Testament De Philippe Auguste

des églises 2. La justice Section II – L’élaboration d’un statut coutumier de la monarchie §1 – La couronne et sa transmission I. Le principe de masculinité A. L’exclusion des femmes 1. En 1316 (mort de Louis X) 2. En 1322 (mort de Philippe V) B. L’exclusion des descendants mâles par les femmes II. La règle de l’indisponibilité de la couronne III. La continuité de la fonction royale 1. Instantanéité de la succession 2. Minorités et régences §2 – L’inaliénabilité du domaine I

pendant la répression inquisitoriale. Par contre, nous n'avons pas trace de bonne femme diacre ou évêque. Par cette organisation, les Cathares ont voulu reproduire fidèlement celle de l'Église primitive, telle qu'elle est décrite dans le Nouveau Testament, dans les épîtres de Saint-Paul, et dans les Actes des apôtres, principalement. En cela ils s'opposaient, comme leurs prédécesseurs, à l'église de Rome accusée d'avoir perverti le christianisme authentique par son inféodation à l'empereur Constantin

En effet, une douzaine d’années plus tôt, la fortune avait fui Marc Antoine, qui avait la réputation d’être un grand audacieux, mais parfois imprudent et brouillon. Une sorte de nouveau Turnus. En revanche, elle avait souri à son adversaire Octave Auguste, certes audacieux, mais toujours réfléchi. L’Énéide est donc aussi une célébration du culte impérial rendu au nouvel Enée, digne successeur du roi Latinus (Jules César). Source : Virgile, L’Énéide, X, 284. © Eyrolles Pratique 12 « Rien de

garant de la paix dans le royaume. De grands rassemblements territoriaux sont liés à cette renaissance royale et donnèrent lieu à plusieurs grands ensembles. Les Capétiens (directs de 987 à 1328) se rendent maîtres de la France du nord et moyenne (Philippe Auguste, 1180 - 1223), puis méridionale (guerres d’Oc, 1200 - 1230) en utilisant la force militaire et les liens de fidélité féodale ( la monarchie féodale). 4) L’affirmation de la « chrétienté ». Les croisades furent l’expression militante de cette

roi par ces fidèles, ces guerriers. Pour légitimer son coup d’Etat, il va avoir recours à une cérémonie, qui est donc le Sacre. Le Sacre n’est pas du tout une tradition romaine. Il est de tradition juive à l’origine. Les rois de l’ancien testament étaient en effet sacrés. L’Eglise avait repris cette cérémonie pour transformer un simple fidèle en prête, qui va porter la parole de Dieu (ordination des prêtres). Il s’agit d’une cérémonie qui symbolise le passage d’un état vers un autre (d’une

une fois informés, ceux qui sont d’accord signes et applique le texte dans leur seigneurie Au XIII, le principe continu, mais cette fois c’est l’avis majoritaire qui s’impose à tous, même absents Au XIV, Le roi ne demande plus les avis à partir de Philipe le Bel, la législation royale devient autonome Pour poser puissance législative, légistes (spécialistes des lois), cherchent des arguments pour agrandir le pouvoir royal, et s’appuie sur l’empire romain. Le roi est « empereur en son royaume ». Le

construction de l’Etat français avec l’idée de Nation et le système institutionnel, comment la Gaulle est devenue la France. INTRODUCTION CHAPITRE 1 : LA GAULLE, TERRE ROMAINE La Gaulle méditerranéenne fut soumise par Rome en 120 avant JC. Auguste divise la Gaulle en 4 provinces afin de l’intégrer à l’Empire. SECTION 1 : LA POINT DE DEPART, LE POUVOIR À ROME §1: La Rome républicaine 509 à 27 avant JC A.Les institutions de la République 3 éléments constituant le gouvernement.

singularise Clovis parmi les rois barbares. En 508, véritable triomphe calqué sur le modèle de l’empereur : Clovis reçoit le souverain de Constantinople et se fait doter des symboles de l’empereur (tunique, bâton de commandement, couronne, se fait dénommer Auguste.) Plus que roi des francs, il prend progressivement une place d’Empereur. Clovis meurt en 511. Il a unifié les territoires conquis et constitué une royauté romaine et barbare. I. Les fondements de la royauté mérovingienne A/ La puissance

conservées) : tables de décès, des testaments, des partages des successions collatérales. Les tables des décès indiquent par paroisse du ressort du bureau les décès par ordre chronologique et quelques informations sur les héritiers et les biens délaissés. 52.- Du contenu des registres : Des abréviations les émaillent suivant le nom du de cujus : SB pour « sans biens », SC pour « succession collatérale », SD pour « succession directe ». Les tables des testaments répertorient alphabétiquement toujours

jeunes qui se succèdent, coups d’État, … < système de désignation n’a jms été fixé précisément → soit par peuple de Rome, mais favorise petite noblesse locale, soit par Empereur (d’All.) qd est assez fort. Parenthèse : 27 av. J.C., Octave > Auguste (< Sénat lui délivre titre d’Aug.) → début de l’empire en tt que régime (= ac un régime à sa tête ≠ empire en tt que zone de domination). Grave crise au IIIe s. > nvl équilibre : l’emp. est partagé en 2 (Occ., Orient). Prise de Const. par les