Supériorité D Une Civilisation Sur Une Autre

Note de lecture Norbert Elias, La civilisation des Mœurs, 1973, Presse Pocket Norbert Elias, né en 1897 et mort en 1990, est un sociologue allemand . Face à une dépression nerveuse, il va être jugé inadapté pour aller à la guerre 14-18 et va alors entreprendre dès 1918 des études de philosophie et de médecine. Il va alors se former à la sociologie. A cette époque la psychanalyse freudienne domine et Norbert Elias va en devenir le disciple en 1930 et devient l’assistant de Karl Mannheim

les colonies d‘exploitations qui implique la conquête militaire d'un territoire en vue d'en exploiter les richesses naturelles dans l'intérêt de la métropole. Ces pays colonisés vont s’opposer à la présence des Européens. Ils contestent cette civilisation européenne sois disant « supérieure ». La colonisation consiste donc en la domination Européenne sur des peuples Indigènes. Mais, la colonisation a elle eu des aspects seulement négatifs pour les peuples colonisé ? Au milieu du XIX siècle,

Lire le sujet comme s’il s’agissait de montrer au contraire la supériorité de la culture sur une définition a priori de la nature réduite à tort à un état primitif. Confondre culture et civilisation et nature et concept rousseauiste « d’état de nature » qui n’est pas une donnée historique mais une fiction méthodologique, une hypothèse pour comprendre comment se fait l’entrée de l’homme dans la culture. Enjeux du sujet : Il est demandé une réflexion sur ce que vaudrait une définition de la nature

SAMUEL HUNTINGTON ET LE CHOC DES CIVILISATIONS Xavier Hottepont & Luc Moulinat http://fr.altermedia.info/politique/samuel-huntington-et-le-choc-des-civilisations-15_9122.html Le samedi 27 septembre 2003, s’est tenu à Metz, dans le cadre du "Cercle Hermès", dirigé par Robert Keil, un colloque sur les visions géopolitiques anglo-saxonnes, avec la participation de Xavier Hottepont, Philippe Banoy, Eddy Marsan et Robert Steuckers. Xavier Hottepont y a présenté les thèses de Samuel Huntington [à

là où elle ne gênera pas son épanouissement. D’un autre côté, l’abandon des métaux peut aussi se comparer à une préparation au déchiffrement des symboles. L’aspirant doit maitriser toutes ses passions que sont la possession, le pouvoir, la vanité ; donc prouver symboliquement son renoncement aux biens matériels. L’abandon des métaux correspond donc à la pierre brute qu’est le nouvel initié, le métal caractérisant précisément la civilisation et tout ce qu’elle comporte de factice, telles les idées

grâce à la technique, « s’est rendu comme maître et possesseur de la nature » (Descartes, Discours de la méthode) : il peut lutter contre la maladie, contre les intempéries, rendre fertiles des terres arides etc. C’est un véritable pouvoir et une supériorité dont dispose l’homme. En effet, l’homme fait, certes, partie de la nature mais il est naturel pour lui de chercher à s’en échapper (comme le disait Rousseau, l’homme est un être perfectible, c’est à dire capable de se perfectionner). L’humanité

d’une forme d’énergie en une autre ou transfert d’énergie d’un système à un autre. Toute forme de vie a besoin d’énergie, mais aussi de la puissance nécessaire pour maintenir cet apport énergétique à un niveau constant. La puissance est l’intensité du débit d’énergie utile. Dans la nature, la lutte pour la survie est en réalité une compétition entre des systèmes vivants cherchant à s’assurer un apport continu d’énergie utile. La grandeur et la décadence des civilisations humaines sont étroitement liées

et la coutume, la plus contraignante des formes de servitude humaine. Les principales caractéristiques de l'esclavage sont le travail ou des services par la force, ainsi que le fait que la personne physique est considérée comme la propriété d'une autre personne, son propriétaire, à la volonté duquel elle est entièrement assujettie. Depuis les temps les plus reculés, dans la plupart des sociétés, les esclaves ont été légalement rangés dans la catégorie des biens matériels et des instruments fonctionnels

idéologique est cependant bien plus ancienne. C'est l'Europe terre de civilisation contre la non-Europe des Barbares. L'Europe comme métaphore d'exclusion existe depuis Hérodote. Elle existe toujours. C'est une région à dimensions variables, définie par la frontière (ethnique, sociale, culturelle autant que géographique) avec les régions de l'"Autre", souvent situées en "Asie", parfois en "Afrique". L'étiquette "Asie" comme synonyme d'un "Autre" qui combine la menace et l'infériorité a de tout temps été collée

haute Antiquité. Plusieurs civilisations avaient notamment la crainte que l'hiver ou la nuit s'installent à tout jamais. C’est pourquoi elles avaient instauré des rituels le jour du solstice d'hiver pour célébrer la victoire de la lumière sur les ténèbres. Les Aztèques avaient un calendrier cyclique et pensaient que tous les 52 ans, le Soleil risquait de disparaître. Pour empêcher cela, ils pratiquaient divers rites et notamment des sacrifices humains. Une autre représentation très fréquente