Temple d'Athéna Nikè

Cyriaque d’ancone. De plus, sans le savoir, l’art grec avait déjà été vu à travers des statues, céramiques que l’on croyait romaines ou étrusque mais qui en réalités avaient été amené en Italie par les romains. ▪ Le temple de Bassæ phigali est un des premiers exemples des temples corinthiens. En 1822, la Venus de Milo arrive en France. A la fin du XIXème s, que connaît ont de l’art ? Et bien à la fin du XIXème siècle, on ne connaît pas grand chose puisque : - il y a peu d’originaux

d’avoie écuries coute beaucoup d’argent. Récompense du vainqueur est un couronne (laurier ou olivier). -Sanctuaire : le téménos, un espace sacré délimité, parfois par un mur. -Temple : de Zeus, temple dorique construit au Ve siècle donc temple pas point central dans religion grec, seul les prêtes peuvent rentrer dans temple pour entretenir la statue de Zeus en chryséléphantine. Les fidèles ne rentrent pas L’autel en plein air, sacrifices d’animaux (naissance : un coq, mariage : un bouc, jeux : au

à Delphes pour remercier Apollon de la prospérité de la ville. Il a été érigé avant l’invasion des Samiens et la destruction de la ville (525). Sur le plan du sanctuaire d’Apollon, à Delphes, on voit que la « Voie sacrée » qui mène à l’entrée du temple était bordée d’offrandes (petits monuments) des cités. Celles-ci étaient en compétition pour le prestige (la plus riche, la plus pieuse ou la plus forte) et réalisaient de superbes monuments dédiés à Apollon. Le trésor de Siphnos (530-525 BC) était

. A côté de ces traits communs, les dieux ont chacun des traits distinctifs et individualisés qui permettent leur reconnaissance. Ils ont un nom propre, que connaissent tous les Grecs - Athéna, Poséidon ... - des attributs propres - l'égide d'Athéna , le trident de Poséidon, le caducée d'Hermès -, une apparence physique et des attitudes caractéristiques: Signes de reconnaissance: Comment reconnaître l'identité d'un dieu ou d'une déesse qui nous apparaîtrait en songe ? : Il faut les juger

centre du monde grec : il termine la construction des Longs Murs, réaménage le port du Pirée et met en route un programme de constructions de sanctuaires dans la ville et surtout sur l’Acropole, dévasté par les Perses : Parthénon, Erechteion, temple d’Athéna Nikê, Propylées, voie sacrée… Il soutient la culture et les créations, et rapidement Athènes rayonne dans tout le monde antique avec les Eschyle, Sophocle, Euripide, Phidias, Myron, Socrate, Thucydide ou Hérodote… Economiquement, avec la domination

guerriers sauvages. ATHÉNA Athéna (souvent surnommée Pallas), est la déesse de la sagesse, de la guerre, de la justice, des arts et de la littérature. Athéna est sans aucun doute l'une des plus célèbres divinités de la Mythologie grecque. La naissance d'Athéna est assez originale : elle sortit de la tête de Zeus ! C'est de la tête du maître des dieux et des hommes que naît la sagesse ! Zeus, amoureux de la déesse Métis, maître en toutes sagesses et en tous savoirs, décide de lui faire un enfant. Gaïa,

pédagogie, donc l’éducation), une manière commune que les Grecs avaient pour instruire les jeunes. Cela offrait une cohésion dans les populations de ces cités. La question des sanctuaires est très importante. Ces lieux, qui s’élevaient de grands temples (comme à Olympie, à Delphes ou à Delos) étaient panhelléniques, c’est-à-dire qu’ils réunissaient tous les Grecs de tous les mondes grecs. Les concours olympiques nouaient des liens en permanence. C’est de cette manière que l’art et les idées grecs

entraînements sportifs ou militaires. Les enfants vont à la palestre (palé : lutte) où ils pratiquent la course, les sports de combat, le saut en longueur, le lancer du disque et du javelot. > Lycée : Le nom d’un gymnase à la périphérie d’Athènes près du temple d’Apollon Lycien (Lucos : loup, animal consacré à Apollon). En 335 av. J.-C., Aristote, l’un des plus grands philosophes grecs, y fonda une école. En 387 av. J.-C., Platon avait fondé une école dans un autre gymnase, l’Académie (du nom du héros Académos)

biens matériaux. Ils doivent aussi défendre la ville. IV. L'union de la cité: A - Une religion civique, ciment de la cité: L'Acropole est un cite en hauteur qui protège la cité. C'est un site défensif. Sur celui ci se trouve notamment le temple d'Athéna (déesse protectrice de la cité, guerrière, pacificatrice, sagesse, intelligence, fécondité, protectrice de l'artisanat, science, littérature, philosophie). Même si les femmes ne sont pas citoyennes, elles participent quand même aux cérémonies

permettent donc, par recoupements, d’appréhender les phénomènes religieux. On dispose ainsi de sources littéraires (la religion est partout), épigraphiques (décrets à caractère religieux) et archéologiques (ex voto trouvés dans les sanctuaires, les temples eux –mêmes). I) DIVINITES ET LIEUX et ACTEURS DES CULTES Tout d’abord, il nous faut présenter les divinités auxquelles s’adresse la religion grecque, puis nous verrons où se déroulent les cultes et quels en sont les acteurs. A. Les dieux