Tautologie

totale d’un objet possible, parce ce qu’il est lié à d’autres objets. On a pas les moyens cognitifs pour connaître les états initiaux . L’effet papillon en ex. Nos moyens de connaissance sont insuffisants. Mais on peut aller plus loin que cette tautologie complexe « Ceci est complexe, ceci est complexe » Comment on peut aller plus loin sans arriver à l a connaissance absolue, totale ? Une connaissance dans la méthode. Il n’est pas contre la spécialisation, il est contre le COMPARTIMENTATION des

ne serait jamais arrivé», le futur dans le passé donne de l'importance. 2)Ironie de la narratrice dès le début, «semblait» suppose qu'ils se sont trompés. «d'abord» laisse croire qu'on va avoir une explication, mais à la place on trouve une tautologie (on tourne en rond) «cela dura 8 jours», c'est sommaire, les espoir de cheval, de cigarettes et de voir du monde sont vains. «c'était ça, les transport» est une généralisation qui donne un contraste comique sur le cheval (le transport) qui va mourir

d’Agnès cité à l’acte I, scène 4 par Arnolphe : « si les enfants qu’on fait se faisaient par l’oreille ». Parfois c’est le contexte qui rend le mot plaisant, comme la comparaison d’Alain, « la femme est justement le potage de l’homme » (II, 3) ou les tautologies : v. 423-425 et 446. Enfin Molière ne recule pas devant l’équivoque, avec la répétition du « le… », qui laisse le spectateur – et Arnolphe – imaginer un geste à connotation sexuelle.   3. LE COMIQUE DE CARACTERE Le comique de caractère naît toujours

d’Agnès cité à l’acte I, scène 4 par Arnolphe : « si les enfants qu’on fait se faisaient par l’oreille ». Parfois c’est le contexte qui rend le mot plaisant, comme la comparaison d’Alain, « la femme est justement le potage de l’homme » (II, 3) ou les tautologies : v. 423-425 et 446. Enfin Molière ne recule pas devant l’équivoque, avec la répétition du « le… », qui laisse le spectateur et Arnolphe imaginer un geste à connotation sexuelle. Le comique de caractère naît toujours d’un décalage par rapport à

poésie, Ronsard est un écrivain qui a beaucoup utilisé l’argumentatif. L’éloge ou le blâme sont les figures qu’il emploie dans sa lyrique amoureuse, mais il se passe des arguments du logos proprement dit. Faits d’expression : répétitions (anaphore, tautologie : répète le même mot avec le même sens. Polyptote : utilisation de deux mots de la même famille). Emphase. Rimes banales (deux infinitifs du même groupe). Paronomase : presque homophonie. Diaphore. Syllepse.

*affectves : ethos(fausse modestie),pathos(faire sentir des sentiments) *rationnel : lieu, types de raisonnemen : *inductive(de un exemple a une loi), *deductive( de loi generale a particulier) :silogisme(logique), sophisme, entimeme logiq formell : tautologie(redondancia repetitiva), reciprocite, transitivite(A=B B=C C=A), absurde(qui existe pas), sucesion personne/autorite : ad hominem(critique parole personne=> contardiction y comportamiento) ad personna(s appuie sur defauts perso), analogie(A est

début du vers suivant d’un ou plusieurs mots de la proposition, dans un souci d’expressivité. | Ex : La fontaine, « …car l’huître tout d’un coup/ se referme » | Répétition | Employer plusieurs fois les mêmes termes : redondance, tautologie, pléonasme, chiasme, anaphore… | | Rhétorique | Art de bien parler, technique de la mise en œuvre des moyens d’expression (par la composition, les figures). | | Scepticisme | Doctrine des philosophes sceptiques grecs

prend au sortir de chez lui »). Vers 21 : « Je gèle au récit que vous m'en faites » Ici Lisette file la métaphore de sa maîtresse tout en la rendant concrète. (cf v. 20 « ...expirer de froid...) Vers 30 : « un mari c'est un mari » Il s'agit d'une tautologie qui témoigne de l'étroitesse du raisonnement de la servante et donc de l'échec de Silvia qui ne néglige pourtant aucun moyen. L'argumentation de Silvia. Si Lisette = comique, ce n'est pas le cas de Silvia. Aux exclamations amusées de la soubrette

travaillent toujours dans une direction opposée. La courbe de Laffer a pour objet d'illustrer la thèse selon laquelle "trop d'impôt tue l'impôt" ou "le taux mange l'assiette" en décourageant le travail et à l'épargne. En tant que telle, la courbe est une tautologie. Il est nécessairement vrai que lorsque le taux d'imposition est nul, les recettes fiscales sont nulles elles aussi. La confiscation totale des revenus (taux à 100%) entraîne d'une manière aussi impérative que le revenu national soit nul, à moins

« détestable ». Cette répétition du mot détestable, avec une exclamation comme « Parbleu ! » (L12) ou une question comme « Pourquoi elle est détestable ? » (L15), fait partit du comique de mot, et ne fait en aucun cas avancé le dialogue. Arrive une tautologie « Elle est détestable, parce qu’elle est détestable. » (L17), argument présenté par Le Marquis. Cela souligne l’incapacité du Marquis à analyser, et Dorante n’en oublie pas de le lui faire remarquer : « (…) je trouve le jugement détestable. » (L9)