Style La Rochefoucauld

présentent une confrontation efficace des documents - qui présentent une aptitude à la reformulation - qui font l’effort de s’engager dans une interprétation de la photographie précise et cohérente avec la problématique - et sont rédigées dans un style correct et fluide TABLEAU D’AIDE A LA CORRECTION DE LA SYNTHESE OUI Existence d’une problématique NON Présence d’une introduction avec annonce succincte du plan et d’une conclusion Existence d’un plan cohérent organisé en parties et sous-parties

Les caractères (publication 1688), La bruyèreRésumé détaillé par partie, biographie, tout sur le texte Jean de la Bruyère est né en 1645 comme ainé d’une famille bourgeoise. Il a acheté un titre de noblesse grâce à l’héritage de son oncle plus tard dans sa vie. Il n’était pas vraiment écrivain mais moraliste, il n’a publié qu’une seule grande œuvre qui est celle étudiée aujourd’hui : Les caractères, ou Les mœurs de ce siècle souvent considérée comme un chef-d’œuvre

particulier de l’hôtel de Rambouillet, elle s’installa à Paris en 1659 et y tint elle-même salon, se lia d’amitié avec Mme de Sévigné, avec Segrais (qui collabora de près ou de loin à la quasi-totalité de ses oeuvres) et fut très intime avec La Rochefoucauld. ______________________________________________________________________________ “Histoire de la princesse de Montpensier” (1662) Nouvelle Commentaire Mme de La Fayette publia cette nouvelle sous le nom de Segrais. ______________

1. Jean de La Fontaine (1621-1695) Auteur classique du 17ème siècle. Contemporain de Molière, de La Rochefoucauld et de La Bruyère. L'auteur: 1). Un moraliste du siècle classique Dans ses Fables, il décrit la société du 17ème siècle, la société française. Il dénonce les excès de son époque, notamment l'hypocrisie des courtisans, les excès du pouvoir, il condamne de manière générale les vices attachés à la nature humaine: l'avarice, l'envie, la lâcheté, etc. La morale de ses Fables – qui subsiste

auprès d'elle. Il exprime sa souffrance par des redondances "pense mourir…" "afflicat°…" "le plus malheureux…" "vous me rendez…". Hyperbole "mourir de douleur"+repetit° de l'adj malheureux+emploi comparatif et superlatifs= accentue la souffrance, style pathétiq renforcé. un personnage réellement amoureux >> (Sa jalousie) Jalousie exprimée par accumulation de q° sans réponses volontairement (l.26 à 28)= rythme la souffrance, il veut tout savoir sur son rival, le début de cette passion, les

membres qui considèrent ces œuvres licencieuses, il est élu à l’Académie française en 1683. Il mène une vie mondaine assez brillante, fréquentant les écrivains les plus renommés de son temps : La Fayette, Sévigné, Boileau, Molière, Racine et La Rochefoucauld. Les deux dernières années de sa vie, cependant, il devient le protégé de M. et Mme d’Hervart, renonce à la vie mondaine, renie ses Contes et se consacre à la méditation. C’est dans cet état d’esprit qu’il meurt en 1695 à Paris.

courtes, saisissantes, donnent l’occasion de renouveler le corpus littéraire offert aux élèves et d’aborder le genre romanesque au XVIIe siècle. En parallèle, on peut faire lire ou relire une tragédie de Racine et un ensemble choisi de Maximes de La Rochefoucauld. La Préface de Laurence Plazanet constitue une étude riche et précise des deux nouvelles. Elle apporte les éclair cissements his toriques nécessaires sur l’auteur, le genre de la nouvelle au e XVII siècle, ses rapports avec le roman, l’his toire

particulier de l’hôtel de Rambouillet, elle s’installa à Paris en 1659 et y tint elle-même salon, se lia d’amitié avec Mme de Sévigné, avec Segrais (qui collabora de près ou de loin à la quasi-totalité de ses oeuvres) et fut très intime avec La Rochefoucauld. ______________________________________________________________________________ “Histoire de la princesse de Montpensier” (1662) Nouvelle Commentaire Mme de La Fayette publia cette nouvelle sous le nom de Segrais. ________________________

le plus français de tous les auteurs allemands. Il est d’ailleurs exact qu’il regrettait de ne pas maîtriser suffisamment le français pour pouvoir se dispenser d’écrire ses ouvrages en allemand, une langue dont il condamne le manque de culture du style et de raffinement. Un second courant préfère sacrifier la beauté du texte à l’exactitude des concepts : il s’agit en priorité de remettre le texte dans sa dimension philosophique et la précision de ses concepts, quitte à limiter les effets rythmiques

« première classe », c’est-à-dire les plus riche: les notables. Dés son origine l’adjectif a donc une forte connotation sociale. Le mot classicisme n’apparaît qu’au XIXème siècle et désigne le style des œuvres de l’antiquité et du XVIIème siècle Sens large: l’adjectif classique qualifie aujourd'hui un style snobe et harmonieux. Sens restreint: le classicisme désigne l’époque comprise entre 1660 et 1689 et s’oppose au baroque (qui le précède) et au romantisme (postérieur). Mais les règles qui fondent