Terrorisme d'État

: en fait rien ne pouvait même être plus néfaste à la cause musulmane qu’un tel acte. Par contre, pour les États-Unis et Israël, ce crime offrait une foule de perspectives. Le 11 septembre permit aux États-Unis d’initier une « guerre contre le terrorisme » indéfinie à l’échelle planétaire ; il leur fournit un prétexte pour bombarder et occuper l’Afghanistan, position stratégique en Asie centrale ; il prépare la voie à l’agression contre l’Iraq ; il autorise une augmentation spectaculaire des attributions

Téhéran. Selon un journal, une source de la Défense américaine a précisé que les Séoudiens ont déjà fait des tests afin de s'assurer qu'aucun appareil ne sera abattu dans le cas d'une attaque israélienne et cela aurait déjà eu l'accord du département d'État américain. Toujours selon le Times londonien, les installations visées seraient situées à Natanz et Qom, ainsi qu'un réacteur à eau lourde à Arak et d'un site de stockage de gaz à Ispahan. Une source séoudienne a précisé au journal qu'en dépit des

ALGÉRIE La constitution prévoit la liberté de croyance et d’opinion et permet aux Algériens d'établir des institutions dont les objectifs comprennent la protection des libertés fondamentales des citoyens. Elle déclare l’islam comme religion d’Etat et interdit aux institutions de se livrer à un comportement incompatible avec la moralité islamique. L’ordonnance 06-03 prévoit que les non musulmans sont libres de pratiquer leurs rites religieux, à condition que cela se fasse en conformité avec l’ordonnance

LE PORTRAIT DES CONFLITS ASYMETRIQUES Avec la montée en puissance du terrorisme vers les années 90, plusieurs stratèges ont évoqué le changement du paradigme de la guerre et souligné la nécessité de se préparer à un nouveau type de conflit, dit asymétrique, qui va dominer les guerres futures. Ce constat va donc imposer une redéfinition des doctrines militaires et la recherche de nouvelles réflexions stratégiques à même de mieux appréhender ce phénomène. Mais, force est de constater que ce concept

processus de Barcelone suscite de nombreuses critiques notamment dans le domaine de la sécurité. M. Fathallah Sigilmassi, ambassadeur du Maroc à Paris aurait ainsi déclaré : « si l’agenda de l’UM, c’est freiner l’immigration et lutter contre le terrorisme, et s’il s’agit essentiellement de préserver la sécurité de l’Europe, alors je ne pourrai pas vendre le projet à mon pays »1. Il faut dire que l’OTAN par son attitude unilatérale a laissé peu de place dans la préparation et la participation à l’élaboration

Initialement conceptualisées pour faire face aux bombardements, la Défense et la Sécurité Civiles sont aujourd’hui impliquées dans toutes les crises qui touchent ou menacent la population : risques courants, risques majeurs (naturels et technologiques), terrorisme, crises sanitaires, crises sociales, altération des réseaux. Qui pouvait imaginer qu’en dix ans, la typologie des risques évoluerait autant ? En France, les acteurs de la défense et de la sécurité civiles sont-ils prêts à affronter les crises de

payent un lourd tribu. Mai 2006 voit les premières émeutes contre le nouvel occupant, un camion américain provoquant par négligence un accident mortel. Ainsi le manque de moyens financiers pour Kaboul, les erreurs américaines dans la lutte contre le terrorisme (Guantanamo par exemple), l'image des succès terroristes en Irak, n'ont fait que fortifier les idées propagées par les talibans. Les attentats islamistes reprennent de plus belle et la guerre fait de plus en plus de victimes. La mauvaise gestion

population de ne pas faire d'amalgame entre les mouvements terroristes et la communauté musulmane.  Le Maire de New York a demandé aux journalistes de ne pas diffuser des rumeurs.  Accusée par les Palestiniens de "se livrer de nouveau au terrorisme d'Etat", l'armée israëlienne a mené vendredi une opération militaire d'envergure.  L'association suisse des banquiers a décidé d'offrir 50'000 dollars aux familles des victimes de l'attentat contre le World Trade Center à New York, notamment les

internationales § 1 – Les bouleversements fondamentaux de la scène internationale Depuis une trentaine d’années, le monde a considérablement changé. D’une part, avec la fin du processus de décolonisation, on a assisté à une multiplication du nombre d’Etats. D’autre part, en 1989-1991, le bloc de l’Est s’est effondré en mettant fin au système bipolaire. Puis, l’effondrement du bloc de l’Est a provoqué une accélération, sans précédent, du processus de mondialisation. On est entré dans une phase d’incertitude

menaces : -multiplication des conflits localisés -le défi de la prolifération nucléaire -les ratés du contrôle des armements -l’aggravation de la fracture Nord/sud -la mondialisation/banalisation de la criminalité organisée -l’essor du terrorisme international -les conséquences de l’hyperpuissance. A l’heure actuelle, 4 écoles pour approcher la réalité du monde contemporain depuis 20 ans. La disparition de la bipolarité a lancé la confusion dans le monde. Saddam Hussein, le 2 aout