Sorcellerie

A Kinshasa, de plus en plus d’enfants, accusés de sorcellerie par de proches parents sont renvoyés dans la rue. Le phénomène est encouragé par les églises dites de réveil qui foisonnent dans la capitale congolaise. Rencontre avec Esther, enfant-sorcier qui rêve d’un avenir de lumière. Les télé-évangélistes congolais sont formels : les enfants abandonnés, qui errent dans les rues de Kinshasa, vêtus de presque rien, ou avec des guenilles, sont ‘‘possédés’’, ‘‘envoutés’’. Selon les pasteurs propriétaires

A la suite de ces deux titres, nous avons un chapeau qui nous précise que ces informations sont localisées sur la capitale de la RDC : Kinshasa. Cette accroche indique que ces enfants sont accusés et abandonnés par leur famille pour actes de sorcellerie avec l'appui des nouvelles Églises. On peut comprendre que ces tendances religieuses sont nouvelles. 2) Pour la provenance du document 2 : il nous vient de l'hebdomadaire le Télé OBS du 11-17 février 2006. Cet article a été écrit par Éric de

fait divers qu’évoque David Blair. Il s’agit donc d’enfants persécutés, maltraités, accusés de sorcellerie mais surtout abandonnés par leurs parents et tout ceci encouragés par des églises de la capitale congolaise. Dès lors, le titre de l’article Le Calvaire des enfants sorciers s’éclaire. David Blair dénonce en partie à travers un exemple, le circuit et le contexte des enfants accusés de sorcellerie et le pluriel du nom enfants indique qu’il s’intéresse à tous les enfants. Ce texte introductif

hommes du XVIII° s. et leurs idées La cruauté : La victime est déshumanisée voc. (enlevé, jeté, trainé, ramené) elle subit l’action Lexique empreint de dégoût, de haine L’insurrection des sévices Fascination de la sorcellerie et la furie populaire L’omniprésence de la sorcellerie Souvenir des rites païens Fascination pour le diable Hystérie collective qui se répand (adv. : partout) 2) Une diatribe contre le pouvoir et le clergé (diatribe : critique violente) Une piètre image du pouvoir

nous voyons que l'Église dans Thyatir était sue et a recommandé pour amour, service, foi, patience et améliorations. Mais c'était aussi une église qui a manqué de discernement d'alcools et en conséquence, ils ont été séduits dans fornication, sorcellerie et idolâtrie. La séduction est une arme majeure que Satan utilise pour leurrer beaucoup de Chrétien loin de l'amour de Dieu, et le Saint-Esprit fait appel à l'Église pour se repentir, négocie avec et regarde contre l'esprit de séduction. APOC

Quand Charles Dexter Ward, jeune étudiant résidant à Providence (Etats-Unis) au début du vingtième siècle, se découvre un mystérieux ancêtre jadis renommé pour ses actes de sorcellerie, il tombe en proie à une insatiable soif de connaissance au sujet de son ascendant. Ce dernier se nommait Joseph Curwen et, après avoir passé une vie étonnamment longue, il mourut en 1771 à Providence où il s'était établi après avoir échappé, à Salem, à la grande chasse aux sorciers. Mais Charles Dexter Ward ne se

la folie ce sera la sorcellerie : on interprète les comportements, les attitudes du fou comme des actes visant à ce rapprocher du Diable. On voit le fou alors comme un sorcier, qui ne met pas en place des attitudes a ce rapprocher du sacré comme la prière mais plutôt des attitudes pour ce rapprocher du diable ; crime de sorcellerie. On va voir que durant la Renaissance, on considérait que les femmes par leurs constitution était bcp plus sensible aux attitudes de sorcellerie. On considérait donc

L’odorat est le plus négligé de nos sens. La fin de Grenouille montre à quel point l'odorat manipule notre inconscient. Le texte commence dans une atmosphère de sorcellerie, où les sentiments de la foule, sous l’effet du parfum, s'amplifient. Grenouille finit par mourir de ses propres mains. La dernière scène s’ouvre dans une atmosphère de sorcellerie: Il fait nuit, dans un cimetière d’où « les fossoyeurs étaient déjà repartis», des feux sont allumés et les personnages sont diaboliques. L’auteur lui-même

INTRODUCTION La légende de Manlé est l’histoire d’un roi nommé Louty, qui, fatigué de ne faire que des mâles décide de prendre une nouvelle épouse pour enfanter une fille. Trois épouses (Yolou, Saty, Yeuneu) et une douzaine de mâles, à son compteur. Toutefois, au motif de vouloir à tout prix une fille pour lui donner le nom de sa mère, il prend une quatrième épouse : Kolé . La venue d’une quatrième épouse va sérieusement ébranler la couronne. Deux camps vont alors s’affronter :

bas Moyen Âge en relation avec la sorcellerie et la culture urbaine. Il cite différentes mentions de sorcellerie dans les textes cléricaux entre les XIIe et XIIIe siècles qui relatent des exemples de sorts jetés aux gens ou aux bêtes. « Les sorts permettaient d’expliquer toutes les formes du “malheur biologique” ; la maladie, la mort et, surtout, l’impuissance sexuelle.» À travers les récits de maleficium, ce n’est pas l’existence de telles pratiques de sorcellerie paysanne au XIIIe siècle que Schmitt