Tant Que Les Hommes Se Contentèrent

Tant que les hommes se contentèrent de leurs cabanes rustiques, tant qu’ils se bornèrent à coudre leurs habits de peaux avec des épines ou des arêtes, à se parer de plumes et de coquillages, à se peindre le corps de diverses couleurs, à perfectionner ou à embellir leurs arcs et leurs flèches, à tailler avec des pierres tranchantes quelques canots de pêcheurs ou quelques grossiers instruments de musique ; en un mot tant qu’ils ne s’appliquèrent qu’à des ouvrages qu’un seul pouvait faire, et qu’à des

parmi les hommes (1755) Cette page a été rédigée par Oregann. Aaw  Tant que les hommes se contentèrent de leurs cabanes rustiques, tant qu’ils se bornèrent à coudre leurs habits de peaux avec des épines ou des arêtes, à se parer de plumes et de coquillages, à se peindre le corps de diverses couleurs, à perfectionner ou à embellir leurs arcs et leurs flèches, à tailler avec des pierres tranchantes quelques canots de pêcheurs ou quelques grossiers instruments de musique ; en un mot tant qu’ils ne

historique mais il n’y a pas de repères historiques et pas de précisions (hypothèse = marque de l’argumentation et de la réflexion) « tant que […] contentèrent » l.10 , « dut être » l.3 = incertitude, approximation avec le verbe devoir -arguments : introduction de l'argumentation «plus on y réfléchit » l.3-4 ( « on » => généralisation, un problème qui concerne tout les hommes). Il s’appuie sur un exemple l.6 « l'exemple des sauvages […] » ici introduction de sa thèse : le sauvage est bon et le progrès

La civilisation peut être l’origine des inégalités des hommes, c’est ce que pense Rousseau, il développe ses idée dans « Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes ». L’extrait parle de la transformation de l’homme sauvage à l’homme civilisé, c’est pour cela que nous pouvons nous poser la question suivante : Par quelle moyen Rousseau dénonce les inégalités du genre humain ? Après une étude de cet extrait, l’analyse portera sur la naissance de l’inégalité, puis nous

esprits du siècle des Lumières. ant que les hommes se contentèrent de leurs cabanes rustiques, tant qu’ils se bornèrent à coudre leurs habits de peaux avec des épines ou des arêtes, à se parer de plumes et de coquillages, à se peindre le corps de diverses couleurs, à perfectionner ou à embellir leurs arcs et leurs flèches, à tailler avec des pierres tranchantes quelques canots de pêcheurs ou quelques grossiers instruments de musique ; en un mot tant qu’ils ne s’appliquèrent qu’à des ouvrages qu’un

Introduction En Novembre 1753, l’académie de Dijon propose un concoure d’écriture : quelle est l’origine de l’inégalité parmi les hommes, est-elle autorisée par les lois naturelles ? Contrairement à ce qui s’est passé pour son premier discours sur les sciences et les arts, Jean-Jacques Rousseau n’a pas gagné. Ce célèbre philosophe, écrivain et musicien du siècle des Lumière voit son discours susciter de violentes réactions moqueuses, notamment de la part de Voltaire. Le discours montre que l’évolution

analyserons ici un extrait, nous allons voir comment Rousseau alimente le mythe du « bon sauvage », une idée très présente dans la culture européenne du dix-huitième siècle. Dans un premier temps nous allons voir comment l’auteur fait l’éloge des hommes primitifs, puis comment par le hasard, ce mode de vie sain et prospère a été modifié et détruit. La technique argumentative qu’emploi l’auteur pour mettre en valeur sa thèse est très intéressante. Dans la première partie du texte nous constatons

------------------------------------------------- « Tant que les hommes se contentèrent ….et croître avec leurs moissons » Introduction : Rousseau écrit son Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité au 18° siècle. Nous sommes en plein siècle des Lumières, siècle qui réfléchit profondément sur la condition humaine. Rousseau nous présente ici la transition entre deux états différents, l’Etat de nature, fictif, et l’Etat social. Nous nous demanderons ainsi en quoi Rousseau met en

quelque funeste hasard’’, ‘’le genre humain était fait pour y rester toujours.’’ Dans le deuxième paragraphe, l’auteur montre que durant cette période, tous les hommes étaient indépendants les uns des autres. On voit une très longue énumération avec des anaphores sur l’origine du maintien de leur liberté, ‘’Tant que les hommes se contentèrent […], ils vécurent libres, sains et heureux’’. Toutes les activités énumérées dans le paragraphe sont simples et font référence à l’homme des cavernes qui n’effectuait

extrait du « Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes » de Jean-Jacques Rousseau écrit au siècle des Lumières, qui fut un siècle de raison et de contestations sociales et politiques, destinées à améliorer la vie des Hommes, ainsi qu’un siècle de découvertes scientifiques avec la parution de l’Encyclopédie. Son thème principal est la critique sociale avec la cause du malheur des Hommes. Ces trois textes traitent de la société et de la mauvaise condition de ces derniers