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est mit sur le même plan que la beauté. On n'en sait pas plus sur le portrait intellectuel de l'héroïne « elle songe aussi à lui donner de la vertu et à la lui rendre aimable » digne d'être aimé. La préoccupation de Mme de Chartres dans l'éducation n'est pas d'ordre intellectuel mais morale. Toute l'éducation qu'elle lui donne tourne autour d'un mot la vertu (=la retenue, la pudeur, la chasteté). Une éducation qui se veut exemplaire, teintée du pessimisme des classiques Mme de Chartres propose une

en la décrivant comme quelqu'un de parfait.   - On sait qu'elle est très appréciée de Madame de Volanges, qui est son amie, et qui va lui dire de se méfier de Valmont ; et de Madame de Rosemonde. 2 Mme de Tourvel succonbe à Valmont par excès de vertu. Elle refuse l'opinion répandue sur celui-ci pour se faire la sienne. Sincère, elle prend pour argent comptant toutes les manoeuvres de Valmont. Etant donné le dispositif épistolaire mis en place, nous savons qu'elle se trompe, qu'elle est trompée

l’orgueil de l’Homme. Il est incapable d’admettre la différence de l’autre. Cette différence est source de violence et de rejet. La violence est le fruit de l’intolérance. La solution que Voltaire donne pour y remédier est la tolérance en tant que vertu. Elle est la marque de l’humilité. L’auteur préconise la fraternité comme attitude. Tout le monde est semblable, ce qui nous unis est plus important de ce qui nous sépare. En conclusion, la cause des malheurs de l’humanité est l’intolérance qui entraine

ne sont pas dispensés de s'humilier en public. Ces gens nous dictent leurs ordres, mais en secret ils se moquent perfidement de nous. Si cet ordre de choses[4] qu'ont établi les pouvoirs d'ici-bas, dure et se perpétue, la discipline, la force, la vertu, l'honneur et l'éclat de l'Église s'amortiront tout-à-fait et en peu de temps. Il en sera de même de l'Étal; il est manifestement dirigé de la même manière. Aussi les lois une fois mises en oubli, le royaume demeurera enseveli dans le repos et la paix

Timon d’Athènes de Shakespeare Questions de compréhension Acte premier : 1. Durant tout le premier acte, on peut constater la magnanimité de Timon. Il se montre généreux envers plusieurs personnes. Que peut-on en conclure au sujet de son appréciation des êtres humains en général ? Il est un amoureux de la vie dans tous les excès. Il met son amour de l’humanité comme première priorité. Il est philanthrope. Il veut aider à tout prix tous les gens qui se présentent à sa porte. 2. 3. Apémantus

gouverner d'autres hommes . Pour Pascal, seul un être supérieur à l'homme pourrait être autorisé à revendiquer une supériorité. 4) Pour Pascal, la justice des hommes est imparfaite mais légitime car Dieu a voulu que l'homme puisse librement exercer sa vertu dans la gestions des biens terrestre et par la recherche du bien commun dans le partage. Les lois sont donc l'expression « imparfaite » de cet exercice car elles évites les violence des RAPT (=crime consistant à enlever une personne dans l'intention

obstacle) – courage, vaillance.. camaraderie Charité (amour du prochain) - altruisme, fraternité, humanité, miséricorde philanthropie, assistance… Civilité (observation des convenances, des bonnes manières en usage dans un groupe social) Clémence (vertu qui consiste à pardonner) – bonté, générosité, humanité, indulgence, magnanimité, miséricorde… Compassion (sentiment qui porte à partager les maux d'autrui) – humanité, sensibilité, miséricorde… Compréhension (qualité par laquelle on comprend autrui)

s’agit de l’âme, effectivement Socrate dit : « […] l’âme aussi, si elle veut se reconnaître, devra, n’est-ce pas, regarder une âme et surtout cet endroit de l’âme où se trouve la vertu de l’âme, la sagesse, ou tout autre objet qui lui est semblable. » Pour appuyer ses dires, Socrate fait remarquer à Alcibiade que la vertu est constituée de deux éléments, c’est-à-dire le dieu et la pensée, c’est aussi à ce moment qu’on va être apte à mieux se connaître et donc prendre soin de nous. Au final, on peut

passions une satisfaction complète, elle vante la tempérance et la justice à cause de sa propre lâcheté (...). La vérité, Socrate, que tu prétends chercher, la voici: la vie facile, l'intempérance, la licence, quand elles sont favorisées, font la vertu et le bonheur; le reste, toutes ces fantasmagories qui reposent sur les conventions humaines contraires à la nature, n'est que sottise et néant » (Gorgias, 491e-492c). Le bonheur, selon cette perspective, consiste dans la satisfaction illimitée des

ses réels sentiments au lieu de se cacher derrière des mensonges. Il refuse l’hypocrisie dans l’amitié. 3)Recopiez les vers 153 et 157-158: Quels reproches Philinte fait-il à Alceste? De qui d’autre pourrait-il s’agir? « Cette grande roideur des vertus des vieux âges » (Vers 153) « Et c'est une folie à nulle autre seconde De vouloir se mêler de corriger le monde. » (Vers 157-158) Philinte reproche à Alceste de vouloir corriger le monde à lui seul. 4)Recopiez les vers 57-58, 122, 68 à72: Qu’est