Tautologie

long de notre histoire individuelle ? Cette permanence dans le devenir et la reconnaissance spontanée qui la double peuvent apparaître comme l’essence même du sujet, du " Moi ". Le " Moi " ne consisterait pas, en ce sens, dans une étroite et creuse tautologie (Moi = Moi), mais dans le fait d’être soi jusques dans l’altération, jusques dans le devenir, à se retrouver jusques dans l’altérité, sans que cette identification puisse jamais être soupçonnée ou mise en crise. C’est cette permanence de l’identité

effet, pour savoir ce qu'est le droit, c'est-à-dire ce qui doit être sanctionné par l'autorité publique, il conviendrait d'examiner ce qui est effectivement sanctionné par l'autorité publique. Le raisonnement, on le voit, conduit à une véritable tautologie : Doit être sanctionné ce qui est sanctionné. Est du droit, ce qui est du droit. - D'ailleurs, entre les conduites relevant du non-droit et celles qui dépendent de la sanction de l'autorité publique, il y a des situations intermédiaires, sans doute

vers : « quant nul des deux lÿons s’i trueve » (v. 3126), « mes il n’i avoit rien qui vive. » (v. 3129). En outre, la reprise du verbe « cuider » aux vers deux et trois forme, avec ce que nous venons de dire, une structure chiasmique qui tient de la tautologie. Ce passage s’achève donc par une parenthèse épaisse, close, cyclique, qui vient après l’affirmation déroutante d’une ignorance persistante. L’exploit épique se conclut donc de manière totalement inattendue et démystificatrice, aussi bien pour

est très superficielle parce qu’il n’a ni connaissance ni expérience A partir du vers 13 le rat reprend la parole Il va critiquer son père « triste sire » pour sa prudence, l’expression est un oxymore et l’expression « certes pour moi » est une tautologie il répète deux fois la même chose et se prend lui-même pour référence . Il décrit son voyage comme une épopée « le maritime empire », alors qu’il vient juste de découvrir le monde . Le narrateur reprend la parole au vers 17. Il reste vague sur

pièce de monnaie ». Il est important de mentionner qu'Arenbserg a fait don d'une grande partie de sa collection des œuvres de Duchamp au Philadelphia Museum of Art. Duchamp va ainsi expérimenter tous les rapports rhétoriques de l’objet à son nom (tautologie, métaphore, synecdote , allégorie …etc ). Mais la principale fonction du ready made c’est de remettre en question ce qu’est une œuvre d’art. 2. Une manière de questionner le statut de l’art. En effet « Qu’est-ce qu’une œuvre d’art ? » La notion

pronominaliser 3.3.4.confusion des modes 3.3.5.confusion des temps 3.3.6.emploi inadéquat des prépositions B. Compétences textuelles 1.reprises anaphoriques 1.1.lexicales 1.2.pronominales 2.ponctuation absente ou anarchique 3.défauts de progression 3.1.tautologie 3.2.contradiction 3.3.rupture d’isotopie 3.4.non conformité à l’univers de référence 4.connecteurs 4.1.non pertinents 4.2.absents 5.structuration 5.1.introduction maladroite des exemples, arguments, citations 5.2.absence d’alinéa 5.3.mélange d’éléments

sophisme. On appelle sophistique toute démonstration ou argumentation fautive qui se donne pour vraie. Voici quelques exemples de procédés sophistiques (qu’il faut savoir détecter le cas échéant – et surtout qu’il faut savoir éviter soi-même !) : - la tautologie et le cercle vicieux qui consistent à conclure d’une proposition cette même proposition (exemple limite sous la forme d’un syllogisme : A est A ; or A est A, donc A est A). - l’argument « ad hominem » qui s’en prend à la personne qui soutient la

Ce nouvel emploie d’ «expérience » semble avoir une définition semblable à nos sensations. Couramment même en permanence nous devons faire appel à nos sensations qui elles peuvent être considérées comme « immédiates » mais qui ne sont que des tautologies : des répétitions, des redondances du monde sensitif qui nous entour mais par manque de raison nous les considérons comme vraies, nous les interprétons et percevons comme réelles. Il développe son exemple au « règne des mots et des définitions »

Smith le nom et l’âge de son enfant, que ce dernier ne peut ignorer, est un procédé grossier pour transmettre une information, qui plus est inutile, au spectateur. De plus, elle s’exprime au moyen de structures répétitives qui s’apparentent à des tautologies : « Mary a bien cuit les pommes de terre, cette fois-ci. La dernière fois elle ne les avait pas bien fait cuire » . La deuxième proposition n’apporte aucune information supplémentaire à la première puisque lecomplément de temps « cette fois-ci »

fois, ex : « Ah ! Chimères ! Ce ne sont que des chimères, dit-on. / Chimères, moi ! Vraiment chimères est fort bon ! / Je me réjouis fort de chimères, mes frères ; / Et je ne savais pas que j’eusse des chimères. », Molière, Les Femmes savantes. Tautologie : lorsque l’on dit la même chose alors que l’on paraît dire deux choses différentes, 4. Figures de disposition et motifs Anadiplose : on reprend au début de la phrase un mot de la phrase précédente ; lorsque ce procédé est répété plusieurs fois