Syndicalisme

....................................... I LES ÉVÉNEMENTS MARQUANTS….................................................................. II L'Espagne et le collectivisme libertaire .................................................... 2 Le syndicalisme ouvrier ............................................................................ 3 Les anarchistes au Québec ........................................................................ 4 La vie des hippies………………………………………………………… 5 COMMENT

Europe ? IV. Comment les grandes crises du XXe siècle et l’ampleur des changements de société ont-ils affecté le socialisme et le mouvement ouvrier ? Conclusion Savoir définir  - Socialisme - Communisme - Syndicalisme - Industrialisation - Internationale ouvrière - Réformisme - Ligue spartakiste - DGB - SPD - NSDAP - RFA - RDA

des contrats. C’est aussi l’année d’un événement important, c’est le Traité de Versailles, on crée l’organisation internationale du travail (OIT). En France, avec la loi de 1884, on assiste, pendant quelques décennies, à une généralisation du syndicalisme. Les syndicats se créent et se regroupent sur le plan local (on parle d'union) et sur le plan professionnel (création de fédérations). Lorsque plusieurs fédérations se mettent ensemble, il y a une confédération. La 1ière confédération, c’est la

réclamation de la part des travailleurs est vue comme de la flemmardise. Détentrices d’un savoir de métier, ces corporations ont eu un pouvoir de négociation et de résistance important sur un marché du travail peu régulé. -> base militante du syndicalisme naissant. Les savoir sont collectifs et communautaires: ils sont partagés, transmis. Situation = contraire à l’intérêt général défendu par l’alliance du marché et de la connaissance scientifique, contraire aux intérêts du « peuple ». Selon

les ouvriers doivent multiplier les actions comme la fameuse révolte des CANUTS (tisserands lyonnais). Quelques dates importantes : * 1864 : droit de grève * 1884 : droit de se syndiquer * 1895 : naissance des syndicats   Le syndicalisme se structure donc avec la naissance de la CGT (confédération générale des travailleurs). Avec la charte d'Amiens en 1906 les syndicats se déclarent indépendants des partis politiques. A l'heure du Suffrage Universel, le pouvoir ne peut plus ignorer

se traduisent par une perte sèche. Celles de 1919-1920 et de 1946 ont laissé des souvenirs cuisants, dont l’effet s’est ensuite fait sentir pendant des années pour faire accepter la plupart des revendications, y compris les moins opportunes. Un syndicalisme fort est d’ailleurs favorable aux deux parties, si chacune d’entre elles se montre résolue à respecter la règle du jeu. C’est ce qui s’est produit dans les imprimeries de presse où le respect mutuel a permis de garantir d’un côté la régularité

la baisse du taux de syndicalisation : en 30 ans, deux tiers d’effectifs ont été perdus. Un certain essoufflement général et pourtant dans un climat économique morose, leur rôle apparaît encore plus nécessaire en temps de crise. L’histoire du syndicalisme est particulièrement tourmentée depuis sa création. Le mouvement syndical témoigne d’une instabilité, et d’une fragilité : il varie selon les professions et les périodes économiques. Il est divers et a subi des divisions importantes. En reprenant

société de nettoyage industriel : quels sont les conséquences pour la santé de ce changement de produit : qu’en pense t-il ? Section 3 : les différents représentants désignés du personnel. Paragraphe 1 : Les syndicats A) L’historique du syndicalisme français. Longtemps interdit en France avec la loi le chapelier, admis loi 21/21-1884 : valdec rouseeau. C’est en 1895 qu’est n’est la CGT (confédération géénrale du travail) qui restera la principal syndicat pendant 25 ans. Les militants

sociale" s'accompagne d'une "ruée syndicale" sans précédent. En quelques mois, la CGT quintuple ses effectifs pour atteindre quatre millions de membres. Une ère nouvelle s'ouvre : celle d'un "syndicalisme de masse", où les gros bataillons sont formés de travailleurs masculins des grandes usines. Le visage du syndicalisme s'en trouve changé. "C'est à cette époque que le Parti communiste assied son emprise sur la classe ouvrière", note Antoine Prost. Une emprise durable, que confirme la place centrale de

Jaurès rentre pleinement dans l’Histoire. Convaincu par ses amis de l’Ecole Normale Supérieure et en particulier son bibliothécaire Lucien Herr, par les militants allemanistes (autre courant socialiste dirigé par Jean Allemane et favorable au syndicalisme), ainsi que par le " J’accuse " de Zola, il s’engage avec passion. L’"affaire" met en jeu non seulement une injustice individuelle, mais aussi le respect de l’humanité elle même. Elle pose le problème du mensonge et de l’arbitraire des grandes