Tautologie

terme d’échange) Chapitre 1 : polycop’ Chapitre 2 Géopolitique et globalisation économique La puissance d’un Etat n’est désormais plus uniquement liée sa puissance militaire mais aussi à sa puissance économique. C’est un truisme / tautologie : vérité évidente. Dans un contexte de mondialisation, il convient de s’interroger sur l’impact du phénomène de globalisation, sur la place et la puissance des états les un par rapport aux autres, mais aussi par rapport aux autres acteurs. Un

de leur énonciation. Ici, un sujet auquel le monde survivra ("il tombait une pluie (...) qui durera plus que moi"[4]) ; un sujet réifié ("je serai quelque chose d'immonde qui traînera sur la table froide des amphithéâtres"[5]), pris dans une tautologie sans espoir ("les témoins ont bien témoigné, les plaideurs ont bien plaidé, les juges ont bien jugé"[6]) ; sous le coup d'une parole performative, la lecture d'un verdict, qui le tue plus tôt et plus sûrement que l'exécution de la peine ("Jusqu'à

chaleur est pensée comme une propriété immanente au feu, qui serait caractérisé par une « vertu calorifique », de même qu’on expliquait les effets de l’opium par une « vertu dormitive ». On est face à une fausse explication, qui se réduit à une tautologie. Dans cette perspective, il y a un « réalisme » du feu, qu’on considère comme une réalité première et permanente. Or la science abandonnera l’étude du feu, qui n’est pas un « objet scientifique », et montrera par une étude objective que la chaleur

Autrement dit P ⇔ Q vaut V si et seulement si P et Q ont la même valeur. D’après le paragraphe précédent, pour toute proposition P , (¬¬P ⇔ P ) vaut vrai. Une proposition qui est vraie quelle que soit la valeur de vérité de ses composants est une tautologie. En Pascal, l’équivalence s’exprime avec l’opérateur “=” comme dans l’instruction : “if (i=0)=(j=0) then dosomething;” mais attention à ne pas confondre cette égalité avec l’égalité numérique3 ! Exercice : Quels sont, en fonction du contenu des

couramment : adaequatio rei et iniellectus, la conformité de l'intelligence avec la réalité. Cette définition semble bien être juste, comme répondant évidem ment l'idée impliquée dans l'usage courant du mot, et ne à présentant d'ailleurs ni tautologie ni contradiction. La vérité n'est pas une propriété de la chose seule, ou de la pensée seule ; elle n'est pas formellement un attribut de la relation de deux choses entre elles, ou de deux pensées entre elles, mais elle qualifie la relation

propositionnel Variables propositionnelles, connecteurs logiques ( NOT, AND, OR, XOR, NAND =⇒, ⇐⇒), formules logiques, repr´sentation d’une formule logique par un arbre, ´e e valuation des formules logiques, tables de v´rit´, tautologie e e et satisfiabilit´, difficult´ de tester une tautologie : solutions e e de caract`re exponentiel. e Il s’agit d’insister sur l’interpr´tation d’une e formule logique et sur les manipulations logiques ´l´mentaires. ee II.4.2. Fonctions bool´ennes e Fonction bool´enne associ´e

contradiction dans les termes, mais on l'oublie. Par exemple, La Fontaine, quand il écrit que "la raison du plus fort est toujours la meilleure". Elle n'est pas la meilleure, mais seulement la plus efficace, c'est-à-dire la plus forte, ce qui revient à une tautologie. En effet, la force et le droit sont opposés, de la même façon que la nécessité et le devoir, ou la nécessité et la volonté. On obéit au droit par choix, tandis qu'on se soumet à la force par nécessité, parce qu'il n'est pas possible de faire autrement

précédents mots du professeur
 = « Monsieur » x2 : marque un grand respect • énonciation au présent de vérité générale :
 ++ importance soulignée par le GN « principe fondamental » • paradoxe : ce qu’il déclare s’avère être finalement une évidence, une tautologie : « Toute langue n’est en somme qu’un langage »
 = lapalissade construite sur négation restrictive : met en parallèle 2 synonymes
 → phrase creuse
 = contraste entre ce qui avait été annoncé et ce qui est finalement dit suscite le rire
 ++ élève

Problématique :Le critère du SP est-il aujourd’hui encore un bon critère de droit administratif ? Si on définit le droit administratif comme le droit des SP, le sujet devient alors une simple tautologie ; et la coïncidence entre SP et droit applicable se passe de toute démonstration. Le sujet ne conserve donc de pertinence qu’à la condition de définir le droit administratif comme l’ensemble des solutions légales et jurisprudentielles dérogatoires au droit commun et appliquées normalement dans certaines

elle déplaît, donc il ne faut point se marier. - L'ironie consiste à feindre d'adopter l'opinion de l'autre pour mieux la détruire, en la ridiculisant. * Dans une argumentation de mauvaise foi on peut en arriver à de faux arguments. - La tautologie est un raisonnement en cercle vicieux. 100% des gagnants ont tenté leur chance! (publicité pour le loto) - Le prétexte est une fausse raison invoquée pour se tirer d'un mauvais pas (cas de la maladie "diplomatique") - L'argument ad hominem