Spiritualité ignacienne

Amiens, ou encore carré comme dans l’abbaye de Saint Butin à Saint-Omer. Il a parfois été nommé « chemin de Jérusalem » figurant ainsi la Jérusalem céleste descendue sur terre. Jusqu’à la Renaissance les labyrinthes seront un objet de spiritualité qu’on ne trouve que dans les édifices religieux. Ce n’est qu’à partir du XVIème siècle que des méandres de bosquets vont se répandre dans de nombreux jardins d’Europe apportant alors au labyrinthe une dimension profane : le plaisir de se perdre

aspirations que celles, bassement matérielles, de l'animal. Ce signe d'ordre nous rappelle aussi que cette prédominance est fragile et que dans l'accomplissement de sa destinée l'Homme doit, à chaque instant, se prémunir de cette brisure entre spiritualité et matérialité, entre Dieu et sa création que la colonne brisée nous indique. Cette brisure, ce chapiteau gisant au sol, nous conduit immanquablement à évoquer une décollation, une décapitation, et plus encore à la décapitation de Saint Jean le

connaissance et peut être aussi il ouvrira un petit peu son mental à un peu plus de sagesse et de tolérance c’est déjà beaucoup - sans faire allusion à la spiritualité qui demande un détachement des biens de ce monde, car nous vivons au milieu des loups, en essayant de relier ce qui épars nous nous devons d’être des Eveilleurs J’ai lu que la spiritualité est comme la vérité, elle est insaisissable.

UNIVERSITÉ SAINT-ESPRIT DE KASLIK Faculté Pontificale de Théologie POPULORUM PROGRESSIO De Paul VI "Développement personnel de l'homme" TPO en Morale Sociale Préparé par Georges Chamoun Présenté au Révérend Père Louis Khawand Kaslik 2010 - 2011 Introduction: Le pape Paul VI a publié en 1967 une encyclique intitulé: Populorum progressio sur le développement des peuples. Le pape déclare que ce thème est considéré avec attention par l'Eglise. L'encyclique

Hannah Arendt, La crise de la culture (Folio, pp. 266-270 : relire les 5 pages) Parmi les choses qu’on ne rencontre pas dans la nature, mais seulement dans le monde fabriqué par l’homme, on distingue entre objets d’usage et oeuvres d’art ; tous deux possèdent une certaine permanence qui va de la durée ordinaire à une immortalité potentielle dans le cas de l’œuvre d’art. En tant que tels, ils se distinguent d’une part des produits de consommation, dont la durée au monde excède à peine le temps

parole afin de secourir Crésus qu’un soldat perse menaçait de son arme. D’autres cas furent compilés, justifiant la section du filet de la langue, car l’on supposait que l’émotion l’avait rompu naturellement. La physiologie se nourrissait de spiritualité, la vie étant avant tout insufflée par un principe divin, le pneuma, souffle spirituel, une main paralysée étant une main désertée par la vie, main morte, l’oreille du sourd étant, comme son esprit, une enveloppe creuse, sans l’aer innatus, cet

SUR LA ROBE ELLE A UN CORPS BLAISE CENDRARS I. Situation du texte Sur la robe elle a un corps est un poème de circonstance faisant partie des Dix-neuf poèmes élastiques de Blaise Cendrars, œuvre publiée en 1919 mais dont l’écriture s’étale majoritairement entre 1913 et 1914. Ce recueil de poèmes fait donc partie des premières compositions poétiques de l’écrivain après ses voyages dans les pays de l’Est, en France et à New York. Influencé par la philosophie de Schopenhauer, il assimile son écriture

une telle souffrance qu'ai l'épreuve de la guerre. Certains ainsi s'identifient au Christ souffrant pour l'humanité sur sa croix, ils endurent ainsi avec la certitude que leurs effort les rapproche de Dieu. C'est ce que Annette Becker nomme la « spiritualité doloriste ». Durant la guerre chaque obus, chaque combats, chaque batailles comporte son lot de miracle. C'est ici que la guerre entre dans ce qu'elle à de plus mystique. Et ainsi ces prodiges forment autant d'appel à la conversion en ceux qui

Ce n’est guère que très récemment que L’Aventure ambiguë (Collection 10/18, Paris : Julliard 1974) a commencé à faire l’objet d’une critique littéraire propre à éclaircir ses subtilités [1]. Auparavant, ce roman avait surtout été étudié dans l’optique de sa place historique dans la tradition romanesque africaine [2], et de sa position vis-à-vis du thème de la négritude [3]. Sa définition comme roman philosophique [4] a aussi peut-être empêché une bonne perception de ses implications politiques. La

même longueur, croisés en leur milieu, est devenu, dans la Rome antique, un objet de supplice formé d’un poteau et d’une traverse de bois et, pour les Chrétiens, la représentation figurée de l’instrument de mise à mort de Jésus, dit le Christ. En spiritualité, la croix désigne une antenne. Elle figure le lieu de rassemblement et de concentration des énergies, d’où elle symbolise la rencontre des polarités qui créent le Monde par l’union des forces cosmiques. Ainsi, la croix illustre la projection du