Superficiel Bonheur

ovale; concernant la longueur de mes jambes, elles sont proportionnelles à mon buste, mais néanmoins marquées par de larges cuisses. Ayant une allure détendue, ma posture est naturelle. J'essaye de soigner mon apparence, sans pour autant me rendre superficielle. Je n'ai pas la chance d'avoir une silhouette svelte mais, sans doute, mes formes doivent contribuer à mes particularités physiques. J'adore voyager, malheureusement, je n'ai pas la possibilité de visiter tous les pays où je rêve d'aller. Energique

plénitude -Emotion agréable qu’éprouve une personne dont les désirs sont satisfaits -Manifestation de gaieté de bonne humeur J’évacuerai (peut-être à tort) la dernière : Manifestation de gaieté de bonne humeur ; qui n’est qu’une manifestation superficielle et éphémère d’un individu face à des circonstances particulières ou bien alors, dans certains cas, un« vernis de gaieté » qui pourrait cacher la réalité de l’individu… La deuxième définition : Emotion agréable qu’éprouve une personne dont les

que nous sommes fait-elle obstacle à notre bonheur ? Sommes-nous insatisfaits, voire malheureux, du fait que nous avons la conscience de nos caractéristiques, bonnes et surtout mauvaises ? Doit-on payer le prix de la lucidité vis-à-vis de nous-mêmes, par une déception ou un pessimisme fondamentaux ? Il faudrait alors presque regretter que la nature nous ait donné une conscience. Mais un être non conscient peut-il à l'inverse s'estimer heureux ? Le bonheur représente-t-il quelque chose pour lui ? Nous

prophétique : Utilisation de l’impératif => temps utilisé pour donner des ordres Parole catégorique : jeu sur les affirmations et les négations : « nous sommes innocents, nous sommes heureux ; et tu ne peux que nuire à notre bonheur » ; « Tu n'es pas esclave : tu souffrirais plutôt la mort que de l'être »  => Opinion déjà conçue du vieillard : il n’y a pas de place ni au doute ni à la discussion entre les européens et le vieillard. Le vieillard parle en

vie mais pour être heureux faut-il satisfaire tout ses désires ? Pour certains être heureux c’est vivre dans un monde parfait sans problèmes, pour d’autre cela peut passer par le plaisir d’obtenir quelque chose. L’ataraxie peut-être une forme de bonheur dans le sens ou elle consiste à être tranquille et serein quelque soit les circonstances. Dans un premier temps nous allons nous demandez si satisfaire ses désires lorsqu’ils sont légitime et naturel si ils méritent d’être assouvis. Ensuite si le

Lelièvre Pierrick 04/01/2010 2nde 4 Dissertation littéraire sur « Où est le bonheur dans Atala » François René Chateaubriand appartient au XVIIIè et au XIXè siècles, faisant ainsi le lien entre les Lumières de Voltaire pour lesquelles la raison est centrale et le romantisme de Hugo pour lequel l’Homme est avant tout un être sensible. Néanmoins Chateaubriand est surtout un auteur romantique

dire ) Bernadette La loufoque : Moi je joue une fofolle et qui est toujours de bonne humeur grand sourire… E > Bienvenu sur le plateau de « Philosophons un peu » . Je suis Micheline Lasuperbe( EMILIE) .Aujourd’hui nous allons parler du bonheur! Oui le bonheur, la quête quotidienne de chacun d’entre nous. Pour ce, nous allons accueillir sur notre plateau René Jemenfou (LOUIS) et Bernadette La loufoque ( SAIDAT). Tous deux on était contraints de lire 2 essais différents que je leur ai imposer et

désir le plus « superficiel » (la richesse) au plus raisonnable (une bonne santé par exemple). Mais malgré tout cela, nous sommes toujours en train d’attendre que le bonheur vienne à nous. Mais avons-nous réellement besoin de l’attendre ? N’est-il pas possible d’envisager que nous serions déjà heureux ? Et auquel cas nous ne le serions pas, n’y a-t-il pas un autre moyen que l’attente pour accéder au bonheur ? Pour y répondre, nous verrons tout d’abord comment nous attendons le bonheur. Ensuite, nous

LE BONHEUR EST-IL INACCESSIBLE ? Qu’est-ce que le bonheur ? Comment le trouver ? Telles sont les questions que se posent tous les hommes et ce, depuis l’Antiquité. C’est parce que l’être humain est mortel qu’il cherche à vivre pleinement, à expérimenter le bonheur au cours de sa vie. Le mot bonheur suggère, par son étymologie latine (bonum augurium, « de bon augure »), l’idée de « chance » de « hasard », comme s’il ne dépendait pas de nous d’être heureux. Pourtant, le bonheur apparaît aussi

constitue « une plus grande perfection » que la gaieté. 1. Comment comprendre cette notion de biens, ici ? 2. En quoi ignorer les biens qui nous manquent nous rend-il plus heureux ? 3. Comment l’imagination participe-t-elle à ce bonheur illusoire ? 4. Dans quelle mesure la vérité nous rend-elle triste ? 5. Comment comprendre la notion de Souverain Bien ? 6. Peut-on alors continuer à dire que la vérité nous rend triste ? 7. Quel est le statut de l’âme ici