Sémantique Générale

fiction) (= ce qui est raconté) : 1. 2. 3. Place du texte dans le schéma narratif (état initial / processus de transformation : déclencheur + péripéties + résolution / état final) Cadre spatio-temporel :  durée de l'histoire  lieu  atmosphère générale (nature du décor, présence/importance des descriptions, valeur symbolique) Caractérisation des personnages :  portrait  paroles rapportées  rapports entre eux (conflit / fusion)  fonction  La narration (= comment l’histoire/la fiction est racontée)

l’autre théorie de la linguistique moderne. La présente méthode est, pour l’essentiel, empruntée à Georges Galichet, qui l’appele «analyse en termes». Il s’agit d’une méthode d’analyse structurale très visuelle : elle propose un dessin à volonté général ou détaillé de la structure de la phrase; elle permet non seulement de démonter la phrase mais encore de disposer ses syntagmes ou constituants, ou ses «termes» — de manière à exposer clairement son architecture; elle offre d’excellents gabarits de

reconnaissances (FR) peuvent être regroupées en 2 catégories i) les FR sémantiques où se produit une confusion entre des informations réellement perçues et celles imaginées par le sujet et (ii) les FR de source résultant d’une confusion entre différents épisodes réellement vécus (confusion du contexte). Les aspects psychophysiologiques de ce deuxième type de FR reste à ce jour relativement peu étudié comparé aux FR sémantiques. Cette étude cherche donc à mettre en avant les mécanismes électrophysiologiques

mot explique, dans une certaine mesure, cette situation. En effet, comme l’indiquent Henri Besse et Rémy Porquier, le terme grammaire est " particulièrement ambigu" (1984 : 10) car sa définition «recouvre la description des règles de fonctionnement général d’une langue, ou un ensemble de prescriptions imposées à ceux qui parlent, ou encore le système des règles de [la langue cible] intériorisée par l’apprenant » (Coste, D., Galisson, R., 1996, p.93). Selon Dictionnaire Larousse de la langue française

semiotic paremiol-ogy and linguistics, it is necessary to apply the modern theory of nomination. Introduction « Un proverbe est l’esprit d’un seul et la sagesse de tous» (Russel 1981:5). Un proverbe est une formule langagière de portée générale contenant une morale ou une vérité d’expérience. Le proverbe est étudié par les différents domaines philologiques, tels que le folklore, la linguistique et la sémiotique. Le folklore s’intéresse aux proverbes, car ils expriment la sagesse du peuple

morphème comme. C’est pour cette raison que nous avons choisi la théorie de la grammaticalisation comme cadre descriptif. En effet, à travers une perspective historique nous avons pu retracer l’évolution et le changement morphologique, syntaxique et sémantique de comme. La grammaticalisation est donc à la fois un cadre descriptif et un processus décrit par cette approche. Ce phénomène consiste surtout dans le passage d’un mot lexical autonome à un mot grammatical moins autonome et d’un mot grammatical

automatique et types de néologismes : une nécessaire clarification », Actes du colloque Néologie sémantique et corpus, une rencontre de méthodes, Université de Tübingen, 29-30 avril 2010, organisée par Christophe Gérard et Johanes Kabatek, Les Cahiers de lexicologie n° 100, juillet 2012, p. 37-53 halshs-00721991, version 1 - 27 Sep 2012 Résumé L’extraction automatique des néologismes sémantiques est plus difficile et délicate que celle des néologismes formels. C’est du moins la doxa, qui

La Conférence internationale du travail, Genève, en 1924, (p. 644) stipule dans ses conclusions : « Considérant qu'en adoptant dès sa première session, à Washington, une Convention sur la durée du travail, la Conférence générale a eu notamment pour objet de garantir aux travailleurs, outre les heures de sommeil nécessaires, un temps suffisant pour faire ce qui leur plaît, ainsi que l'indique exactement l'étymologie du mot "loisirs" […] », Mécanisation et informatisation libèrent progressivement

il n'en reste pas moins que le sens d'un mot est une réalité complexe, qu'il n'est pas toujours facile d'appréhender. En effet, le mot dis toujours plus que ce qu'il semble dire, notamment parce qu'il s'insère dans une série de champs (lexicaux, sémantiques) qui viennent élargir l'éventail de ses significations. A – LE(S) SENS D'UN MOT : 1 – Polysémie Un mot a rarement un seul sens : à sa signification d'origine, qu'on appelle le sens propre, s'ajoutent progressivement d'autres significations

traductive, (sur-)terminologiser, transcodage, etc » (1994:213-214). L’auteur fait la distinction entre la connotation sémantique et la connotation sémiotique qui dérive du fonctionnement du texte. Les connotations renvoient à deux niveaux différentes. D’une part au double niveau supra–individuel d’une sémantique dialinguistique de la langue et d’une « sémantique générale » interlinguistique. D’autre part au niveau infra-individuel d’une sémiotique qui analyse « le double fonctionnement du signe