Tatou

et réussi à être engagé par le célèbre metteur en scène Stromboli afin de jouer dans un spot publicitaire tourné il y a maintenant sept mois et pour lequel elle a gagné 18 000 euros pour quatre jour de tournage. Elle s'est, pour la publicité fait tatouer un aigle sur l'épaule. Au recto du contrat se trouve une clause en petit caractère stipulant qu'elle s'engageait à se soumettre à une opération chirurgicale permettant la récupération du tatouage pour qu'il puisse être vendu aux enchères. Cependant

souvenir d'amour Le souvenir d’amour,  c’est pas un cœurau bout d’une chaîne, ni peint à l’entonnoirsur un cochon de pain d’épice à la foire,ni un feu d’artifice la main dans la mainenfin, c’est pas ce qui est gravé dansma mémoire, c’est ce qui est tatoué invisiblesur mon corps tout entier,mon corps aimé, caressé, admiré. Embrasse-moi extrait du recueil << Histoires et d'autres Histoires >> C’était dans un quartier de la ville lumièreOù il fait toujours noir où il n’y a jamais

les erreurs du passé). Ce devoir est clairement mentionné dans la phrase « Pour qu’un jour les enfants sachent qui vous étiez ». Les nombres cités font référence au fait que les prisonniers du camp de concentration d’Auschwitz avaient un numéro tatoué sur la peau ; tout comme la phrase « ils se croyaient des hommes, n’étaient plus que des nombres ». Au début de la chanson, Jean Ferrat dit « ils », il évoque les déportés ; alors qu’à la fin il leur parle (« vous »), comme si le fait d’avoir écrit

mêmes droits et obligations que tout autre citoyen ( droit de vote, droit à n'importe quel lieu publique... ) ne sont plus dévalorisés. Néanmoins leur cauchemar vécu restera à jamais dans leur mémoire. Le numéro matricule qu'ils ont du se faire tatoué ne s'effacera jamais. Des associations ont été mise en place pour les aider dans leur nouvelle vie de citoyens après un tel traumatise. Conclusion : Avant la seconde guerre mondiale les juifs étaient considérés comme tout autre personne et étaient

concentration d'Auschwitz-Birkenau où elles arrivent le 15 avril au soir. Un prisonnier parlant français lui conseille de se dire âgée de plus de dix-huit ans pour passer la sélection et éviter l'extermination. Elle reçoit le matricule 78651 qui lui est tatoué sur le bras. En juillet 1944, avec sa mère et sa sœur, elle est transférée à Bobrek, à cinq kilomètres de Birkenau. Peu avant la libération du camp d'Auschwitz le 27 janvier 1945, les Allemands emmènent leurs prisonniers dans la marche de la mort

1. 1ère et 2e strophe : « Nus et maigres tremblants », « Ils se croyaient des hommes, n’étaient plus que des nombres » : Evoque la déshumanisation des déportés par la perte de la dignité et de l’honneur. De plus, les déportés avaient un numéro de tatoué sur leurs bras, d’où la comparaison avec des nombres ; 2. 2e et 5e strophe : « Ils ne devaient jamais plus revoir un été », « Ils n’arrivaient pas tous à la fin du voyage » : Evoque l’extermination des déportés, une grande partie d’entre eux ne survivaient

humaine. Tout d’abord, elle se définit elle et ses frères à Auschwitz comme des « Stücke », c'est-à-dire des morceaux en allemand, en effet elle dit avoir perdu son identité à l’époque. Les déportés n’existaient plus « qu’à travers le numéro encore tatoué sur leur bras ». De plus, de la ligne 34 à 38 on retrouve un imparfait d’habitude avec « il ne suffisait pas », « il fallait » et « nous n’étions » ; cet imparfait renforce le poids du témoignage et montre que cette destruction de l’âme humaine a

inverse (effet mirroir) ils etaient des milliers ils etaient vingt et cent ) dans le deuxième couplet on constate aussi une perte d’identité (ils se croyaient des hommes, n’étaient plus que des nombres) les hommes comme les femmes étaient tous rasés et tatoués ce qui permettait de les identifier.-Jean ferrat essaie donc dans cette chanson de leurs donner une identité en les nommant n’ont plus par « ils » mais par « Jean-Pierre »,« Natasha » et  « Samuel ». -Enfin il essaye de montrer la souffrance qu’on

les ressources morales et matérielles de l’adversaire C. Etude de cas le camp d’Auschwitz : le mécanisme de l’extermination ® Les Juifs et le Polonais sont concernés ® Ils sont triés par âge, sexe, état de santé ® Ils sont tatoués, numérotés ® Ils sont déshumanisé, on leur enlève tout leur vêtements, on les transporte comme du bétail, ils sont séparé de leurs proches. Ils sont déshumanisé, on leur enlève tout leur vêtements, on les transporte comme du bétail, ils sont

filles Jeune homme dont j’ai vu battre le cœur à nu Quand j’ai déchiré ta chemise et toi non plus Tu n’en reviendras pas vieux joueur de manille2 Qu’un obus a coupé par le travers en deux Pour une fois qu’il avait un jeu du tonnerre Et toi le tatoué l’ancien Légionnaire Tu survivras longtemps sans visage sans yeux Roule au loin roule train des dernières lueurs Les soldats assoupis que ta danse secoue Laissent pencher leur front et fléchissent le cou Cela sent le tabac la laine et la sueur