Sujet Sur Bertrand Russel

elle fait disparaître le dogmatisme quelque peu arrogant de ceux qui n'ont jamais parcouru la région du doute libérateur, et elle garde intact notre sentiment d'émerveillement en nous faisant voir des choses familières sous un aspect nouveau." Bertrand RUSSELL, Problème de philosophie . ======================= = "La valeur de la philosophie doit en réalité surtout résider dans son caractère incertain même. Celui qui n'a aucune teinture de philosophie traverse l'existence, prisonnier de préjugés

prémisses admises ou démontrées, démontrer les théorèmes les uns après les autres à partir d’un petit nombre d’axiomes. L’évidence est-elle un critère d’infaillibilité ? Comment distinguer l’évidence rationnelle avec les évidences sensibles, propre au sujet. Leibniz «  Descartes a logé la vérité à l’hostellerie de l’évidence mais il a oublié de nous en donner l’adresse ». II- Les limites de la démonstration Critique de Leibniz sur l’idéal cartésien. Critiques de Pascal et Diderot : Pouvons-nous

(…) 4. La pensée est la proposition pourvue de sens. 5.6. Les limites de mon langage signifient les limites de mon monde. 5.6.2.1 Le monde et la vie sont la même chose. 5.6.3 Je suis mon monde. (le microcosme) 5.6.3.2 Le sujet n’appartient pas au monde, mais il est une limite du monde. (…) 5.6.3.4 (…) Tout ce que nous pouvons décrire, pourra être autrement. Il n’existe pas d’ordre des choses a priori. (…) 7. Sur ce dont on ne peut parler, il faut garder silence

introdusction Le mot « conscience » vient du latin « cum scientia » qui signifie « accompagné de savoir » Être conscient, c'est agir, sentir ou penser, et savoir qu'on agit, qu'on sent et qu'on pense. Si le sujet est conscient de lui-même alors il sera conscient de ce qu'il fait, donc de lui-même. Cela implique que nous sommes toujours nous-mêmes, des êtres conscients de ce que nous sommes avec notre propre essence.Mais si, nous ne formons qu'une seule et même personne, pourquoi se justifier

dépend pas de prises de position sur des questions de fait, comme par exemple l'existence historique d'Adam et d'Ève. Ainsi, la religion, en abandonnant les bastions, a cherché à garder la citadelle intacte : il reste à voir si elle y a réussi. Bertrand Russell *** Principales formes de croyances ou d'attitudes relatives à Dieu ou aux dieux Les théistes croient en Dieu ou dans les dieux à travers des religions qui prétendent avoir connaissance de la nature et des desseins de la divinité qui s’est révélée

croyances dont la vérité est justifiée de manière certaine. Toute croyance présentant un moindre degré de justification constitue à ce compte une « opinion probable » (ou connaissance par provision). Ce point de vue prévaut encore dans l'œuvre de Bertrand Russell (notamment dans les Problèmes de Philosophie, 1912). Au cours des décennies qui suivirent, l'idée selon laquelle le degré de justification des croyances doit s'évaluer en termes de certitude a perdu en influence.Le problème de Gettier et les

plus tard un livre à ce sujet (L’Art de voir) qui est publié en 1942 aux États-Unis .Il y déclare que pour la première fois depuis 25 ans, il a pu lire sans lunettes et sans effort. Aldous Huxley termine son premier roman, à l’âge de 17ans, li se tourne véritablement vers l’écriture à l’âge de 20ans. Il publie sont premier livre, un recueil de poème en 1925, âgé de 25ans. Ses études à Oxford, lui font rencontrer divers écrivain tels que Lytton Strachey et Bertrand Russel et se lie d’amitié avec

troisième personne, est le terme par lequel on désigne le référent de l'unité et de la continuité supposées d' un sujet substantiel -ce qui enveloppe un double postulat métaphysique. -La < conscience de soi > est l' aperception immédiate plus ou moins claire par le sujet de ses propres états de conscience. Conscience spontanée à distinguer de la conscience réfléchie ou retour du sujet sur cette impression première -par laquelle il se distingue de ses états psychiques. La conscience de soi désigne

ingestion de substances spéciales). Même dans ces cas extrêmes quelque chose de réel résiste (par exemple un obstacle que nous touchons). Descartes a une phrase très claire sur ce sujet, il dit «  Ce sont les fous qui doutent de ce genre d’évidence ». Apparemment il semble donc, à l’issue de cette première réflexion, que l’on ne puisse pas douter de ce qui vient des sens, du moins pas de manière aussi totale. Cependant, Descartes

même emploient tous leurs moyens, tous leurs efforts à chercher cette connaissance, ils en oublient parfois de jouir de la vie. La connaissance est le fait d’avoir une idée exacte d’une chose, de son sens, de ses caractères, de son fonctionnement. Le sujet nous invite à savoir quelles sont les raisons qui poussent les hommes à un effort de connaissances, pour quels motifs ? Dans quels buts ? L’homme cherche à connaître pour différents motifs. La science, disait Aristote, est fille de curiosité, d’étonnement