Tendre est la nuit

poème si non je n’ose jamais dire que je ne suis rien. Une nuit noire Une nuit noire La lumière est claire Des yeux sévères Une musique douce Mes idées poussent Au clair de la lune Les arbres pleurent Les fleurs dorent Moi, la pluie, et la lune. On cherche la douceur On cherche une nuit timide Mais nous, vous Nous, vous, on pleure Nos cœurs blessés Nos yeux fermés Nos sentiments soudés Se dévoilent cette nuit Ou tout est noir Moi, ma vie, les arbres, et vous. La vie

trouver par moments des éclatements, c’est-à-dire lorsque l’image sort de la vignette de manière à mettre en évidence un objet, un phylactère ou autre. On constate que les couleurs sont plus vives durant la journée et tourne vers le sombre durant la nuit. Création : La maison d’édition se nomme Air Libre Cette BD parut en 2001 Nous avons une préface qui est sous forme de dossier qui nous explique les raisons et envies qui ont poussé Servais à créer cette BD. Il nous explique qu’il avait commencé

reposoir " " encensoir " permettent de donner une dimension religieuse au texte, c’est-à-dire montrer que le sentiment amoureux a quelque chose de sacré. Dans Harmonie du soir, on observe une triple évolution : - temporelle, du crépuscule à la nuit - spatiale, du mouvement à l’immobilité - affective, avec le passage de la perception agréable à la souffrance, puis au souvenir de la femme aimée. [...] Nous pouvons ainsi dire que de la souffrance du poète naît une harmonie se dégageant du

peindre avec un mode d'emploi ou quelques cours et avoir peind toute sa vie ne donneront pas la meme qualité de peinture. Avec le temps l'experience s'accroit et devient plus fiable à la connaissance. Car on ne rattrape le manque d'expérience de l'âge tendre qu'avec l'émiettement, l'étalement dans l'espace de l'étendue contractée dans le temps : le jeune homme ne peut faire figure d'homme expérimenté que s'il a voyagé à travers le monde, en sorte que ses pérégrinations lui apportent un peu de la patine

Texte A : Louise Labé, Sonnet 14 (1555) Tant que mes yeux pourront larmes épandre A l'heur passé avec toi regretter : Et qu'aux sanglots et soupirs résister Pourra ma voix, et un peu faire entendre : Tant que ma main pourra les cordes tendre Du mignard Luth, pour tes grâces chanter : Tant que l'esprit se voudra contenter De ne vouloir rien fors que toi comprendre : Je ne souhaite encore point mourir. Mais quand mes yeux je sentirai tarir, Ma voix cassée, et ma main

Séquence n°1 : Les Mémoires d’une âme« Souvenir »Alfred de Musset - Poésies nouvelles - 1850Éléments d’introduction :- Carrière d’abord poétique (génie + cycle poétique des Nuits). En parallèle, échec théâtral : four de La Nuit Vénitienne (décide d’écrire du théâtre pour ne pas le représenter : exemple de Lorenzaccio et défi théâtral = paradoxe). Plus connu aujourd’hui pour son théâtre, avec une écriture pourtant toujours très poétique. - Relation mythique George Sand / Alfred de Musset = les amants

une série policière américaine. Elle relate l’histoire de Dexter Morgan, expert en médecine légale spécialisé pour l'analyse de traces de sang dans la police le jour, tueur en série la nuit. Il n'est pas exactement un citoyen américain comme les autres. Il porte, en effet, un lourd secret. Traumatisé dans sa plus tendre enfance puis recueilli par un officier de police de Miami, il se dit incapable de ressentir la moindre émotion. Incapable... si ce n'est lorsqu'il satisfait les pulsions meurtrières

MON JOURNAL INTIME J'ai eu 12 ans hier et le plus beau cadeau que j'ai reçu de le part de tous ceux que j'aime est un journal intime ….... Merveilleux recueil décoré de finesdorures et de dessins qui ressemblent au pays des mille et une nuit , il est muni d'un petit cadenas avec une chaînette où on peut lire mon prénom. Il me tarde que le soir arrive et quand le gâteaud'anniversaire sera dévoré et les invités partis, je vais pouvoir ouvrir cette petite merveille que je caresse du bout

même à laquelle elle n'a point droit, faire en sorte qu'elle se repente. » Et elle appelle sur-le-champ son fils, l'enfant ailé, ce mauvais garnement qui, bravant par son inconduite la morale publique, armé de torches et de flèches, court çà et là la nuit dans les maisons des autres, brouille tous les ménages, commet impunément les pires scandales, bref ne fait jamais chose qui vaille. Et bien qu'effronté déjà par naturelle friponnerie, elle l'excite encore par ses discours, le conduit dans la ville

 Texte 3  Titre : Vol de Nuit Extrait : Chapitre 1 Auteur : Saint-Exupéry (29 juin 1900- 31 juillet 1944) Date œuvre : Décembre 1931 Les collines, sous l'avion, creusaient déjà leur sillage d'ombre dans l'or du soir. Les plaines devenaient lumineuses mais d'une inusable lumière : dans ce pays elles n'en finissent pas de rendre leur or, de même qu'après l'hiver elles n'en finissent pas de rendre leur neige. Et le pilote Fabien, qui ramenait de l'extrême Sud, vers Buenos Aires, le courrier de Patagonie