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 La conscience de soi est une des caractéristiques les plus essentielles chez l’Homme. Si nous sommes un sujet pensant, c’est parce qu’on a conscience de nous-même ainsi que des objets qui nous entourent. Grâce à la conscience de soi, nous pouvons savoir que nous existons réellement, qui nous sommes, et ce que l’on fait. Si tel est le cas, nous sommes bien un sujet. En revanche, L’idée de la conscience peut aussi tenir de la perception d’un autre point de vu donc penser à quelque chose voudrait

pense, je décide, je suis moi et pas un autre. C’est donc évident d’être capable d’être soi-même, d’avoir connaissance de soi. Cette connaissance de soi peut aussi évoluer ou changer. Nous pouvons se demander si nous sommes les mêmes personnes depuis ma naissance ? Nous sommes, en effet, libres de changer, d’être ce que nous voulons être. Pourtant, il nous arrive d’utiliser certaines expressions comme « je n’étais plus moi-même », « j’étais hors de moi » ou « je ne sais pas ce qui m’a pris »

tilgang til Midnight’s Children som postkolonial litteratur. Først vil jeg redegøre for Huggans analyse af den postkoloniale litteraturs afhængighed af det kapitalistiske marked i artiklen “The Postcolonial Exotic”. Dernæst vil jeg se på den amerikanske litteraturprofessor M. Keith Bookers ideologikritiske analyse af romanens form fra artiklen “Midnight’s Children, History, and Complexity: Reading Rushdie after the Cold War", hvori han argumenterer for en læsning af romanen som en postmoderne understøttelse

OBLIGATORISK INNLEVERINGSOPPAGE JU 200 HØST 2010 INNLEDNING: Oppgaven dreier om Marte Kirkerud som har vært til og fra i Storviks narkotikamiljø i flere år sammen med Lars Holm. Under svangerskapet ble hun arrestert for bruk av Narkotika. Inspektør Holm oppdaget at Marte var gravid og tok straks kontakt med Berit Tastad som er ansatt ved det lokale barnevernkontoret. Berit kjente Marte og om sine langvarige nakortikaproblemer. På den annen side ville Berit alt godt med Marte siden hun hadde

Par conséquent, nous, qui sommes une certaine opinion… cela est le fruit de nos pensées. Notre pensée est propre à nous même, aucun être peut créer vos pensées, on est les seules auteurs de nos pensées. En considérant l’idée de Michel Serre, on peut alors affirmer que nous sommes les artisans qui façonnent nos vies, par le fait que nous sommes les auteurs de nos pensées, par conséquent façonner nos vies d’après nos pensées car lorsqu’on

Suis-je réellement impliquée dans mon identité ? Dans un premier temps nous verrons qu’effectivement, la notion de conscience nous amène à penser que nous sommes responsables de ce que nous sommes, puis dans un second temps nous verrons qu’elle n’est toutefois pas suffisante et que nous ne sommes pas forcément responsables de ce que nous sommes, enfin, dans un troisième et dernier temps nous ferrons une synthèse de ces deux notions. Être responsable c’est d’abord avoir conscience de nos faits et

t-il seulement une possibilité de se connaître un jour. Est-ce une véritable quête de se connaître. Mais se connaître est-il bénéfique pour la personne, se connaître a t-il des inconvénients. Nous pourrions être déçus de la réelle personne que nous sommes, et nous pourrions regretter le choix de nous connaître. Anatole France, grand écrivain de la Troisième République a dit « Je tiens la connaissance de soi comme une source de soucis, d'inquiétudes et de tourments. Je me suis fréquenté le moins possible »

l'existence précède l'essence'' et Freud a inventé '' la cure par la parole''. Ceci- dit, sommes-nous responsables de nos actes ? Selon Sartre nous sommes responsable puisqu'on est condamné à être libre et parce que nous choisissons le sens qu'on donne à toutes choses. Selon Freud, nous ne sommes pas responsables de nos actes puisqu'on est pas maître de soi-même sauf si l'on pratique la psychanalyse. Selon moi, nous sommes responsables de nos actes, car c'est à nos de prévoir l'imprévu. La responsabilité

sont explicables par les motifs, c’est-à-dire les passions, alors que la volonté d’action est différente pour chaque personne. Donc, les principes universels de nos actions seraient nos passions, les passions nous déterminent à faire une action. Nous sommes donc libres de nos propres actions et responsables d’avoir causé les effets de nos actions et de nos passions. Par exemple, en ce moment, je suis libre de faire ma dissertation ou de ne pas la faire, je n’ai peut-être aucune volonté de la faire,

société, qui a évolué beaucoup au cours des dernières années, sommes-nous capable de contrôler notre vie? Pouvons nous faire ce dont nous avons envie de faire quand on veut le faire? La société nous pousse telle à vivre selon des normes spécifiques? Pouvons nous contrôler le temps? Sommes-nous l’unique maître de notre vie? Pouvons nous nous réveiller un matin et ne pas aller à l’école sans que cela aie des répercussions plus tard? Bref, sommes-nous réellement libres et autonome? Pour étudier ce sujet