Style De Racine Dans Phèdre

belle-sœur ! JEAN-CLAUDE. - Parce qu'elle l'a été, elle, sur scène ? ! Parce que c'est de l'art, c'est poli ?... parce que c'est classique, c'est poli ? Parce que ça rime, c'est poli ? C'est ça ? LOUISE. - Tu n'es quand même pas en train de m'expliquer que Racine est mal élevé ? ! JEAN-CLAUDE. - Ta sœur m'a torturé, Louise, tu m'entends, torturé pen­dant toute la soirée. [...] LOUISE. - Ah oui ! ça j'ai vu, tu l'as regardée, ta montre ! JEAN-CLAUDE. - Tout le temps ! À un moment j'ai même cru qu'elle s'était

Andromaque, (IV,5) Ta Troyenne COURS I - Situation de la pièce et du passage : Cette pièce a été écrite en 1667, à l'époque classique, par Racine, poète dramatique rival de Corneille. Andromaque, tragédie racinienne, se déroule à la fin de la guerre de Troie. Pyrrhus, roi grec, est amoureux de sa prisonnière troyenne, Andromaque, et il a décidé de rompre ses fiançailles avec Hermione, princesse grecque. Dans cette tirade, Hermione lui en fait le reproche de façon violente. II – ETUDE : · La

: a) "Le moi est haïssable", selon Pascal. Le MOI est haïssable parce qu'il ne constitue pas un sujet d'étude assez vaste et assez noble. Don pas de lyrisme individuel , mais de la pudeur Mais il y a du lyrisme dans les personnages des pièces ( Racine, Pascal, Bossuet) b) On s'occupe peu de la NATURE EXTERIEURE LA NATURE EXTERIEURE ne les intéresse pas. Mis à part La Fontaine et Mme de Sévigné, les écrivains classiques n'ont guère de regard pour le CADRE EXTERIEUR dans lequel nous nous mouvons

faire oublier au spectateurs qui sont au théâtre pour s'identifier au personnages les héros ne sont pas parfait , Ils sont nobles et peuvent commettre des fautes , ce qui permet au spectateur de se reconnaître entre eux. L'auteur est Racine et ses pièces sont Phèdre et Sénèque. b) La comédie classique n'est pas nécessairement drôle , elle est nommé pour être distinguer de la comédie tragique. Son aspect principal est de plaire et moral pour corriger les mœurs par le rire. L'auteur est Molière

premiers vers, y est évoqué le roi, ainsi que trois personnages de pièce tragiques « les Phèdres, les Jocastes, Les Méropes » (L2) également le « décorum » qui donne une étiquette rigide et stricte. La tragédie méprise la prose, Hugo s'en prend donc aux tragiques comme Racine, dont il se moque, « Racine regardait ces marauds de travers » (L15) marauds reprenant Molière mentionner la ligne au dessus, Hugo trouve que Racine est un dictateur de la langue française. Il évoque aussi Corneille, il le trouve

latitude pour nous donner une vision de la pièce très différente de ce que l’auteur, peut-être, a voulu, de ce que fera un autre metteur en scène, pour faire passer ses idées personnelles à travers le choix des éclairages, des costumes, du décor, du style de jeu des acteurs… Cette fonction est apparue au XIXe siècle, à la suite de nombreux changements technologiques, sociologiques, idéologiques. Auparavant, l’auteur ou l’acteur principal dirigeait plus ou moins le jeu des acteurs, le régisseur s’occupait

Flaubert : Salammbô ; l’Education sentimentale ; Bouvard et Pécuchet. Pierre Michon, Vies minuscules. Maupassant, Une vie. Rabelais, Gargantua ; Pantagruel. Céline, Voyage au bout de la nuit.Le roman est surtout connu pour son style imité de la langue parlée et influencé par l'argot et qui a largement influencé la littérature française contemporaine. Il s'inspire principalement de l'expérience personnelle de Céline au travers de son personnage principal Ferdinand Bardamu : Louis-Ferdinand Destouches

des premiers écrivains à mettre en avant le style littéraire, en développant un phrasé rythmé dans lequel les effets de rupture sont prépondérants. Ce style incite à la lecture à haute voix, donnant ainsi à cette activité le statut de jugement moral grâce à l’effet rhétorique obtenu par la lecture orale sur les auditeurs. Nombre d’écrivains ont suivi le chemin stylistique tracé par La Bruyère : depuis Marivaux jusqu'à Balzac. La Bruyère a donc un style d’écriture très personnelle, et très particulier

chaque fois, de la manière la plus exhaustive possible, l’ensemble des figures concernées. Niveau Nom Description Exemple répétition [graphique] la figure dérivative répétition consistant à utiliser dans une même phrase deux mots ayant la même racine « Ton bras est invaincu, mais non pas invincible » — Corneille, Le Cid [rythmique] l'isocolie [stylistique] répétition d'une cadence sur plusieurs segments de phrase « Quitté de mes compagnes, je me reposai au bord d'un massif d'arbres : son

un poète et critique. Tous deux ont contribué à la fixation de la langue classique et à l’établissement des règles. Le Théâtre : Pendant longtemps le théâtre n’était pas considéré comme un art. C’est grâce aux grands dramaturges tels que Molière, Racine ou Corneille que le théâtre va progresser pour devenir au XVIIe siècle l’un des arts les plus réputés. Un public populaire se crée alors, car ne sachant pas lire, ils trouvent là une activité culturellement accessible. D’un autre côté, les courtisans