Stephen Jay Gould

que l'individu décrit grâce à ses sens, donc songer à une théorie sans aucune approche sensible est impossible. « Les faits sont les données de l'univers. Les théories sont des structures d'idées qui expliquent et interprètent les faits. » Stephen Jay Gould, Quand les poules auront des dents ; sans les faits ou sans les théories, les scientifiques seraient donc incapable d'expliquer la nature, le monde, l'univers. Les faits sont aussi indispensables que les théories puisque les deux sont complémentaires

elles sont essentiel et ce qui est accidentel.Comme le fait par exemple Stephen Jay Gould (La structure de la théorie de l'évolution, 2002) qui interprète cette échelle de complexification en termes de progrès au sens moderne et prétend réfuter la tendance à la complexification à la fois en tant que projection d'une idéologie progressiste sur le vivant et au prétexte qu'il n'y a pas de régularité prévisible dans l'évolution. Gould ne fait donc que réfuter le contresens qu'il commet lui-même sur cette

the Atlantic Monthly. Février 1999. http://www.theatlantic.com/issues/99feb/intel.htm Gardner, Howard. Intelligence reframed. Multiple intelligence for the 21 st century. New York, Basic Books, 1999. 292 p. Gould, Stephen Jay. La mal-mesure de l’homme. Paris, Ed. Ramsay, 1983. Gould, Stephen Jay. Millenium. Histoire naturelle et artificielle de l’an 2000. Paris, Seuil, 1998 Leblanc, Raymond. «Une difficulté d'apprentissage: sous la lentille du modèle des intelligences multiples». In Éducation et francophonie

réductionniste12) générée par le néodarwinisme et le mythe du Graal13 de la génétique, ces deux domaines débordent sur la sphère sociale et politique. C'est ainsi que, tout en apportant une conception scientifique selon une pensée « dialectique », Stephen Jay Gould, Richard C. Lewontin et quelques autres membres du groupe de Science for the People ont démarré la polémique encore en cours sur la sociobiologie et la psychologie évolutionniste. En 1980, la Cour Suprême des États-Unis admet pour la première

Londres, Jonathan Cape Ltd, 1987, p. 97. 5. Ibid., p. 102. 6. Stephen Jay GOULD, « Honorable Men and Women », Natural History, mars 1998, p. 16. 7. Cf. Benoîte GROULT, « La langue française au féminin », Médias et langage, nº 19-20, 1984, p. 7. 8. Pour tout ce passage, cf. André MARTINET, « Les Indo-Européens et la Grèce », (Réf. 1), p. 10-15. 9. Colin RENFREW, op. cit., p. 266. 10. Stephen Jay GOULD, loc.cit., p. 23. 11. « Reconstitution de la famille indo-européenne

What is Life ?, auquel plusieurs livres ou articles sont aujourd’hui consacrés.fn 4 En 1993, un congrès s’est d’ailleurs tenu à Dublin pour commémorer le cinquantième anniversaire de la série de conférences et des scientifiques de renom comme Stephen Jay Gould, Manfred Eigen ou Roger Penrose se sont livrés à un exercice analogue à celui de Schrödinger, établissant de fait un programme de recherche pour les cinquante années à venir.fn 5 Sur le fond, Schrödinger reprend et commente pour l’essentiel

Contemporary Feminist Theory. New York : Columbia University Press. CEFUP, Catégorisation de sexe et construction scientifique, Université de Provence, 1989 CERF Anne de, dir., Les connaissances scientifiques ont-elles un sexe ?, Ed. d’Acadie, 1991. GOULD Stephen Jay, La mal-mesure de l’homme, Ramsay, 1983, 448 p. Guillaumin, C. (1981). Femmes et théories de la société : remarques sur les effets théoriques de la colère des opprimées. Réed. (1992). Sexe, race et pratique du pouvoir, l’idée de nature. Paris

du cosmos qu’un humain de deviner le nombre d’atomes qui composent le Soleil. Reste l’énigme de la vie. En dépit de théories génétique et biologie moléculaire, aucune ne peut nous dire pourquoi la vie est apparue sur Terre. Le paléontologue Stephen Jay Gould a souligné le rôle crucial du hasard dans l’émergence de l’Homo sapiens. Si la vie sur Terre repartait de zéro, et ce, un million de fois, elle ne produirait, en toute probabilité, aucun mammifère et encore moins une créature ressemblant à l’Homo

mais décennie après décennie au contraire, reconnurent que sans Darwin rien de tout ce qui détruisit le créationnisme n'existerait, à savoir la paléontologie moderne, l'éthologie, la génétique, les théories mutationnistes etc. Fritz Müller puis Stephen Jay Gould, Richard Dawkins, Niles Eldredge, mais aussi plus proches de nous, Yves Coppens ou Pascal Picq, qu'auraient-ils fait sans la révolution darwinienne ? Tous reconnurent et reconnaissent que, malgré le dépassement que le chercheur du XIXè siècle

récessive - Membres courts et six doigts et doigts de pieds - Mariage consanguins dans une communauté d’effectifs réduits - Anomalie devenue commune dans une communauté d’Amish VII- Théorie des équilibres ponctués 1/ Niles ELDREDGE et Stephen Jay GOULD (1972) Observations : espèces fossiles varient très peu morphologiquement au cours de plusieurs Ma. Nouvelle espèce supplante la précédente sans forme intermédiaire décelable (absence des « chaînons manquants » du néodarwinisme) Espèces