, Lorsqu’en un lit de sable il se couche aux déserts. » Alfred de Vigny - Les rimes croisées

plus optimisé les têtes de gondole « Mettre en avant les produits régulateurs ».  Comptoirs, Vitrines, Bergeries : − Comptoirs : permet de présenter des produits de vente assisté. − Vitrines : protège les produits fragiles ou susceptibles d’être volés. − Bergeries : Meuble bas en forme de U.  Armoires, Vitrines Réfrigérées, Tombeaux, Meubles requin : − Armoires : Température + / − Vitrines Réfrigérées : Yaourt − Tombeaux : Immense meuble plat − Meubles requin : Petit meuble plat  Portants : Textile

femme, un autre homme. La laideur de ces portraits contraste avec les têtes des rhinocéros qui sont devenues très belles. Bérenger s’écarte pour contempler les tableaux. ) Je ne suis pas beau, je ne suis pas beau. ( Il décroche les tableaux, les jette par terre avec fureur, il va vers la glace. ) Ce sont eux qui sont beaux. J’ai eu tort ! Oh ! comme je voudrais être comme eux. Je n’ai pas de corne, hélas ! Que c’est laid, un front plat. Il m’en faudrait une ou deux, pour rehausser mes traits tombants

Daisy ! |je me reconnais; c’est moi, c’est moi ! (Il va rac- | |Daisy ! Où es-tu, Daisy ? Tu ne vas pas faire ça ! |crocher les tableaux sur le mur du fond, à côté des têtes | |(Il se précipite vers la porte.) Daisy ! (Arrivé sur le |des rhinocéros.) C'est moi, c'est moi. (Lorsqu’il | |pallier, il se penche sur la balustrade.) Daisy ! remonte