Som

adopter ou sélectionner selon une préférence. Mais pouvons-nous dire que nous sommes seuls à décider de notre vie ? Des facteurs extérieurs n’interviennent-ils pas dans nos choix de vie ? Le problème est donc le suivant : ou bien nous sommes seuls maîtres de nos décisions et vivons dans un idéal ou bien nos choix sont régis par le monde qui nous entoure. Face à ces questions nous allons voir dans quelles mesures nous sommes libres de choisir notre vie puis quels facteurs nous en empêchent. Pour finir

 un hôtel quatre étoiles situé dans la ville.  En arrivant à l'hôtel, nous nous sommes  installé dans nos chambres et nous nous sommes changé pour partir visiter. Nous sommes  allés au restaurent de l'hôtel pour dîner. Ensuite nous avons quitté l'hôtel pour se balader et  commencer a connaître la ville. Nous avons marché un bon 4 heures dans les rues, les  magasins et autre. Le soir nous avons soupé au restaurant et nous sommes allé dormir de  bonheur.      Journée 4: En mangeant notre déjeuner, nous devons choisir notre lieu à visiter aujourd'hui

Nous ne sommes pas compris, alors nous devenons de parfaits boucs émissaires : pour les cosmopolites, nous sommes des provinciaux ; pour les provinciaux, nous sommes des cosmopolites ; pour les communistes, nous sommes des capitalistes ; pour les capitalistes, nous sommes des communistes ; pour les nationalistes, nous sommes des internationalistes ; pour les internationalistes, nous sommes des nationalistes ; pour les religieux, nous sommes des hérétiques ; pour les hérétiques, nous sommes des religieux

je sais au moins ce que je ne suis pas, en ayant conscience de moi-même. Ce premier pas nous permet de prouver la possibilité de nous définir, donc d'avoir conscience de ce que nous sommes. 2) Je suis ce que je décide d'être consciemment Il convient aussi de tenir compte de la liberté d'être ce que nous sommes. Si, comme le pense entre autres Sartre, je suis toujours libre de devenir ce que je veux, cette dite volonté libre ne passe-t-elle pas logiquement par la projection de ce que l'on veut

réellement pour me prononcer spontanément sur le fait qu’il y a une réponse à cette question, car connaître qui je suis, c’est décider de la vérité. Ai-je conscience de qui je suis ? Ou suis-je totalement inconscient de cela ? Peut-on savoir ce que nous sommes ? Actuellement, dans nos vies, nous avons tout le temps l’impression d'être conscient d'événements et de sensations tous différents les uns des autres. En effet, j’ai conscience d’être vivant, d’être à l’école, de travailler, d’avoir pleins

doit se diriger vers un bac S. Enfin sa motivation est aussi très importante : en effet si la personne n’est pas motivée elle ne supportera pas les 10 ans d’études pour atteindre son objectif final.  Nous sommes influencés par différents facteurs : parents, médias, école, religion, amis,… Nous sommes conscients de certaines influences comme l’obéissance aux parents mais d’autres de ces influences nous sont inconscientes, comme, par exemple, notre volonté à imiter les personnes qui nous entourent. 

différents animaux. Uluru est très important pour les aborigènes.Pour finir nous sommes allées voir la barrière de corail c'est la seule chose végétal au monde qui se voit de l'espace. Nous y sommes restées 1 mois . Antarctique : Nous sommes parti de l'Australie en bateau pour arriver en Antarctique. Nous avons vu l’effondrement d'un glacier, ce qui a été très impressionnant car nous étions sur un voilier. Puis nous nous sommes baladées sur la banquise, ou nous avons vu différents animaux. Réunion :

que la responsabilité fait partie de notre humanité, que c’est une chose dont on ne peut se défaire. La responsabilité détermine par définition le devoir de répondre de nos actes, toute circonstances et conséquences comprises. Si nous agissons, nous sommes responsables. Mais jusqu’où va cette responsabilité? En effet peut-on poser une limite à ceci dans le mesure où cela semble définir une des propriétés des hommes? Cela le distingue d’un animal: l’homme a une conscience, il sait pourquoi comment et

pour qu’il pense que nous sommes comme lui et comme il voudrai que l’on soit. Mais en réalité, nous nous cachons derrière un personnage que nous créons pour lui plaire. C’est la un problème car on ment a notre partenaire mais on se ment aussi un peut a soi-même. Nous cachons aussi des choses pour que cette personne, que nous trouvons si spéciale et que l’on aime, ne soit pas déranger par des aspects négatifs de notre personnalité en en l’occurrence, nous aime car nous sommes pour elle une personne parfaite

de mes expériences vécues ? » Peut-on affirmer que l’histoire de l’individu suffirait à le définir ? Ou bien est-on obligé de penser qu’une personne n’est que ce qu’elle décide d’être ? Cela ne nous amène-t-il pas fondamentalement à penser que nous sommes responsables de ce que nous devenons ? 1/ Il est certain que l’expérience précédera toujours la connaissance, ainsi nous pouvons avancer l’idée que sans nos expériences vécues, nous ne serons pour ainsi dire « rien », sans ce passé qui nous