Spectre La Machine Infernale

Yougoslave avait appris à jouer, adolescent, en observant le curé de son village qui, un jour, se rendit compte que cette brute inculte était un véritable prodige. Devenu champion du monde, il avait fait du jeu sa profession, tout en n’étant qu’«une machine à jouer aux échecs», tout en demeurant aussi fruste qu'antipahique, . Grâce à l’aide du riche et vaniteux Écossais MacConnor, le narrateur réussit à obtenir une partie simultanée avec Czentovic. Les compères la perdent, mais l'Écossais en paie une

Yougoslave avait appris à jouer, adolescent, en observant le curé de son village qui, un jour, se rendit compte que cette brute inculte était un véritable prodige. Devenu champion du monde, il avait fait du jeu sa profession, tout en n’étant qu’«une machine à jouer aux échecs», tout en demeurant aussi fruste qu'antipahique, . Grâce à l’aide du riche et vaniteux Écossais MacConnor, le narrateur réussit à obtenir une partie simultanée avec Czentovic. Les compères la perdent, mais l'Écossais en paie une

way »). // 3 ///// L’homme réduit à l’opération qu’il exécute : L’homme qu’étudie F.W. Taylor n’est que gestes et mouvements. Il n’a pas d’activités mentales ; une fois l’apprentissage d’une tache effectué, l’homme fonctionne comme une machine ; il n’est rien d’autre qu’un rouage dont on a programmé le comportement qui n’est pas supposé se modifier, ni avec l’expérience, ni avec l’âge, ni en fonction de contraintes extérieures. // 4 ///// Un principe d’individualisation :

Elle eut soif de la nuit forte où le cœur qui saigne Écoute sans témoin sa révolte sans cris. Et, faisant la victime et la petite épouse, Son étoile la vit, une chandelle aux doigts, Descendre dans la cour où séchait une blouse, Spectre blanc, et lever les spectres noirs des toits. V Elle passa sa nuit Sainte dans les latrines. Vers la chandelle, aux trous du toit, coulait l'air blanc Et quelque vigne folle aux noirceurs purpurines En deçà d'une cour voisine s'écroulant. La lucarne faisait

fourrures. Cette femme ne voyait pas l’homme terrible qui la regardait. Je demeurai pensif. Cet homme n’était plus pour moi un homme, c’était le spectre de la misère, c’était l’apparition brusque, difforme, lugubre, en plein jour, en plein soleil, d’une révolution encore plongée dans les ténèbres, mais qui vient. Autrefois, le pauvre coudoyait le riche, ce spectre rencontrait cette gloire ; mais on ne se regardait pas. On passait. Cela pouvait durer ainsi longtemps. Du moment où cet homme s’aperçoit que

Saint-Jean, qu’on tenait conseil dans le fort pour déterminer si on donnerait secours aux sauvages du pays contre les Iroquois, je m’en fus tout seul derrière notre habitation au coupeau d’une petite montagne, où voici ce que j’exécutai : Avec une machine que je construisis et que je m’imaginais être capable de m’élever autant que je voudrais, je me précipitai en l’air du faîte d’une roche. Mais parce que je n’avais pas bien pris mes mesures, je culbutai rudement dans la vallée. Tout froissé que j’étais

foncièrement le rapport à la mer, cette mer encore perçue aux XVIII e et XIX e siècles comme un monde redoutable, en raison de la dangerosité intrinsèque de l’élément marin, mais aussi de l’inconnu que représente le monde sous-marin, peuplé de créatures infernales. De cela en découle, selon Cabantous un rapport particulier aux croyances religieuses et induit tout un rituel destiné à conjurer le mauvais sort et les infortunes de mer (bénir les bateaux, ex-voto, calvaires le long des côtes, etc.). Du côté

expliquai : « Ce n’est pas moi. Ça doit être eux. » Puis j’eus le sentiment très fort qu’il fallait que je tape à la machine. Je m’assis donc à ma machine à écrire et je tins mes mains audessus du clavier et, de même que ma tête s’était mise à bouger involontairement pour que je trace les lettres en l’air avec mon nez, mes mains commencèrent à se mouvoir sur le clavier de ma machine. Elles bougeaient si vite et avec une telle force que Jerry en fut quelque peu alarmé. Il se tenait à côté de moi, prêt

expliquai : « Ce n’est pas moi. Ca doit être eux. » Puis j’eus le sentiment très fort qu’il fallait que je tape à la machine. Je m’assis donc à ma machine à écrire et je tins mes mains au-dessus du clavier et, de même que ma tête s’était mise à bouger involontairement pour que je trace les lettres en l’air avec mon nez, mes mains commencèrent à se mouvoir sur le clavier de ma machine. Elles bougeaient si vite et avec une telle force que Jerry en fut quelque peu alarmé. Il se tenait à côté de moi, prête

dans un processus contraignant pour celui qui donne et pour celui qui reçoit. Ainsi certaines civilisations encouragent voire imposent le don et par voie de conséquence celui qui reçoit n’a d'autre choix que d'accepter puis de rendre, d'où un cercle infernal. Ceci peut devenir un instrument de manipulation pour celui qui appartient à une culture différente. Rencontre entre eux un individualiste et un collectiviste Lorsqu’un individualiste et un collectiviste se rencontrent pour