Sur La Barricade Victor Hugo

Corneille, Phèdre 18ème siècle, siècle des philosophes, des lumières, critique social. Auteur : Beaumarchais (le mariage de Figaro), Marivaux (les pièces) 19ème siècle, drame romantique qui remet en cause les règles du théâtre classique Auteur : Victor Hugo, Musset, Lorenzaccio Texte E: En attendant Godot, Samuel Beckett (1952) Histoire littéraire, l’évolution du théâtre : 1) Avant 1950 Le drame Romantique a remis en cause le théâtre classique au nom de la vraisemblance et de la vérité. Il faut

ont fait l’essentiel du travail, mis ils sont trop minoritaires. Ils mèneront une opposition violente. Il s’est créé une alliance entre le peuple et les bourgeois. Les républicains sont extrêmement chauvins. Georges Sand, Lamennais et plus tard Victor Hugo réclament plus de liberté et se tournent vers la République. Les orléanistes ne veulent pas de nouvelles lois sociales et économiques, ni d’aventures militaires. Le camp des vainqueurs est divisé. Pour certains 1830 marque un début de mouvement

la prostituée Sarah la Louchette vers 1840). Comme De Quincey avant lui, l’accoutumance le fait augmenter progressivement les doses. Croyant y trouver un adjuvant créatif, il en décrira les enchantements et tortures10. En 1848, il participe aux barricades. La révolution de février instituant la liberté de la presse, Baudelaire fonde l'éphémère gazette Le Salut Public (d'obédience résolument républicaine), qui ne va pas au-delà du deuxième numéro. Le 15 juillet 1848, paraît dans La Liberté de penser

l'acquisition de coûteuses œuvres d'art et expérimenta les «paradis artificiels» de l'opium et de l'alcool. Malgré ses tendances catholiques et ses goûts aristocratiques, il accueillit avec joie la révolution de 1848, se montra en armes sur les barricades, fonda avec Champfleury et Toubin une feuille éphémère (le Salut public), et fut un moment lié avec Proudhon. Mais son train de vie ne tarda pas à écorner son héritage: pour éviter la dilapidation de sa fortune, son beau-père et sa mère le firent

prisonniers fusillés au parc Monceau et à Montmartre ; rue Haxo, 52 otages (dont 11 prêtres, 35 gardes ou gendarmes, 3 mouchards) tués par insurgés (1er tué : l'abbé Planchat et une jeune fille) ; prise du Père Lachaise ; chute de la dernière barricade, rue Ramponeau. 2 –Contexte littéraire Source : http://www.lemondedesarts.com/DossierDaumier.htm http://www.musimem.com/temps_des_cerises.htm Honoré Daumier, peintre, caricaturiste et sculpteur français, né en 1808, D'abord saute-ruisseau

l’interdiction, des manifestants se réunissent sur la place de la Concorde aux cris de « Vive la Réforme ! A bas Guizot ! ». Louis Philippe ne s’inquiète pas de ces manifestants car selon lui les Français ne se révoltent pas en Hiver. 23 février 1848 : Les barricades sont levées et une fusillade éclate le même jour : Louis Philippe prend alors conscience de l’ampleur du mouvement. Il renvoi alors Guizot et le remplace par Molé puis par Thiers. 24 février 1848 : les républicains entrent en scène : Les insurgés

sa perversité présumée En 1848, il participe aux barricades. La révolution de février instituant la liberté de la presse, Baudelaire fonde l'éphémère gazette Le Salut Public (d'obédience résolument républicaine), qui ne va pas au-delà du deuxième numéro. Le 15 juillet 1848, paraît dans La Liberté de penser un texte d'Edgar Allan Poe traduit par Baudelaire : Révélation magnétique. Plus tard, il partage la haine de Gustave Flaubert et de Victor Hugo pour Napoléon III, mais sans s'engager outre mesure

Édition du groupe « Ebooks libres et gratuits » Victor Hugo LES MISÉRABLES Tome V – JEAN VALJEAN 1862 Texte annoté par Guy Rosa, professeur à l’Université Paris-Diderot Table des matières Livre premier – La guerre entre quatre murs .......................... 6 Chapitre I La Charybde du faubourg Saint-Antoine et la Scylla du faubourg du Temple ..................................................... 7 Chapitre II Que faire dans l’abîme à moins que l’on ne cause ?........................

chambre de Fantine, qui meurt avant d'avoir revu Cosette. Deuxième partie : Cosette. En mai 1861, le narrateur raconte une visite à pied sur les vestiges de la défaite de Napoléon à Waterloo. Ce jour-là, Napoléon affrontait les troupes anglaises. Victor Hugo réfléchit sur les causes de cette défaite : il pleuvait ce jour-là, le sol était boueux, ce qui empêcha l'empereur de déployer librement son artillerie, son arme stratégique. La cavalerie française se précipita dans un ravin, où beaucoup de soldats

la liberté de presse, dissolvent les chambre des députés, modifient le système électoral et fixent une date pour des nouvelles élections. Publiées le 28 juillet, ces mesures provoquent une insurrection : -le 27 juillet, la population dresse des barricades -le 28, le peuple de Paris se soulève et lutte contre les troupes royales -le 29, ils prennent ‘assaut le Louvres et les Tuileries. Après ces 3 Glorieuses (=3 jours), Charles X part en exil. Le Duc d’Orléans (descendant d’un frère de louis