Tertiarisation Et Productivité

production mondiale. De plus, sur cette même période la production automobile mondiale a été multiplié par 10. Pour l’agriculture, sur la même période, une hausse des rendements ( quantité produite par hectare ), et une hausse de la productivité. Il n’y a pas eu d’interruption, jamais une croissance aussi longue. b/ Le résultat de multiples facteurs Une demande en hausse, contexte historique d’après seconde guerre mondiale en Europe. Une Europe endettée

été celle du secteur primaire qui connaît alors sa « révolution silencieuse » (Michel Debatisse). La France devient une grande puissance agricole tandis que le monde rural se transforme : la mécanisation permet une très forte augmentation de la productivité et son corollaire : la réduction de l’offre de travail. En 1967, le sociologue H. Mendras publie un livre au titre évocateur : La fin des paysans ; en effet, les agriculteurs qui représentaient encore 47% de la population française en 1946, voient

finale d’électricité (tous secteurs confondus) a été multipliée par 3,5. Dans le secteur résidentiel-tertiaire, elle a été multipliée par 7 alors que dans le secteur de l’industrie, elle ne s’est accrue que de 68%. La désindustrialisation et la tertiarisation de l’économie se lisent clairement. Ainsi, la hausse de consommation des particuliers peut s’expliquer par : * le taux de croissance du nombre de ménages, et donc de logements, qui est plus élevé que celui de la population (décohabitation)

l’intermédiation financière, les télécommunications et les BTP) est due à la consolidation de la demande intérieure et à l’accroissement de la contribution de la productivité globale à la croissance. La réalisation de ce nouveau palier de croissance s’est accompagnée par un amorcement d’un processus de transformation structurelle tendant vers une tertiarisation du tissu productif national. Ainsi, la part des activités tertiaires dans la valeur ajoutée réelle totale s’est renforcée en passant de 52,1% à 56,4%

Cet essoufflement passe par 4 facteurs pour Pastré, Tolédano et Lorenzi, des marxistes contemporains. Ces 4 facteurs sont l'épuisement des gains de productivité, l'épuisement de la norme de consommation, le développement du travail improductif lié à l'étatisation de l'activité économique et le développement du travail improductif lié à la tertiarisation de l'activité économique. La crise est donc une pause forcée dans la dynamique de croissance à partir d'une double fragilisation de la rentabilité

Elle débute en Angleterre vers 1760, lorsque l'ingénieur écossais James Watt fait breveter la machine à vapeur qui porte son nom en 1769. Les applications industrielles de la machine à vapeur permettent ainsi une augmentation considérable de la productivité du travail. Celle-ci est particulièrement présente dans l’industrie textile, les sidérurgies et les mines, ce qui favorise leur essor. b. La deuxième révolution industrielle : l'électricité et le pétrole D'autre part, la révolution de l'électricité

elle est largement déterminée par la façon dont le travail est organisé. La mise en œuvre d’une nouvelle organisation du travail est une forme particulière d’innovation, qualifiée d’innovation organisationnelle, qui se traduit par des gains de productivité importants et sont au cœur de la croissance (I). Ces innovations constituent des enjeux économiques, sociaux et politiques importants par leur impact sur le fonctionnement des entreprises, mais aussi sur la société tout entière. En effet, l’organisation

s’appuierait sur la substitution des emplois de service aux emplois de production matérielle. La société « tertiarisée » serait ainsi de façon quais-naturelle une société durable car beaucoup moins gourmande en biens. Le problème est que cette tertiarisation – déjà bien avancée en Europe et aux États-Unis - n’a jusqu’ici impliqué aucune réduction de l’empreinte écologique. Plus de professeurs, d’assistantes maternelles, de spécialistes du « care » et de l’aide aux personnes ne veut pas nécessairement

allocations familiales en France). La multiplication des innovations et le développement général des sciences et des techniques, porté par un effort dans le domaine de la recherche fondamentale et la recherchedéveloppement, ont permis d’améliorer la productivité du travail, de répondre à la demande croissante d’énergie : la maîtrise de la filière des hydrocarbures a fourni une énergie bon marché jusqu'au début des années 1970, en remplaçant le charbon. L’électricité s’est développée, et des centaines de

subissent des conflits de valeurs corrélés à cette rencontre intergénérationnelle en leur sein et dans lesquelles des mutations s’imposent afin de mieux répondre aux attentes de consommation des jeunes. Ces acteurs évoluent dans un contexte de tertiarisation de l’économie, d’accès à l’éducation et à la consommation de masse mais aussi de sensibilisation aux coûts sociaux et environnementaux. Qui sont les acteurs? Premièrement, la génération Y a été initiée dès sa plus tendre enfance à la