Solitude Corpus

Ce corpus est constitué de trois textes portant tous sur les sentiments des poètes. Un texte de Ronsard, « Marie qui voudrait votre beau nom tourner » Du seconds livre des amours. Un de Sponde , le Sonnet V des Sonnets d'amour et enfin un texte de Desnos, « J'ai tant rêver de toi » de In corps et Biens. Ceux-ci sont tous du registre lyrique. Nous montrerons ici comment ces trois poètes procèdent pour exprimer leurs sentiments envers trois femmes différentes. Comment s'exprime le lyrisme dans

Ce corpus est composé de quatre monologues, tirés des oeuvres Le Cid de Pierre Corneille, Bérénice de Racine, Lorenzaccio d'Alfred de Musset et Ruy Blas de Victor Hugo. Ce sont toutes des pièces de théâtre écrites entre le XVIIe et le XIXe siècle par des auteurs français. Un monologue est, au théâtre, un moment de la pièce où l'acteur parle tout seul à voix haute, dans le but d'être entendu des spectateurs. Il intervient souvent à un moment précis de l'action et possède bien des caractéristiques

CORPUS DE TEXTES * Tout d’abord, il s’agit de trois corpus textes, qui sont La Duchesse de Langeais d’Honoré de Balzac publié en 1834, La Prisonnière de Marcel Proust publié en 1923 puis Belle du Seigneur d’Albert Cohen publié en 1968. Chacun de ces textes parle du couple en question ainsi que la relation amoureuse qu’ils ont. Une relation amoureuse dans un couple est censée être heureuse et harmonieuse mêlée à beaucoup de complicité entre deux personnes mais le lecteur va découvrir dans ces

Les poèmes portent généralement sur un thème bien précis. Dans ce corpus composé de trois poèmes nous pouvons les regrouper en deux catégories. Les fleurs du mal de Charles Baudelaire et Derniers vers de Jules Laforgue sont tous les deux des recueils tandis que Les villes tentaculaires de Emile Verhaeren lui est un poème. Mais quelles vision du monde ses textes nous proposent t-ils ? Nous pouvons remarquer que derniers vers est un poème qui fait une description positive de l’Hiver, il nous évoque

pas brûlant qui s'en allait Vers toi que je portais déjà sur mes épaules Comme une douce pluie qui ne sèche jamais Tu ne remuais encore que par quelques paupières Quelques pattes d'oiseaux dans les vitres gelées Je ne voyais en toi que cette solitude Qui posait ses deux mains de feuille sur mon cou Et pourtant c'était toi dans le clair de ma vie Ce grand tapage matinal qui m'éveillait Tous mes oiseaux tous mes vaisseaux tous mes pays Ces astres ces millions d'astres qui se levaient Ah que

Question de corpus Ce corpus est composé des textes « Madame Bovary » de Flaubert (A), « L'assommoir » de Zola (B) et « La Parure » de Maupassant. Ces trois œuvres ont été écrites dans la deuxième moitié du XIXe siècle. Elles appartiennent donc tous trois au mouvement naturaliste. Il s'agira ici d'étudier comment dans ces différents récits le lecteur se laisse attendrir par l'héroine. Ces trois textes semblent différés en leur manière de créer une héroine attirant la compassion du lecteur.

Commentaire littéraire Corpus Rhinocéros, Eugène IONESCO II. Travail d'écriture : Commentaire littéraire sur Rhinocéros, de Eugène IONESCO. Eugène Ionesco, célèbre auteur de récits dramatiques a écrit Rhinocéros en 1957. Cette œuvre, est à la base un pièce de théâtre. Dans l'extrait choisi, le narrateur est personnage, et il est confronté à vivre seul parmi les siens qui ont étés changés en rhinocéros. Au début il est totalement perdu sans l'unique

-CORPUS : Intro : (former un seul paragraphe)=> Entrée en matière, annonce du thème, présentation des poèmes, questions posées + annonce du plan. Plusieurs poètes ont voulu représenter l’amour dans leurs poésies. La première poésie a été écrite par Louise Labé, en 1555, son titre est ‘’Je vis, je meurs..’’, elle va insister sur l’expression personnelle grâce au pronom personnel ‘’je’’ qui est omniprésent dans toute la poésie. Gérard de Nerval, grâce à son poème nommé

s’en allait Vers toi que je portais déjà sur mes épaules Comme une douce pluie qui ne sèche jamais ©HATIER 10 Tu ne remuais encore que par quelques paupières Quelques pattes d’oiseaux dans les vitres gelées Je ne voyais en toi que cette solitude Qui posait ses deux mains de feuilles sur mon cou Et pourtant c’était toi dans le clair de ma vie Ce grand tapage matinal qui m’éveillait Tous mes oiseaux tous mes vaisseaux tous mes pays Ces astres ces millions d’astres qui se levaient Ah que tu

des trois textes du corpus, vous direz quelles sont les spécificités de chacun de ces extraits. Corpus : A. DE MUSSET, Lorenzaccio, acte IV, scène 9, 1834. J. GIRAUDOUX, Électre, entracte : Lamento du jardinier, 1938. S. BECKETT, Oh les beaux jours, 1963. Annexe au texte 3 : Photographie de la mise en scène de Oh les beaux jours au théâtre de l’Odéon, 1963 (Madeleine Renaud dans le rôle de Winnie). Annexe au corpus : An. ARTAUD, Le Théâtre et son double, 1938. Le corpus est constitué de trois