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quoi je suis sensible et relié au monde environnant. a- Je vais par ma pitié forte donner confiance à celui que je secoure envers ses propres forces, envers sa capacité à remonter la pente : cercle vertueux, vertu partagée donc. Par ma pitié vertueuse, je vais susciter en l’autre la vertu de s’en sortir. Le + produit du +. Gain partagé. Je donne pour que l’autre se donne à lui-même des motifs d’espérer. L’homme qui est l’objet de la pitié forte, cad distante, se décentre alors de lui-même : je lui

contenter de suivre le troupeau au nom du « sens du devoir » cf soumission au Führer Kant est un philosophe du 18ès et à notre époque , certains de ses propos peuvent paraître excessifs Ainsi lorsqu’il dit : « Le mensonge n’est jamais une vertu mais toujours une indignité .La vérité est un devoir absolu en toutes circonstances . » Dans ma vie de tous les jours, j’ai fait de la vérité une valeur fondamentale de ma morale, je dois la vérité à ceux qui me côtoient mais aussi à moi- même .Cependant

Mais il me semble que la différence qui est entre les plus grandes âmes et celles qui sont basses et vulgaires, consiste, principalement, en ce que les âmes vulgaires se laissent aller à leurs passions, et ne sont heureuses ou malheureuses, que selon que les choses qui leur surviennent sont agréables ou déplaisantes ; au lieu que les autres ont des raisonnements si forts et si puissants que, bien qu'elles aient aussi des passions, et même souvent de plus violentes que celles du commun, leur raison

nombreuse ou une vigueur physique plus grande que son adversaire, mais aussi quand on a plus de puissance, plus de fortune, plus d'influence que lui : abuser de ces avantages pour faire triompher une cause inique (qui manque gravement à l'équité ,[ vertu qui consiste à régler sa conduite sur le sentiment naturel du juste et de l'injuste] , très arbitraire ) , c'est agir à la manière du loup .Dans la vie civile, il est juste et nécessaire que les tribunaux donnent raison non à celui qui est le plus

qu’à la beauté qui ne périt point : que ta condition borne tes désirs, que tes devoirs aillent avant tes penchants : étends la loi de la nécessité aux choses morales ; apprends à perdre ce qui peut t’être enlevé ; apprends à tout quitter quand la vertu l’ordonne, à te mettre au-dessus des évènements, à détacher ton cœur sans qu’ils le déchirent, à être courageux dans l’adversité, afin de n’être jamais misérable, à être ferme dans ton devoir, afin de n’être jamais criminel. Alors tu seras heureux

2 2. Plus le fruit ;/La Vocabulaire La langue classique (2) 1 Complétez les vers avec un des noms suivants : ardeur – flamme – laurier – maîtresse – péril – vertu. 1. Lui-même il m’a tout dit : leur mutuelle ;/Il adore Émilie, il est adoré d’elle. est est grand, plus doux en est le nous y jette, et la gloire le suit. 3. Et même avec justice on peut trahir un traître,/Qui pour ose trahir son maître. une 4. Égée est prisonnier ;/Votre époux à son myrte ajoute ce . 5. Mais excusez l’

accepter de retourner à la terre, n’est-ce pas accepter notre condition d’être fini, ce qui est une incontestable preuve d’humilité. L’humilité, comme le dit André Comte-Sponville, est reconnaissance de tout ce qu’on n’est pas. Elle apparaît comme une vertu rare, sœur de la simplicité autant qu’attitude volontaire d’adhésion aux valeurs qui nous sont chères à nous Francs-Maçons, à savoir la tolérance, le respect des autres et de soi-même, la liberté absolue de conscience. Ce qui représente en fait tout

Pratiquer la vertu ; une promesse de bonheur. Dans ce texte, le mot vertu est reprit 4 fois en anaphore (l.4), (l.12), (l.15), (l.19). L’adjectif vertueuse (l.10) et vertueux (l.17). Ces adjectifs viennent renforcer l’anaphore du mot vertu. Enfin dans l’avant dernier paragraphe, l’expression la vertu renaissante suggère que pour Montesquieu le bonheur passe par la pratique de la vertu. Cette vertu garanti « l’union » du peuple troglodyte. D’ailleurs, de même que le mot vertu est répété 4

La tolérance est de nos jours universellement présentée comme une vertu. C’est pourtant un terme profondément ambigu. Hier, il désignait le fait de supporter le moindre mal, aujourd’hui, il est la "vertu" citoyenne par excellence. valeur qui exhorte à la compréhension et au respect des différence Mais au delà de la loi, chaque individu a ses propres valeurs morales et ses propres limites à la tolérance: c'est l'éducation qui pose nos valeurs morales (religion, croyances...) La tolérance est

C’est une jeune femme âgée de 16 ans, issue du milieu aisé de la noblesse française « une des plus grandes héritières de France », qui, après avoir perdu son père, est sous la conduite de Madame de Chartres, une belle personne « dont le bien, la vertu et le mérite étaient extraordinaires ». Elle va donc être éduquée sans protection masculine et va suivre l’éducation spécifique de Madame de Chartres. La Princesse de Clèves est perçue comme une jeune femme magnifique par cette hyperbole « c’était