Systeme Politique Africaine

La Monarchie, est un régime politique dans lequel le Chef de l'État est un roi ou un empereur héréditaire. L' Organisation politique dans laquelle les pouvoirs législatif, exécutif et judiciaire sont concentrés, sont entre les mains de ce même individu. La République elle, est un système politique dans lequel l'État doit servir le "bien commun" et non des intérêts privés comme dans la monarchie. La souveraineté appartient au peuple qui exerce le pouvoir politique directement ou par l'intermédiaire

féodalité. La féodalité est originellement un concept appliqué à l'Europe occidentale, qui décrit un système hiérarchique entre terres et habitants, avec une prédisposition à la domination de la classe guerrière. La féodalité est un système politique qui apparait et se développe entre le Vème et VIIIème siècle, et qui s'applique ensuite à la période allant du IXème au XIIIème siècle. Ce système politique décrit un ensemble d'institutions régissant des droits et des obligations entre seigneurs, propriétaires

est une clef du régime et du système américain. I. L’apparence d’organes puissants et indépendants. A) Un exécutif presque irrévocable. Le président est élu pour 4 ans, et ne peut désormais se présenté qu’une seule fois. Son mode de désignation est original est un peu complexe. Il correspond en fait à une élection au suffrage quasi-direct car les grands électeurs ont un mandat impératif. L’élection présidentielle de 200 a souligné les inconvénients de ce système : il a fallu attendre 36 jours

multiples perspectives d'études et notamment celle sur laquelle notre étude est basée: leur transition démocratique. Le thème de la démocratie est incontournable en politique comparée et c'est pourquoi nous avons décidé de nous attarder sur la phase de transitologie; et surtout les causes de ce "désir démocratique". Car même si l'idéal politique de la démocratie est un objectif pour tous, il reste long et difficile à atteindre. La phase de transitologie semble d'autant plus interessante qu'elle présente

b) Sur le plan des justifications     On peut, à la suite d’Anne Muxel et de Jérôme Jaffré, distinguer l'abstention "hors du  jeu politique" et l'abstention "dans le jeu politique".     1° L’abstention « hors du jeu politique » Elle se traduit par un retrait de la politique et une certaine apathie. Les abstentionnistes  relevant  de  cette  catégorie  ne  se  reconnaissent  pas  dans  le  jeu  politique,  se  sentent  incompétents.  Surtout,  ils  sont  davantage  porteurs  d'un  refus  et  d'une  contestation  de 

l' "American way of life" qui promouvoit une aisance matérielle. Les E.U sont maintenant multi-ethniques même si une mentalité quelque peu raciste persiste toujours. Ils refusent strictement le communisme. En quelques mots : L'URSS : Un système politique centralisé et lourd : les difficultés du model soviétique. Son but est de crée une société radieuse sans classe, d'ou la nécessité d'encadrer la population et de lui inculquer les valeurs jugés indispensable. C'est là le rôle du parti communiste

Les sytéme électoraux Le système électoral traduit les suffrages exprimés lors d’une élection en résultats, c’est-à-dire les sièges remportés par des partis et des candidats. Les principales variables sont les formules électorales utilisées comme le mode de scrutin proportionnel (ex :Israel) ) permet une représentation conforme aux votes des citoyens, mais peut constituer un risque d’instabilité gouvernementale On distingue plus généralement 3 grandes « familles » de sytémes électoraux

Quels sont les avantages et les inconvénients de chacun de ces systèmes ? Les débats autour des modes de scrutin s’expliquent souvent par la difficulté de concilier plusieurs buts et par des contingences politiques (ex : 1986 en France) . Pour les proportionnalistes, un système électoral doit donner une image fidèle de la situation politique et du corps électoral ; pour les majoritaires, il vise à désigner une majorité d’élus capable de gouverner . Au-delà de la répartition des sièges, le choix

discipline scientifique étant avant tout de comprendre, il faut d’abord étudier le bon comportement ou non de la Constitution, et trouver les solutions aux faits qui la déroutent.  La science du Droit ne doit surtout pas s’occuper des facteurs politiques, sociologiques, économiques qui vont déterminer l’émergence d’une norme, son application et son respect[1]. Nous allons considérer que tous ces éléments doivent être pris en compte. Nous allons voir une conception positiviste, instrumentaliste et

discrimination positive. Partie 1: une politique idéale. La république se définit comme l’ « état politique dans lequel la souveraineté appartient à la totalité des citoyens, sans distinction de naissance, de fortune ou de capacité ». elle postule donc l’égalité de droit de tous les citoyens et se fonde sur la volonté générale, la séparation des pouvoirs. La république est alors le moyen de reconnaître la liberté individuelle et politique et constitue un idéal politique: en transformant la liberté