Tertiarisation Et Productivité

des personnes qui travaillent ou peuvent et veulent travailler (rémunérées et déclarées). Capital : biens de production qui correspondent aux éléments (machines, bâtiments, terrains…) qu’il ne faut pas racheter à chaque cycle de production. Productivité du travail : mesure de l’efficacité du travail (Qtés produites / Qtés de travail mis en œuvre). Investissement : achat de capital c-à-d de biens de production (formation brute de capital fixe (FBCF) investissement au niveau comptable et macroéconomique)

http://www.insee.fr/fr/themes/tableau.asp?reg_id=0&ref_id=NATTEF08112&page=graph II - Les effets de la croissance sur le niveau de vie Par la mécanisation du travail et la standardisation des produits, la croissance fordiste accroit la productivité du travail et génère des économies d'échelle. Le surplus dégagé permet d'accroitre les salaires, la consommation et donc les profits. Dans ce modèle, la consommation de masse permet d'absorber la production de masse. D'une manière plus générale

quʼun faible impact car cʼest leur facteur secondaire, ce qui compte pour elles cʼest le coût du capital donc de leur financement. Ce sont des entreprises à forte intensité capitalistique. Au contraire, lorsque la main dʼoeuvre est très qualifiée, sa productivité élevée amoindrit la sensibilité au coût du travail, il faut que lʼemployeur propose des salaires attractifs pour attirer les meilleurs salariés et les fidéliser (investissement pour les entreprises à main dʼoeuvre peu qualifiée et donc peu productive)

puis de ceux de Harris et Todaro (1970). 1) Modèle de Lewis Selon Lewis (1954), rural et agricole le secteur de subsistance ne dispose pas suffisamment d’emplois pour répondre à l’offre de travail qui est toujours supérieure à la demande, sa productivité marginale est généralement négligeable voire nulle (Lewis, 1954). C’est cet excédent de main d’œuvre qui va alimenter la demande de travail du secteur capitaliste qui est urbanisé et industrialisé. Etant donné que l’offre excède toujours la demande

elle devient aussi, grâce à ces mêmes investissements, une des principales zones d'exportations du monde. Plusieurs questions sont alors soulevées par la journaliste qui émet des craintes quant au devenir du rôle de la France concernant sa productivité ainsi que sur l’effet durable ou non de ce phénomène. L’intervention de l’économiste Elie Cohen, tente de répondre à cette dernière interrogation en affirmant la marginalisation de ce phénomène en mettant en cause la non différenciation des deux

société, ce qui s'explique par : L'exode rural La disparition progressive des artisans commerçants au profit des grandes surfaces La tertiarisation de l'économie Le progrès technique a par ailleurs modifié profondément les emplois : il a participé à la mécanisation du secteur primaire et l'automatisation de la production. Il permet aussi d'augmenter la productivité des salariés. L'emploi est régi par un cadre juridique à travers les normes d'emplois qui régissent les conditions de travail. Après

cause des gains de productivité. C'est la thèse dominante de Robert Reich dans L'économie mondialisée, pour qui l'essentiel de la désindustrialisation provient du progrès technique. Selon lui, ce phénomène de baisse de la main d'oeuvre industrielle touchera également les pays émergents.
C'est d'autant plus vrai que les anciens PDEM se sont progressivement spécialisés dans l'industrie à forte intensité technologique, un secteur beaucoup plus perméable aux gains de productivités (et donc la destruction

précédent : 5% par an (graphique page 38 +52) Croissance régulière Plein-emploi pratiquement assuré Valeur du commerce mondial multipliée par 3 Progrès technique de l'agriculture et de l'industrie : 2 et 3° révolution industrielle Augmentation de la productivité et généralisation du travail à la chaîne ; révolution agricole (rendements x 3) et recours à la chimie. Croissance inégale selon les pays : 4 ensembles géographiques Japon : Taux de croissance plus fort que les autres RFA, France et Italie

par ex.) France : pays le moins industrialisée de l’Union Européenne. Crise ou mutation ? Production multipliée par 2, productivité multiplié par 3 ces 20 dernières années. Travailleurs français : les plus productifs au monde. Explication : qualité de la main d’œuvre française et la robotisation => augmentation de la productivité et diminution de l’emploi. Tertiarisation des entreprises : de plus en plus d’emplois tertiaires (gestion, recherche). Péri production (emploi dans le tertiaire

Communication), mais aussi par une nouvelle approche du marketing cherchant à anticiper la demande du client à partir de la comptabilité analytique. Il y a donc eu une évolution progressive d’un âge industriel à celui de l’information, peut être par la tertiarisation de l’économie. Il est passé d’une simple fonction de calcul des coûts et des écarts budgétaires (dépendant du département financier ou comptable) à une fonction tactique de pilotage du changement relevant de la Direction générale. De ce fait